18e Théâtres au Cinéma : Paradjanov - Gatti

18e Festival Théâtres au Cinéma
Magic cinéma, Bobigny (93)
• du 9 au 25 mars 2007

INTEGRALE PARADJANOV
HOMMAGE A ARMAND GATTI

Après Glauber Rocha en 2005 et Robert Kramer en 2006, le festival Théâtres au Cinéma rendra hommage, du 9 au 25 mars 2007 au Magic Cinéma de Bobigny (93), à Serguei Paradjanov, réalisateur et plasticien.

Au programme de cette 18e édition : L'intégrale de ses films, courts et longs métrages. Une exposition de ses dessins, peintures et collages. Des documentaires sur son travail, une lecture d'extraits des Lettres de prison et de Confession, une table-ronde…

Le tome 18 de la collection Théâtres au cinéma, une monographie sur Serguei Paradjanov, a paru le 5 mars.

En présence de :
Tenguiz Abouladzé, réalisateur.
Levon Abrahamian, enseignant à l'Université d'Erevan.
Serge Avédikian, comédien.
Roman Balayan, réalisateur.
Patrick Cazals, critique et réalisateur.
Esther Heboyan, évrivain.
Hermine Karagheuz, comédienne.
Youri Metchitov, photographe.
Georgui Paradjanov, réalisateur (neveu de Serguei Paradjanov).
Zaven Sargsyan, directeur du Musée Paradjanov d'Erevan.
Claude Tchamitchian, musicien.
Sofiko Tchiaouréli, comédienne.
Mikhail Vartanov, réalisateur.
Gareguine Zakoyan, directeur de la Cinémathèque arménienne d'Erevan.

Parallèlement, le festival rendra, en sa présence, un hommage à Armand Gatti.

Rue du Chemin Vert - 93000 Bobigny Téléphone > 01 41 60 12 34  Télécopie > 01 41 60 12 36 E-mail : magic.cinema.bobigny@wanadoo.fr
Internet : www.magic-cinema.fr

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Images du 31e festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand

31e Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand
Photos libres de droit dans le cadre de la couverture de la manifestation (crédits à mentionner).
31st Clermont-Ferrand International Short Film Festival
Pictures free of any copyright for the reserved use of covering this event (please mention the photos credits) :

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OuvertureClermont2009
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
© Michel Vasset - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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OuvertureClermont2009_2
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
© Michel Vasset - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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ReeTreweekClermont2009
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Ree Treweek, réalisatrice et illustratrice sud-africaine, cofondatrice du collectif Shy The Sun et de The Blackheart Gang.
Membre du jury de la compétition Labo.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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ReeTreweek_Clermont09_2
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Ree Treweek, réalisatrice et illustratrice sud-africaine, cofondatrice du collectif Shy The Sun et de The Blackheart Gang.
Membre du jury de la compétition Labo.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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MennoDeNooijer_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Menno de Nooijer, réalisateur, photographe et sculpteur hollandais.
Un hommage est rendu cette année à Clermont à Menno et à son père Paul de Nooijer, co-réalisateurs de nombreux films.
Membre du jury de la compétition internationale.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Capucine_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Le singe Capucine, sur l’épaule du professeur Yamamoto.
Œdipe, court métrage signé Capucine, a été projeté lors de cette cérémonie, et présenté comme le premier film réalisé par un singe.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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EdHandleyClermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Ed Handley, musicien et compositeur anglais, a formé le groupe Plaid avec Andy Turner.
Membre du jury Labo
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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JohnSmithLCrouzeixClermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
John Smith, réalisateur anglais. Depuis 1972, il a réalisé une quarantaine de films, vidéos et installations, présentés dans le monde entier.
Membre du jury de la compétition internationale.
A droite, Laurent Crouzeix, membre de l’association organisatrice du Festival.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Duty_Hetzel_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Le réalisateur Claude Duty (à gauche) présente Grégoire Hetzel, compositeur, musicien et romancier, membre du jury de la compétition française.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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DaoudAouladSyadClermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Daoud Aoulad-Syad, réalisateur, photographe et écrivain marocain.
Membre du jury de la compétition internationale.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Duty_JoelBrissse_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Le réalisateur Claude Duty (gauche) présente Joël Brisse, peintre et cinéaste,
membre du jury de la compétition française.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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XianMinZhang_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
ZHANG Xian Min, réalisateur, acteur, écrivain, producteur et enseignant chinois.
Membre du jury de la compétition internationale.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Duty_OlivierMegaton_Clermont09
Clermont-Ferrand (France) - Soirée d’ouverture du 31e Festival International du Court Métrage.
Le réalisateur Claude Duty (gauche) présente le réalisateur, peintre et romancier Olivier Megaton,
membre du jury de la compétition française.
© Rémi Boisseau - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Images du 30e Festival du Court de Clermont-Ferrand

Le Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand fête sa 30e édition du 1er au 9 février 2008 (voir article infra).

Quelques images :

OuvertureClermont2008_1
Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
de gauche à droite : Pascale Faure (responsable des Programmes Courts de Canal+), Jean-Claude Saurel (président de l’association organisatrice du festival), Carine Tardieu (réalisatrice), Jacques-Rémy Girerd, Gérard Krawczyk, Manuel Poirier (réalisateurs), Bernard Blancan (comédien). Photo Michel Vasset
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OuvertureClermont2008_2
Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
de gauche à droite : Claude Duty (réalisateur), Pascale Faure (responsable des Programmes Courts de Canal+), Jean-Claude Saurel (président de l’association organisatrice du festival). Photo Michel Vasset
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OuvertureClermont2008_3
Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
de gauche à droite : Jean-Claude Saurel, Roger Veyssière (serveur), Carine Tardieu. Photo : Michel Vasset.
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OuvertureClermont2008_4
Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Jean-Claude Saurel (g) vient de remettre un Vercingétorix d’honneur à Claude Duty (dr). Photo : Michel Vasset.
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OuvertureClermont2008_5
Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Serge Bromberg, producteur, collectionneur et restaurateur de films, fait une démonstration de la dangerosité du film nitrate ou “film flam”, assisté de Antoine Lopez, un des organisateurs du festival.
Photo : Michel Vasset
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Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Antoine Lopez parmi les 1500 spectateurs de la salle Jean-Cocteau assistant au spectacle Retour de Flamme, spécial 3D de Serge Bromberg. photo : Michel Vasset

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Vendredi 1er février 2008 - Séance d’ouverture du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Quelques-uns des 1500 spectateurs de la salle Jean-Cocteau assistant au spectacle Retour de Flamme, spécial 3D de Serge Bromberg. Photo : Michel Vasset

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KinoRezoClermont
Rendez-vous KinoRezo : quelques minutes pour faire connaissance. Photo : Michel Vasset.

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MarcheFilmCourt2
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Le Marché du Film Court, parallèle au Festival du Court Métrage. Photos : Michel Vasset.
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MarcheFilmCourt6
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MarcheFilmCourt7

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MarcheFilmCourt11
Présentation d’acheteurs et de diffuseurs de courts métrages. 23e Marché du Film Court. Photo : Michel Vasset
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Shortstv
3 minutes de pitch pour convaincre avec son projet : séances organisées par Shortstv au Marché du Film Court de Clermont-Ferrand. Photo : Michel Vasset.
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SallePresse
La salle de presse du Festival. Photo : Michel Vasset.
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Atelier
Tournage d’une scène à l’Atelier, lieu expérimental de l’Ecole d’Architecture de Clermont-Ferrand. 7 installations cinématographiques sur le thème de la capture y sont présentées pendant le festival, avec l’ENSAD. Photo : Michel Vasset

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maisonCulture
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MaisonCultureClermont
Devant la Maison de la Culture de Clermont-Ferrand, centre névralgique du Festival. Photo : Michel Vasset.

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juryClermont
mercredi 6 février 2008. Les jurés du Festival du Court Métrage viennent de recevoir la médaille de la Ville de Clermont-Ferrand des mains du maire Serge Godard.
De g à dr : Jean-Claude Saurel (Festival du Court), Antoine Lopez (Festival du Court), Martin Jarrie, illustrateur, Koldo Zuazua, producteur espagnol (assis), Martin Dubreuil, acteur québécois, Moufida Tlatli, réalisatrice tunisienne, Roston Tan, réalisateur singapourien, Annick Rivoire, journaliste, Matthieu Boogaerts, chanteur, Teboho Mahlatsi, réalisateur sud-africain, et Danielle Arbid, réalisatrice libanaise. Photo Michel Vasset.

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NuitClermont1

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NuitClermont2
5 février 2008 - Soirée espagnole à Clermont-Ferrand. Photo Michel Vasset.
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Clermont2008Winners_PhotoMichelVasset
Samedi 9 février 2008. Les principaux lauréats du 30e Festival International du Court Métrage, sur la scène de la Maison de la Culture de Clermont-Ferrand.
Photo : Michel Vasset
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L'ACID à Cannes, du 13 au 21 mai 2010

Pour la 17e année, l’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion) proposera une programmation alternative de 9 longs métrages et autant de courts lors du Festival du Film de Cannes.
Du 13 au 21 mai 2010, au Studio 13 et au cinéma Les Arcades. TELECHARGER LE CATALOGUE.

Six premiers films de long métrage, une majorité de jeunes réalisateurs, une éruption de nouveaux visages au côté de ceux de comédiens chevronnés : un vent de fraîcheur souffle sur la programmation cannoise 2010 de l’ACID. Et il y a du passage de témoin dans l’air…
A noter également que sur les 9 films (6 de fiction et 3 documentaires) qui seront présentés du 13 au 21 mai en présence de leurs réalisateurs et des comédiens, cinq le seront en première mondiale et trois en première française.

Cuchillo de Palo (108)
(Renate Costa - Espagne - 2010 - documentaire - 93’)
premier long métrage, première française
production : Estudi Playtime

Lire la critique de Fluctuat
Lire la critique de Yagg
Lire la critique de Politis
Dans Le Monde
Interview de Renate Costa (AFP)


Donoma

(Djinn Carrénard - France - 2009 - fiction - 135’)
premier long métrage, première mondiale
• avec Emilia Derou-Bernal, Vincent Pérez, Salomé Blechmans, Sékouba Doucouré, Laura Kpegli, Laetitia Lopez
production : Diaph1Kat

Lire la critique de Notre Cinéma

Eine flexible Frau [The Drifter / Une femme flexible]
(Tatjana Turanskyj - Allemagne - 2010 - fiction - 97’)
première française
• avec Mira Partecke, Laura Tonke, Franziska Dick, Angelika Sautter
production : Turanskyj & Ahlrichs GbR

Entre nos mains
(Mariana Otero - France - 2010 - documentaire - 87’)
première mondiale
production : Archipel 33
* distribution : Diaphana, sortie France : 6 octobre 2010

Lire la critique de Politis
Lire la critique des Inrockuptibles
Lire la critique du Monde

Fix ME
(Raed Andoni - France, Palestine, Suisse - 2009 - documentaire - 98’)
première française
production : Rouge International / Palmyre
* distribution : Sophie Dulac distribution, sortie France : fin 2010

Fleurs du Mal
(David Dusa - France - 2010 - fiction - 100’)
premier long métrage, première mondiale
• avec Rachid Youcef, Alice Belaïdi
production : Sciapode

Poursuite
(Marina Déak - France - 2010 - fiction - 90’)
premier long métrage, première mondiale
• avec Marina Déak, Yann Guillemot, Renaud Dehesdin, Aurélien Recoing
production : 31 Juin Films

Robert Mitchum est mort
(Olivier Babinet, Fred Kihn - France - 2010 - fiction - 91’)
premier long métrage, première mondiale
• avec Olivier Gourmet, Pablo Nicomedes, Bakary Sangaré, Danuta Stenka, André Wilms, Maria Bock, Nils Utsi, Ewelina Walendziak, Wojciech Pszoniak
production : Ferris & Brockman

La vie au ranch
(Sophie Letourneur - France - 2009 - fiction - 90’)
premier long métrage
• avec Sarah-Jane Sauvegrain, Eulalie Juster, Mahault Mollaret, Benjamin Siksou, Sacha Naigard, Jade Tong Cuong, Elsa Pierret, Rafaël Wallon, Angèle Ferreux, Vincent Steinebach, Raphaël Haberberg
production : Ecce Films / Rezina Productions

ACID
(Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion)
Déléguée générale : Fabienne Hanclot
fabienne@lacid.org
www.lacid.org

Après Willem en 2008 et Pierre Etaix en 2009, c’est Thierry Guitard qui a conçu l’affiche “Cannes 2010” de l’ACID.
Acid_2010_Poster_Guitard
cliquez ici pour télécharger l’affiche



DRIFTER_ACID
THE DRIFTER (UNE FEMME FLEXIBLE)
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Plein La Bobine 2007

Le 5e Festival de Cinéma Jeunes Publics du Massif du Sancy, PLEIN LA BOBINE, se déroulera du 16 au 20 juin 2007 dans deux villes voisines du Puy-de-Dôme : La Bourboule et Le Mont-Dore, au cœur des volcans d’Auvergne.
Plein la Bobine
Festival de Cinéma Jeunes Publics du Massif du Sancy
La Bourboule - Le Mont-Dore
tél/fax : 04 73 65 51 46
www.pleinlabobine.com


info@pleinlabobine.com

AFFE
Hôtel de Ville - BP 81
63150 La Bourboule

Florence Dupont, déléguée artistique :                 
tél : +33 (0)1 48 05 35 72
fax : +33 (0)1 48 05 34 33
f.dupont@pleinlabobine.com
 
Céline Durand, coordinatrice :
tél / fax : +33 (0)4 73 65 51 46
mob : +33 (0)6 78 91 64 70
c.durand@pleinlabobine.com

Nadège Challeil, responsable de l’accueil des groupes - communication
tél : +33 (0)4 73 91 60 77
mob: +33 (0)6 08 67 67 99 

info@pleinlabobine.com

affichePLB2007
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ACID : le off de Cannes 2013 à Paris, Lyon et en Ile-de-France

LE OFF DE CANNES A PARIS, A LYON ET EN ILE-DE-FRANCE
[Reprise de la programmation ACID, 9 films qui ont tous trouvé un distributeur…]

Les 9 longs métrages présentés à Cannes en mai dernier par l’ACID, Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion, seront proposés au public
- à Paris, au Nouveau Latina, les 27, 28 et 29 septembre 2013
- à Lyon, au Comœdia, les 4, 5 et 6 octobre 2013
- dans 13 salles d’Ile de France, du 20 septembre au 13 octobre 2013

Dimanche 29 septembre à 12h, au Nouveau Latina, une table ronde ouverte au public, intitulée “L’écran du plus fort : devons-nous tous voir les mêmes films?” donnera un prolongement à la tribune publiée en mai 2013 par l’ACID. Cinéastes, producteurs et distributeurs feront un point sur les enjeux de la diffusion du cinéma indépendant.

L’ACID se réjouit de son bilan cannois puisque les 9 films de sa programmation 2013 ont convaincu exploitants et acheteurs et vont donc trouver le chemin des salles françaises très prochainement (voir calendrier ci-dessous).
Nombre de ces films se sont également vendus à l’étranger (ainsi de 2 Automnes 3 hivers, qui a trouvé un distributeur aux États-Unis et en Australie) et ont entamé leur carrière dans les festivals.

> Télécharger le dépliant-programme de cette reprise

LA BATAILLE DE SOLFERINO (Justine Triet)
Distribution : Shellac  //  Sortie : 18 septembre 2013

GRANDIR (O HEUREUX JOURS !) (Dominique Cabrera)
Distribution : Splendor Films  //  Sortie : 23 octobre 2013

WAJMA (Barmak Akram)
Distribution : ASC  //  Sortie : novembre 2013

SWANDOWN (Andrew Kötting)
Distribution : ED  //  Sortie : novembre 2013

AU BORD DU MONDE (Claus Drexel)
Distribution : Aramis Films  //  Sortie : 18 décembre 2013

2 AUTOMNES 3 HIVERS (Sébastien Betbeder)
Distribution : UFO  //  Sortie : 25 décembre 2013

C’EST EUX LES CHIENS… (Hicham Lasri)
Distribution : Nour Films  //  Sortie : 22 janvier 2014

L’ETRANGE PETIT CHAT (Ramon Zürcher)
Distribution : Aramis Films  //  Sortie : 29 janvier 2014

BRADDOCK AMERICA (Jean-Loïc Portron et Gabriella Kessler)
Distribution : ZED  //  Sortie : 2014

Active toute l’année dans 300 salles et festivals, l’ACID a sa propre programmation au Festival International du Film de Cannes depuis 1993.
Elle y montre chaque année 9 longs métrages choisis par une quinzaine de cinéastes de l’association parmi plusieurs centaines de films en provenance du monde entier. Ces films indépendants, fictions et documentaires, parfois autoproduits, souvent premiers longs métrages, sont choisis par les cinéastes de l’association avec pour seuls mots d’ordre le coup de cœur et la volonté de donner de la visibilité à des auteurs, souvent sans distributeur, pour faciliter la sortie de leurs films en salles.
Ont ainsi été révélés à Cannes par l’ACID Lucas Belvaux, Serge Bozon, Djinn Carrénard, Rachid Djaïdani, Arnaud et Jean-Marie Larrieu, Yolande Moreau et Gilles Porte, Pierre Schoeller et bien d’autres…

ACID
(Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion)
Déléguée Générale : Fabienne Hanclot
Présidents : Aurélia Georges et Frédéric Ramade
www.lacid.org
01 44 89 99 74
contacter le service de presse

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Festival du Film de Lama (Corsica) : 28 juillet - 3 août 2012

Le 19e Festival du Film de Lama se déroulera du 28 juillet au 3 août 2012, en Haute-Corse. Si paisible l’hiver avec ses quelque 130 habitants, le village de Balagne s’est habitué à accueillir plus de 9000 spectateurs en une seule semaine… Sandrine Bonnaire, Catherine Frot, Emmanuelle Devos, Daniel Auteuil, Micheline Presle, Yves Boisset, Arnaud et Jean-Marie Larrieu, Romane et Richard Borhinger, Julie Depardieu, Mathieu Amalric, Jean-François Stévenin, Manuel Poirier, Radu Mihaileanu, Charles Berling… : nombreux sont les comédiens et réalisateurs à avoir goûté, comme les festivaliers, aux charmes du lieu et apprécié le rythme d’un festival hors normes.  

La comédienne Marie-Ange Casta sera cette année la marraine du festival.
Elle fera partie du jury de la compétition de courts métrages, au côté de l’acteur et humoriste Eric Fraticelli (le Pido du duo comique Tsek et Pido).
Sont également attendus à Lama le comédien François-Xavier Demaison et le réalisateur Hugo Gélin qui présenteront Comme des frères, la réalisatrice Carine Tardieu, pour Du vent dans mes mollets, en attendant d’autres confirmations…
   
Plus de 60 films, courts ou longs,  seront projetés, en avant-première de leur distribution (voir liste infra).
Il y a à Lama trois sites de projection en plein air, qui attendent la nuit pour s’éveiller :
- le très grand écran de “La Piscine”, un peu à l’écart du village, à l’orée du maquis, où comédiens et réalisateurs viennent présenter des avant-premières et qui a compté jusqu’à 900 spectateurs lors de mémorables séances ;
- “L’Ombria”, plus intime, sur une place du village,  avec une programmation internationale de films indépendants ;
- “Le Mercatu”, entièrement dédié aux enfants, qui, chaque soir, s’installent sur les larges marches de pierre enchâssées au cœur du village, encore chaudes et dont on croirait qu’elles ont été imaginées pour ce jeune public. Avant-premières et films de répertoire s’y partagent l’affiche.

Dans la journée, c’est la “Casa di Lama” qui prend le relais, où est proposée une riche sélection de documentaires récents, pour beaucoup touchant au monde rural. 



PROGRAMME (VOIR DETAIL ICI)

LONGS METRAGES

A perdre la raison
Joachim Lafosse - Belgique / France / Luxembourg / Suisse - 2012 - 111’

Beyond the Hill
Emin Alper - Grèce / Turquie - 2012 - 94’

Comme des frères
Hugo Gélin - France - 2012 - 104’

Confession d’un enfant du siècle
Sylvie Verheyde - France - 2012 - 120’

Du vent dans mes mollets
Carine Tardieu - France - 2012 - 90’

Peace, Love and Misunderstanding
Bruce Beresford - Etats-Unis - 2012 - 96’

Reality
Matteo Garrone - France / Italie - 2012 - 115’
Grand Prix du jury du festival de Cannes 2012

Rengaine
Rachid Djaïdani - France - 2012 - 75’

Le thé ou l’électricité
Jérôme Le Maire - Maroc - 2011 - 80’

Une famille respectable
Massoud Bakhshi - Iran - 2012 - 90’

La Vierge, les Coptes et moi
Namir Abdel Messeh - France / Qatar / Egypte - 2012 - 85’

Vous n’avez encore rien vu
Alain Resnais - France - 2012 - 115’


FILMS JEUNE PUBLIC

Boy
Taika Waititi - Nouvelle-Zélande - 2012 - 88’

L’histoire du petit Paulo
    > 4 courts métrages :
    Sous un coin de ciel bleu
    Arnaud Demuynck, Cecilia Marrreiros Marum - France / Belgique - 2009 - 14’
    Fugue
    Vincent Bierrewaerts - France / Belgique - 2011 - 11’
    La garde-barrière
    Hugo Frassetto - France / Belgique - 2011 - 12’
    L’histoire du petit Paulo
    Nicolas Liguori - France / Belgique - 2011 - 22’

Le jour des corneilles
Jean-Christophe Dessaint - France - 2012 - 95’

Little Bird
Boudewijn Koole - Pays-Bas - 2012 - 81’

Mon tonton, ce tatoueur tatoué
Karla von Bengtson - Danemark - 2010 - 43’

Où est la maison de mon ami ?
Abbas Kiarostami - Iran - 1987 - 87’

Le petit Gruffalo
    > 4 courts métrages :
    Des pas dans la neige
    Makiko Sukikara - Japon - 2010 - 6’
    Le chemin d’un lièvre
    Lotte van Elsacker - Pays-Bas - 2011 - 6’
    L’oiseau et la feuille
    Lena von Döhren - Suisse - 2012 - 4’
    Le petit Gruffalo
    Johannes Weiland, Uwe Heidschötter - Grande-Bretagne - 2011 - 27’



DOCUMENTAIRES

La baie des loups
Bruno et Fabrizio Urso - France - 2011 - 62’

Bulletin de santé communal
Michel Saint-Martin - France - 2011 - 52’

Les chèvres
Corinne Gaucherand - France - 2011 - 22’

Corsica Isula
Tarik Mahfoudi, Philipp Elsterman - France - 2011 - 80’

La dernière séance
Gaëtan Leboutte - Belgique - 2012 - 54’

Elles sont belles comme ça
Gaëlle Rio - France - 2011 - 71’

L’enfer vert des Bretons
Mathurin Peschet - France - 2011 - 52’

Fantang, ou les trois frères Peuls
Pierre Amiand - France - 2011 - 52’

Hazaribag, cuir toxique
Elise Darblay - France - 2012 - 52’

He film
Liliane de Kermadec - France - 2011 - 75’

Le jardin des merveilles
Anush Hamzehian - France - 2011  -52’

Je suis là
Aurélia Etienne - France - 2012 - 40’

Malarjez
Thierry Compain - France - 2011 - 52’

Mouton 2.0 - La puce à l’oreille
Antoine Costa, Florian Pourch - France - 2012  -70’

Les paysans de Citroën
Hubert Budor - France - 2011 - 52’

Paysans et fiers de l’être : nouvelles terres, nouveaux défis
Andréa Riedinger - France - 2010 - 90’

Por un pedacito de tierra
Maria van Muster, Cyril Crusson - France - 2011 - 65’

Santa Croce
Stephan Regoli - France - 2011 - 52’

Le secret de zia Maria
Isabelle Balducchi -  France - 2011 - 53’

La source
Mirabelle Fréville - France - 2011 - 36’

Sur les tréteaux du Sud
Christian Argentino - France - 2011 - 52’

Tempi di i lucchesi
Joël Jenin - France - 2011 - 53’

Terre promise
David Foucher - France - 2012 - 52’

Un printemps en Méditerranée
Marion Touboul - France - 2011 - 52’



COURTS METRAGES

hors compétition :

Coupez
Laurent Simonpoli - France - 2012 - 27’

Libertà per i scemi
Michel d’Onofrio - France / Corse - 2011 - 15’

en compétition :

Adivina quién viene a comer mañana
Pepe Jordana - France - 2012 - 30’

Amadingen
Philipp Käßbohrer - Allemagne - 2011 - 23’

Come what may
Maxime Feyers, Mathieu Bergeron - France / Belgique - 2012 - 16’

Cuando sea grande
Bustamante Jayro - France - 2012 - 13’

Les éphémères fugitifs
Baptiste Rouveure - France - 2012 - 5’

Mon amoureux
Daniel Metge - France - 2012 - 22’

Nadie tiene la culpa
Esteban Crespo - Espagne - 2012 - 14’

Ursus
Reinis Petersons - France - 2011 - 10’

Yvette
Marie Bassolé, Ferdinand Bassono - France - 2012 - 21’

Les festivaliers font leur cinéma
> Après le succès de l’an dernier, le Kinobus s’installera à nouveau dans les ruelles de Lama. Véritable point de rencontres et de création mobile, ce laboratoire ouvert à tous invitera ses participants à produire un film en 72 heures. A l’issue de ces trois jours, les « kinoïtes » devront présenter leur court métrage, qui sera projeté en fin de festival à la Casa di Lama.
En 2011, de nombreux villageois et estivants de tous âges ont pris plaisir à jouer dans ces courts métrages.
Le mouvement Kinobus est né en 1999 à Montréal.

Sandrine Veysset (Y aura-t-il de la neige à Noël?), sera au rendez-vous pour la 5e année consécutive,  pour animer un atelier de création cinématographique à destination des enfants. Sous l’œil de la réalisatrice, ils deviennent les comédiens d’un court métrage projeté le soir de clôture du festival.

Outre le Kinobus et l’atelier de réalisation pour les enfants, on trouvera aussi au programme d’un festival apprécié pour sa convivialité un atelier d’écriture mené par l’association Detti è Scritti, un colloque (“Regards sur le patrimoine maritime corse”), un atelier d’improvisation théâtrale dirigé par Yann Berriet (compagnie Crache-Texte), diverses animations pour les enfants, notamment autour des jeux d’optiques, une mamie conteuse (Mireille Calamaro - Alfonsi), sans oublier les désormais traditionnelles discussions entre le public et les réalisateurs, qui se tiennent désormais le lendemain des projections à l’ombre généreuse du grand platane…

    TARIFS :
          Séance plein tarif : 7 euros
          Tarif réduit : 5 euros (enfant de moins de 12 ans, chômeurs, étudiants)
          Passeport (toutes les séances du festival) : 38 euros
          Passeport tarif réduit : 25 euros
          Abonnement (5 entrées) : 30 euros
         
    Festival du Film de Lama
          Directeur : Tony Ceccaldi
          Coordinatrice : Mélanie Guaïtella
    Président d’honneur et fondateur : Mathieu Carta
          Maison de la Culture et du Tourisme
          20218 Lama
          Tél:  04 95 48 21 60
          info@festilama.org
          www.festilama.org
          contacter le service de presse


Cliquez ici pour télécharger l’affiche, signée Franck Laprée
LAMA_VISUEL_2012
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Festival du Film de Lama - 1 > 7 août 2009


Sandrine Bonnaire et Emmanuelle Devos invitées du 16e Festival de Lama (Haute-Corse, 1>7 août 2009)

La 16e édition du Festival du Film de Lama aura lieu du samedi 1er au vendredi 7 août 2009, en Haute-Corse.
Emmanuelle Devos, Sandrine Bonnaire, Caroline Bottaro, Christian Carion et Alice de Lencquesaing seront, entre autres, les invités de la manifestation.
En Balagne, au centre d’un cercle qui passerait par Calvi, Bastia et Corte, le village médiéval de Lama, dont les hautes maisons semblent bâties à même la montagne, domine le delta de l’Ostriconi et sa superbe plage.
Chaque été, trois écrans s’y allument à la tombée de la nuit et le cinéma s’insinue dans les ruelles, agrémenté des parfums du maquis proche, sur trois sites, dont un entièrement dévolu au jeune public, avec une programmation et un accueil spécifiques.
La plupart des films sont proposés en avant-première, en présence des réalisateurs et comédiens.
Dans la journée, dès 10h 30, la salle des fêtes de la mairie, « la Casa di Lama », aménagée en salle de cinéma, propose une sélection de documentaires récents.
Et la traditionnelle compétition de courts métrages de Lama, qui fait la part belle aux chroniques villageoises européennes, se déroulera sous l’œil d’un jury composé de la comédienne Emmanuelle Devos, de Jean-Pierre Lorit, comédien, Aude Véjus Riellan, directrice artistique de la Cinémathèque de Corse, Philippe Reynaert, directeur général de Wallimage, et Thierry Afflalou, producteur.
Enfin, on trouvera au programme d’un festival apprécié pour sa convivialité un atelier de scénario, un colloque, des contes, une exposition, et un atelier de création cinématographique à destination des enfants, animé par la réalisatrice Sandrine Veysset (“Y aura-t-il de la neige à Noël?”).

TOUTE LA PROGRAMMATION


    Longs métrages en avant-première :
    [liste non exhaustive]

Le temps qu’il reste de Elia Suleiman, avec  Saleh Bakri, Yasmine Haj, Leila Muammar 
(France, Belgique, Italie)

Non ma fille tu n’iras pas danser de Christophe Honoré, avec Chiara Mastroianni, Marina Foïs, Marie-Christine Barrault, Louis Garrel

L’affaire Farewell de Christian Carion, avec Guillaume Canet et Emir Kusturica

Joueuse de Caroline Bottaro, avec Sandrine Bonnaire et Valérie Lagrange

A l’origine de Xavier Giannoli, avec Emmanuelle Devos et François Cluzet

Le père de mes enfants de Mia Hansen- Løve, avec Chiara Caselli, Louis-Do de Lencquesaing, Alice de Lencquesaing
(Prix spécial du jury un certain regard, Cannes 2009)

Hôtel Woodstock (Taking Woodstock) de Ang Lee, avec Jeffrey Dean Morgan, Emile Hirsch et Paul Dano

La terre de la folie de Luc Moullet, avec Luc Moullet

Ander de Roberto Castón
(Espagne)

Mary And Max de Adam Elliot [film d’animation]
(Australie)

Canine (Kynodontas) de Yorgos Lanthimos, avec Christos Stergioglou, Michele Valley, Aggeliki Papoulia
(Grèce - Prix Un Certain Regard - Fondation Groupama Gan pour le Cinéma, Cannes 2009 )

Panique au village de Vincent Patar et Stéphane Aubier
(Belgique, France, Luxembourg)

Katalin Varga de Peter Strickland, avec Hilda Peter
(Roumanie/Grande-Bretagne/Hongrie, Ours d’argent de la plus remarquable contribution artistique, Berlinale 2009 (Gabor Erdély et Tamas Székely pour la bande sonore)

Les deux moustiques de Jannik Hastrup, Flemming Quist Møller [film d’animation]
(Danemark)

Les animations :
> L’atelier d’écriture de scénario : mercredi 5 août - 10h30-13h et 15h-19h
L’association Detti è Scritti existe depuis septembre 2004. Sa vocation est de rendre l’écriture accessible au plus grand nombre et à tous les âges, en langue corse comme en langue française. Animer des ateliers d’écriture, qu’on soit déjà par ailleurs écrivain, journaliste ou enseignant, ça ne s’improvise pas. Le genre répond à un ensemble de règles et de techniques qui seules permettent d’aboutir au confort et au plaisir de l’écrivant. L’association a donc commencé par former ses propres animateurs, grâce à l’implication de la CTC, en faisant venir en Corse un grand nom des ateliers d’écriture, Alain André, patron d’ALEPH-Ecritures (Paris 5è). A la suite de cette formation, les premiers ateliers ont pu voir le jour en septembre 2005.
Aider les écrivants à surmonter leurs peurs et leurs blocages, les accompagner sur le chemin de leur propre voix intérieure, ce qu’on appellera ensuite leur style, faire de l’écriture un outil de découverte du monde, de partage, d’ouverture à l’autre, c’est ce que les animateurs de Detti è Scritti font à chaque séance, à chaque stage d’écriture. Jeux d’écriture, poésie, écriture de scénario, autant de prétextes à manipuler les mots, à désacraliser la langue, à exprimer ses émotions.

> L’atelier de création cinématographique : toute la semaine du festival
Cette année encore, le festival propose un atelier d’initiation au cinéma, destiné aux jeunes pendant le festival. Cet atelier gratuit sera animé par la réalisatrice Sandrine Veysset et se déroulera du 1er au 7 août et demandera la présence des participants quelques heures par jour.
L’atelier abordera toutes les étapes de la réalisation d’un film, de l’écriture au montage. Un film sera réalisé par l’atelier et présenté lors de la soirée de clôture.

> Les contes pour enfants : jeudi 6 août après-midi
Mireille Calamaro: une mamie conteuse.

> Colloque : mardi 4 août
Le Colloque de l’édition 2009 du Festival du Film de Lama se déroulera le mardi 4 août. Le thème abordé cette année sera «L’habitat traditionnel en Corse: un patrimoine à sauvegarder».
La Corse n’est pas que «la plus proche des îles lointaines», elle est aussi et surtout riche d’un patrimoine artistique, présent aussi bien dans la plus humble chapelle de montagne que dans un « palazzu» de propriétaire terrien ou d’ «Américain» du Cap Corse.
L’Habitat, indissociable du paysage naturel, fait partie de ce patrimoine.ll valorise notre cadre de vie et contribue à sa qualité. Ses richesses historiques, esthétiques et culturelles ne doivent pas être sacrifiées au nom d’une logique de développement économique. C’est le principe même d’une politique de développement durable, respectueuse de l’identité et de l’environnement.
Un célèbre proverbe maori affirme: «le patrimoine, ce n’est pas ce que j’ai reçu de mes ancêtres et que je transmets à mes enfants. Le patrimoine, c’est que je reçois de mes enfants et que je gère dans la fidélité de mes ancêtres». En quelque sorte ce sont nos enfants qui nous prêtent notre environnement, à nous de le préserver et si possible de l’améliorer avant de leur transmettre.

> L’exposition
La salle du Stallo accueillera les œuvres d’Anne Simi.
Anne Simi passe son enfance et adolescence en Corse, elle étudie les Lettres à Aix en Provence.
Elle séjourne à Rabat et Casablanca au Maroc et enseigne en coopération à Bagdad, Irak, en tant que professeur au Centre Culturel Français.
Son parcours artistique
Bangkok, Thailande, études d’histoire de l’Art de l’Asie du Sud-Est.
Rome, étude d’histoire de l’Art.
Paris, école du Louvre.
Amman, Jordanie – participation à des ateliers de peinture.
Lors de ses séjours à l’étranger elle cherche à connaître les différents pays et civilisations à travers l’art.
Elle commence à peindre en 2000, d’abord des aquarelles figuratives, puis des compositions abstraites.


TARIFS:

Plein tarif : 7 euros
Tarif réduit : 5 euros (enfant de moins de 12 ans, chômeurs, étudiants)

Passeport : 38 euros
Passeport tarif réduit : 25 euros

Abonnement (5 entrées) : 25 euros

Festival du Film de Lama
Directeur : Mathieu Carta
Coordinatrice : Mélanie Guaïtella

Maison de la Culture et du Tourisme
20218 Lama
Tel: +33 (0)4 95 48 21 60
Fax: +33 (0)4 95 48 24 64
info@festilama.org
www.festilama.org

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Festival International du Court Métrage - Clermont-Ferrand - 4>12 février 2011

33e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand
du 4 au 12 février 2011
>Télécharger le dossier de presse et
La dernière édition de Ça suit son court.

Les films en compétition
 :
Compétition Internationale

Compétition Labo

Compétition Nationale

10 ans de Labo, 10 ans de plasticages sensoriels

Espace de liberté et de nouveauté, le Labo accompagne depuis 10 ans à Clermont-Ferrand la genèse et la mutation des courts métrages les plus hybrides. 
Pour fêter cet anniversaire, le 33e Festival de Clermont, qui se tiendra du 4 au 12 février 2011, annonce :
• une rétrospective d’une quarantaine de films ayant marqué cette section internationale, 
• un programme consacré à un familier des festivaliers clermontois, Nicolas Provost, formé à l’Académie royale des Beaux-Arts de Gand, et qui, se confrontant aussi bien à la fiction qu’à l’expérimental, revisite avec brio les codes du cinéma
et
• l’édition d’un dvd de 10 films, co-édité par Agnès b.  et les éditions Potemkine (sortie janvier 2011), en collaboration avec Canal + 

[les titres des films figurant sur ce dvd]

Dernière minute : Paulo Furtado, aka The Legendary Tigerman, sera de la fête, avec films et guitares (et participation au jury Labo) [voir Décibels, ci-dessous].
Et Dyana Gaye, réalisatrice de Deweneti (Prix spécial du Jury à Clermont en 2007) et de Un transport en commun (Clermont 2010), fera partie du jury de la compétition internationale.

Comme chaque année, le Labo partagera l’affiche clermontoise avec deux autres compétitions — française et internationale — (remise des Vercingétorix, samedi 12 février) et plusieurs rétrospectives ou programmes spéciaux.

Hors compétition :

Nouvelle-Zélande
A côté des productions hollywoodiennes qui viennent acheter ses fabuleux décors naturels, il existe une production de courts métrages qui, seule, révèle et témoigne véritablement de la réalité du cinéma néo-zélandais, et que le Festival de Clermont a décidé cette année de faire découvrir à travers une quarantaine de films de différentes périodes.

Courts des contes
Les contes de Charles Perrault, des frères Grimm ou de Hans Christian Andersen, mais aussi une infinité de contes arabes, chinois ou inuit ont inspiré les cinéastes du monde entier. Un vaste panorama permettra aux festivaliers d’apprécier la richesse et la diversité des adaptations des contes — traditionnels, populaires ou philosophiques — au cinéma de court métrage.

Carte blanche à Ron Dyens (Sacrebleu Productions), lauréat du Prix Procirep à Clermont en 2010
.

Kunsthochschule für Medien (Köln)
Deux programmes pour les 20 ans de l’Ecole supérieure d’art des médias de Cologne (Allemagne).

Regards d’Afrique
Courts métrages africains francophones récents.

Court d’histoire
Regards sur des courts métrages français et la guerre d’Algérie (projection + conférence).

Entre les événements de Sétif, en mai 1945, et l’indépendance de l’Algérie en juillet 1962, la France produit, par le biais de différents ministères ou du gouvernement général de l’Algérie, de nombreux courts métrages de propagande pour mettre en valeur son action économique et sociale. Entre imaginaire exotique et modernité triomphante, dans des départements qui, français d’un point de vue administratif, représentent pourtant un symbole colonial, une filmographie particulière voit donc le jour. Avant 1954, ce sont des sociétés civiles qui produisent ces films, le plus souvent pour le compte des administrations. Le début de la guerre d’Algérie en novembre 1954 marque l’entrée en lice de l’armée et, d’un point de vue médiatique, du Service cinématographique des armées (SCA).

Trois courts métrages emblématiques de cette période coloniale (un nanar sentimental et deux films de propagande militaire) seront présentés le jeudi 10 février à 14H00 à la Jetée. La projection sera suivie d’une conférence de Sébastien Denis, maître de conférence en cinéma à l’Université de Provence et chercheur associé au CNRS, auteur de l’ouvrage « Le cinéma et la guerre d’Algérie » (Nouveau Monde Editions).

Séance sur réservation : 04 73 14 73 11 – g.bollon@clermont-filmfest.com 

O’Galop
Tout le monde connaît le Bibendum Michelin mais personne ne connaît l’artiste qui se cache derrière ce logo mondialement connu. Marius Rossillon dit O’Galop (1867-1946) est illustrateur pour la presse satirique, affichiste, inventeur du Bibendum et pionnier du cinéma d’animation. Son arrière-petit-fils, Marc Faye, a réalisé un documentaire qui explore son univers que vous pourrez découvrir avec huit films d’animation d’O’Galop dans notre rubrique Collections (ex-Distributeurs).

Films en région 
Courts métrages tournés et aidés en régions.

Décibels
Deux programmes cette année à la croisée de l’image et de la musique. L’un pour se glisser dans l’univers visuel de Femina, le dernier album de The Legendary Tigerman, avec 8 courts métrages et un documentaire ; l’autre pour fêter les 20 ans de l’emblématique label anglais Ninja Tune.


Le Femina Series est un retour à l’innocence du Super 8. Les scénarios sont simples comme bonjour. Ce sont des films de famille. Entre réalisme et voyeurisme, ils ambitionnent de dessiner la femme derrière l’artiste. Ces films font partie d’un vaste projet composé d’un disque, où chaque chanson est écrite/jouée avec une femme, et d’un documentaire, On the Road to Femina, réalisé par Jorge Quintela. Ce documentaire suit The Legendary Tigerman dans ses pérégrinations à la recherche de femmes uniques dont la voix et l’interprétation donneront, au bout du compte, la forme et la couleur de son dernier album, Femina. Au final, c’est un véritable voyage à travers enregistrements, concerts et coulisses qui donne à partager l’expérience Femina. Paulo Furtado alias The Legendary Tigerman est membre du jury Labo 2011. Il interprétera une paire de morceaux en acoustique avant quelques-unes des projections.


Pour ce deuxième programme consacré au label Ninja Tune, nous allons vous ramener loin dans les méandres du passé, un temps où Margaret Thatcher était encore au pouvoir et Nelson Mandela venait de retrouver la liberté. Un temps où ce n’est pas l’Allemagne mais la RFA qui gagnait la Coupe du Monde et où un certain Tim Berners-Lee posait les bases d’une espèce de projet ésotérique appelé World Wide Web… En ce temps-là, deux jeunes DJ/Producteurs britanniques, auréolés de leur succès auprès d’artistes comme Yazz ou Lisa Stanfield, revenaient d’une tournée au Japon, dégoûtés des méthodes de leur major (BMG). Ils décidèrent alors de créer leur propre maison de disque. C’est ainsi que Jon More et Matt Black, plus connus sous le nom de COLDCUT, fondèrent NINJA TUNE. C’était il y a 20 ans. 20 ans c’est long, quel que soit le sujet. Mais pour un label indépendant, c’est une éternité. 15 vidéos pour découvrir les bricolages protéiformes, la véritable guérilla multimédia que joue ce label.

Scolaires
Des études de scénarios, un programme de courts et des rencontres avec les réalisateurs.

Ecoles, enfants
Plusieurs programmes spéciaux pour les enfants.

26e Marché du Film Court
(5 > 11 février 2011)
Le Marché du Film Court de Clermont-Ferrand est un espace réservé aux professionnels. C’est le lieu d’échange privilégié des représentants de tous les secteurs du court métrage mondial. 

La crise se fait diversement sentir. L’absence des Britanniques, due aux soucis du UK Film Council qui fédérait et facilitait grandement l’organisation de leur superbe stand, va être remarquée par l’ensemble de la profession. Nous aurons néanmoins le plaisir d’accueillir Candella Films (distribution/programmation de courts)  et Salford University. De même, Creative Scotland (ex Scottish Screen), qui est l’organisme national chargé de l’aide à la production et au rayonnement international des œuvres écossaises, sera présent sur le marché clermontois, marché majeur sur la scène internationale.

Bien que les Espagnols ne peuvent plus avoir, cette année, de présence commune car les organismes financeurs (ICAA, ICEX, Egeda) ont déclaré forfait, à l’image des Britanniques, la présence hispanique sera assurée par la Communauté de Madrid, Catalan Films, Castilla la Mancha, la Kimuak pour le Pays basque et les Canaries.

Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, car le marché fonctionne à guichets fermés, de nouveaux venus arrivent à Clermont : le Centre Audiovisuel Croate, Raggio Verde (société italienne de sous-titrage de notre ami Piero Clemente, ancien directeur du festival de Sienne), ACORCH Chili (association de « courts métragistes » du Chili), Free Band Diffusion, une nouvelle plateforme pour le court métrage dont le lancement sera annoncé au marché, la Malaisie via une société de production Da HuANg Production-distribution et, enfin, Kodak qui aura un espace affirmant ainsi sa détermination à s’inscrire dans la dynamique de la production internationale de courts métrages.

Nous retrouverons bien sûr des habitués du marché, acteurs essentiels sur les scènes française et internationale : Media, le CNC, Unifrance, la Fémis, L’Agence du court métrage (France), la Normandie, Wallonie Bruxelles Images, la Sodec, le Portugal, la Thaïlande, les pays scandinaves, le Mexique, la Roumanie, la République Tchèque, la Pologne, l’Iran, l’Italie, les Pays-Bas, Israël, la Grèce, la Suisse, la Nouvelle-Zélande, le Japon, l’Irlande et, pour finir, la Corée du Sud qui double son stand pour accueillir cinq compagnies coréennes (écoles et distributeurs).

Le marché 2011, malgré la crise financière  qui frappe la culture et particulièrement le champ du court métrage, se présente donc comme une édition pleine de promesses, propre à développer les projets européens et internationaux de production et de diffusion.

Marché du Film Court 2010 : 29 pays exposants, 279 organismes dont 126 exposants, 464 producteurs, 440 représentants de festivals français et internationaux 
Début du marché : samedi 5 février à 9 h pour les visionnements vidéo // lundi 7 février à 9 h pour les stands de représentation (organismes, sociétés de production, industries techniques, associations…).

Euro Connection 3
Depuis deux ans à Clermont-Ferrand, Euro Connection est devenu le rendez-vous des producteurs européens qui développent des projets de films en coproduction. Chaque année une vingtaine de projets de courts métrages prometteurs sont sélectionnés avec l’aide de relais dans une quinzaine de pays. Leurs producteurs sont invités à venir les présenter à des partenaires potentiels pour mobiliser les moyens financiers et artistiques nécessaires à leur concrétisation dans des conditions optimales. Ce forum propose également un cadre où des rendez-vous personnalisés sont organisés tout en laissant place à des échanges informels. La présence de 150 participants l’an passé traduit l’intérêt pour la coproduction d’une génération de producteurs qui font un travail remarquable avec le court métrage.

Deux tiers des projets présentés en 2009 ont abouti depuis. Certains films ont eu les honneurs de sélections prestigieuses, comme Yuri Lennon’s Landing on Alpha 43,  en compétition aux festivals de Locarno, puis de Winterthur, ou Casus Belli, en sélection Orizzonti à la dernière Mostra de Venise, avant de collecter pas moins de 6 prix au Festival de Drama, en Grèce. Le public clermontois pourra découvrir ces deux films en compétition internationale au festival 2011. 

Le Livre présentant les projets sélectionnés et les producteurs invités pour la prochaine édition d’Euro Connection sera consultable début janvier sur le site du festival (www.clermont-filmfest.com), ainsi que le formulaire d’inscription pour les producteurs, diffuseurs, distributeurs et financeurs souhaitant participer à ces rencontres. Euro Connection se tiendra le mardi 8 février 2011, et les rendez-vous individualisés se poursuivront dans la journée du 9 février. 
Euro Connection est organisé par Sauve qui peut le court métrage, en collaboration avec le MEDIA Desk France et le CNC, et avec le soutien du programme MEDIA et de la PROCIREP.

L’Atelier
Chaque année à Clermont, l’Atelier, véritable école éphémère de cinéma, ouvre ses portes au public
Thème 2011 : le conte animé.
Avec la participation de l’École Nationale Supérieure Louis-Lumière, de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Fd, de l’école d’effets spéciaux ArtFx, de l’équipe de Tout court, du Lycée Descartes à Cournon (DMA cinéma d’animation), de l’école Estienne, et du lycée Vercingétorix.

Bref historique
Des années avant de passer au long métrage (ou de poursuivre sur la voie du court !), bien des réalisateurs, comédiens, producteurs ou techniciens — français et étrangers — ont vu leur carrière démarrer au pied des volcans d’Auvergne… Le Festival International du Court Métrage, dont la 33e édition se tiendra du 4 au 12 février 2011, est né à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), en 1979, au sein d’un ciné-club étudiant, et ses créateurs président toujours aux destinées de ce qui est devenu la plus grosse manifestation mondiale consacrée aux films de moins d’une heure.

En termes de fréquentation, Clermont est aussi aujourd’hui le deuxième festival de cinéma français après Cannes, avec, en 2010, plus de 144 000 spectateurs et 3000 professionnels accrédités, venus du monde entier, cependant que, parallèlement au Festival, le Marché du Film Court est un lieu d’échange privilégié du film court international, unique en son genre.

L’association “Sauve Qui Peut le Court Métrage” organise le Festival et le Marché du Court Métrage de Clermont-Ferrand. C’est la partie la plus visible et la plus spectaculaire de son action.

Mais elle intervient aussi, tout au long de l’année, dans de nombreux domaines concernant le cinéma et l’audiovisuel, et à ce titre, elle a obtenu, en 2000, le titre de Pôle d’Education à l’Image, au Cinéma, à l’Audiovisuel et au Multimédia.

Enfin, les actions de la Commission du Film d’Auvergne viennent naturellement conforter les activités de l’association en accueillant les tournages en Auvergne.

Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand
La Jetée
6 place Michel-de-L’Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
Tél : 33 (0)4 73 91 65 73  
Fax : 33 (0)4 73 92 11 93
Mail : info@clermont-filmfest.com
Site : www.clermont-filmfest.com

Presse :
Jean-Bernard Emery
+ 33 (0)1 55 79 03 43 // +33 (0)6 03 45 41 84
jb.emery@cinepresscontat.com
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Clermont_Poster_2011
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Images du 32e Festival International du Court de Clermont-Ferrand

32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Photos libres de droit dans le cadre de la couverture de la manifestation (crédits à mentionner).
32nd Clermont-Ferrand Short Film Festival.
Pictures free of any copyright for the reserved use of covering this event (please mention the photos credits).

Driessen_Clermont_2010
29 janvier 2010. Le réalisateur hollandais d’animation Paul Driessen, juré de la compétition internationale, lors de la cérémonie d’ouverture du 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand, présentée par Antoine Lopez, l’un des organisateurs du festival, (à sa droite) et le réalisateur Claude Duty (à sa gauche).
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Marrakchi_Clermont_2010
29 janvier 2010. La réalisatrice marocaine Laïla Marrakchi, jurée de la compétition nationale, lors de la cérémonie d’ouverture du 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Crédit :Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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29 janvier 2010. Le réalisateur et comédien espagnol Nacho Vigalondo, juré de la compétition internationale, lors de la cérémonie d’ouverture du 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand, présentée par Antoine Lopez, l’un des organisateurs du festival, (à sa droite).
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Affluence_Clermont_2010
29 janvier 2010. Affluence pour l’ouverture du 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage. Cliquez ici pour agrandir

FMitterrand_JCSaurel
30 janvier 2010. Jean-Claude Saurel, président de l’association organisatrice du 32e Festival international du Court Métrage, accueille Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, à Clermont-Ferrand.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage
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FMitterrand_RGonin
30 janvier 2010. Roger Gonin, co-délégué général du Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand, présente le Marché du Film Court à Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, sous l’œil de Olivier Bianchi, adjoint à la Culture de la Ville de Clermont-Ferrand.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage
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ElectricPalace
30 janvier 2010. L’Electric Palace est le nouveau lieu convivial du Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_ShortMarket_1
1er février 2010. Vue du 25e Marché du Film Court, qui réunit les professionnels du secteur, venus du monde entier, parallèlement au 32e Festival international du Court Métrage.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_ShortMarket_2
1er février 2010. Vue du 25e Marché du Film Court, qui réunit les professionnels du secteur, venus du monde entier, parallèlement au 32e Festival international du Court Métrage.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_ShortMarket_Media_1
2 février 2010. Présentation d’acheteurs et de diffuseurs de courts métrages sur les gradins du 25e Marché du Film Court, qui réunit les professionnels du secteur venus du monde entier, parallèlement au 32e Festival international du Court Métrage.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_Atelier_1
Clermont-Ferrand, 2 février 2010. L’Atelier, école éphémère de cinéma, se tient du 1er au 5 février à l’Ecole d’Architecture. A l’honneur cette année : la 3D.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_Atelier_2
Clermont-Ferrand, 2 février 2010. L’Atelier, école éphémère de cinéma, se tient du 1er au 5 février à l’Ecole d’Architecture. A l’honneur cette année : la 3D.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_Atelier_3
Clermont-Ferrand, 2 février 2010. L’Atelier, école éphémère de cinéma, se tient du 1er au 5 février à l’Ecole d’Architecture. A l’honneur cette année : la 3D.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_PrixFranceTV
Clermont-Ferrand, 1er février 2010. Le premier prix France Télévisions du court métrage a été remis à Claire Burger et Marie Amachoukeli pour C’est gratuit pour les filles, une mention spéciale revenant à La raison de l’autre, de Foued Mansour. Mention de meilleure comédienne pour Chloé Berthier (La raison de l’autre), de meilleur comédien pour Jérémy Azencott (Alter Ego, de Cédric Prévost). Ce jury était composé de Eric Libiot (L’Express), Macha Séry (Le Monde), Jean-Marie Durand (Les Inrockuptibles), Alain Riou (Nouvel Observateur), Valentine Roulet (CNC), Pierre Héros (France 2 Cinéma), Daniel Goudineau (France 3 Cinéma), Harold Valentin (Pôle fiction de France Télévisions) et Frédéric Prallet-Dujols (direction des acquisitions).
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont_2010_Expresso
Clermont-Ferrand, 2 février 2010. Peter Volkart, réalisateur, avec Ulrich Schaffner, du film Ja ja, nein nein, court suisse en compétition internationale au 32e Festival du Court Métrage, en plein débat avec le public des Expressos, passage obligé de tous les réalisateurs présents à Clermont.
Crédit : Michel Vasset pour Sauve Qui Peut le Court Métrage.
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Clermont-Ferrand - 4 février 2010. Soirée Canal + “La Collection pique sa crise” au 32e Festival du Court Métrage, à la Coopérative de Mai. Concert des Wampas.
Crédit photo : Priscilla Buluc - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Clermont-Ferrand - 4 février 2010. Soirée Canal + “La Collection pique sa crise” au 32e Festival du Court Métrage, à la Coopérative de Mai. Concert des Wampas.
Crédit photo : Priscilla Buluc - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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Clermont-Ferrand - 4 février 2010. Soirée Canal + “La Collection pique sa crise” au 32e Festival du Court Métrage, à la Coopérative de Mai. Concert des Wampas.
Crédit photo : Priscilla Buluc - Sauve Qui Peut le Court Métrage
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L'ACID au 60e Festival de Cannes

L’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion) a présenté 9 films pendant le 60e Festival de Cannes.
Du 17 au 25 mai, chaque film a été projeté, comme chaque année, deux fois le même jour, à 11h au Studio 13 (dans le cadre de Cannes Cinéphile), puis à 20h au cinéma Les Arcades. Les réalisateurs étaient présents pour rencontrer le public à l’issue des projections.

Voici la programmation :

Jeudi 17 Mai
DES TROUS DANS LA TETE !
de Guy Maddin
Fiction - Canada/USA – 97 mn – 2006

Vendredi 18 Mai
PRISONNIERS DE BECKETT
de Michka Saäl
Documentaire – France/Canada- 85 mn – 2006
> en présence de Michka Saäl.

Samedi 19 Mai
REVES DE POUSSIERE
de Laurent Salgues
Fiction – France/Canada/Burkina Faso – 86mn - 2006
> en présence de Laurent Salgues et de la comédienne Fatou Tall-Salgues.

Dimanche 20 Mai
L’HOMME QUI MARCHE
de Aurélia Georges
Fiction – France - 82 mn - 2007
> en présence de Aurélia Georges et de la co-scénariste du film, Elodie Monlibert.

Lundi 21 Mai
LA PART ANIMALE
de Sébastien Jaudeau
Fiction – France – 87 mn - 2006
> en présence de Sébastien Jaudeau.

Mardi 22 Mai
LES BALLETS DE CI DE LA
de Alain Platel
Documentaire - France / Belgique - 110 mn – 2006
> en présence d’une partie de l’équipe.

Mercredi 23 Mai
COMBALIMON
de Raphaël Mathié
Documentaire – France – 85mn- 2007
> en présence de Raphaël Mathié.

Jeudi 24 Mai
SO LONG MY HEART !
de Stefan Hillebrand et Oliver Paulus
Fiction - Suisse / Allemagne - 90mn -2006
> en présence de Stefan Hillebrand et de Oliver Paulus.

Vendredi 25 Mai
•Soirée spéciale « La création en question » :
SUR MA LIGNE
de Rachid Djaïdani
Documentaire - France - 55mn - 2006
Film précédé d’une lecture de textes de et par Rachid Djaïdani.

Des courts métrages inédits, les “Talents Cannes” proposés par l’ADAMI, ouvriront les séances. Ils ont été réalisés cette année par Nicolas Klotz, Mathieu Amalric, Arnaud et Jean-Marie Larrieu, Marilyne Canto et Patrice Leconte.

L’ACID à Cannes, ce n’est pas une section parallèle de plus, mais un des moments forts d’un projet collectif, 15 années d’engagement concret, au nom d’une certaine idée du cinéma. Ce sont des cinéastes, en effet, qui ont créé cette association en 1992 afin de soutenir la diffusion du cinéma indépendant. Et ce sont des cinéastes qui chaque année se déplacent pour défendre les films d’autres cinéastes lors de quelque 75 débats dans les cinémas français, dans une vingtaine à l’étranger, et dans une aide à la programmation de 150 salles.

Si, pour une grande partie des films présentés à Cannes, cette exposition visera en premier lieu à trouver un distributeur, pour tous les films accompagnés sur la Croisette par l’ACID, leur choix par des réalisateurs de l’association est bien le gage d’un soutien qui ne s’arrêtera pas avec la clôture du festival.

Partenaire des festivals de La Rochelle, Lussas et Belfort, l’ACID travaille également en lien avec plusieurs festivals internationaux, qui visionnent systématiquement les films qu’elle soutient, ce qui permet leur programmation et leur distribution à l’étranger (tel récemment Oublier Cheyenne, au Québec). Un partenariat établi entre l’ACID et un vendeur de films indépendants vers l’étranger (salles, vidéo, tv) - Insomnia World Sales - renforce cette ouverture internationale.

Et pour la première fois, grâce au soutien de la Région Ile de France, les films présentés à Cannes par l’ACID seront projetés en septembre dans tous les départements de l’Ile de France, dont une salle à Paris.

En cliquant en bas de cette page sur “tout voir”, vous pourrez retrouver la liste de tous les films présentés à Cannes par l’ACID depuis 1993, mais aussi quelques éléments chiffrés du bilan des actions de l’association en 2006, et les “fondamentaux” de l’ACID. Consciente des évolutions inquiétantes de la diffusion des films « Art et Essai » et de façon plus générale des films dits indépendants, l’ACID a en effet entamé ces derniers mois une vaste réflexion sur son action.

L’ACID à Cannes
du 17 au 25 mai 2007
- un film par jour
- deux projections :
11H AU STUDIO 13
[23, avenue du Docteur Picaud, Cannes La Bocca, dans le cadre de Cannes Cinéphiles]
20H AU CINEMA LES ARCADES
[77, rue Félix Faure, Cannes]

Laissez-passer permanents délivrés aux professionnels (prioritairement aux exploitants et distributeurs) et invitations pour le public seront à retirer chaque jour entre 10h et 13 ­ 15h et 18h dans les bureaux cannois de l’ACID.

L’ACID à Cannes
La Malmaison (au sous-sol)
47, La Croisette.
Tél : 04 92 98 85 64

L’ACID à Paris
14, rue Alexandre Parodi
75010 Paris
acid@lacid.org
www.lacid.org

Contacts :
Fabienne Hanclot, déléguéé générale: 01 44 89 99 71
Grégory Taglione, responsable exploitation: 01 44 89 99 91
Jean-Baptiste Le Bescam,chargé de l’événementiel: 01 44 89 99 74

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L'ACID à Cannes du 17 au 26 mai 2012 : le off indé du festival

Un point commun entre Donoma et Noces éphémères, Bovines et La vie au ranch ou Fleurs du mal ?
Leur programmation à Cannes par l’ACID, et, une fois ouvert le chemin des salles, au côté des auteurs de ces films et de leurs distributeurs, la présence active de l’équipe et des cinéastes réunis au sein de cette Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion.
Comme chaque année, du 17 au 26 mai, l’ACID présentera en off du Festival de Cannes 9 films de long métrage, documentaires ou de fiction, productions “indé” françaises ou internationales, pour la plupart sans distributeur en France, lors de séances ouvertes à tous les publics, en présence des équipes des films et de leurs “parrains” de l’association.
DECOUVREZ LA PROGRAMMATION CANNES 2012 DE L’ACID

La Cinémathèque célèbre les 20 ans de l’ACID (ALLOCINE)

L’ACID fête ses 20 ans (LE MONDE)

Un regard super ACID (POLITIS)


Vingt ans et toutes ses dents pour l’ACID (L’HUMANITE)


Zoom sur les 20 ans de l’ACID (ALLOCINÉ)


L’ACID chez l’Eléphant effervescent (NOVA) 


Reportage France Trois à Cannes


Quoi de neuf dans les mondes parallèles ? (LE MONDE)


Quand les caméras regardent le monde (L’HUMANITE)


Un palmarès de vieillards (SLATE)


ACID - CANNES 2012

Comment l’homme suture sa place au monde qui l’entoure ? Cette question a d’autant plus de mérite d’être posée lorsque ce même monde se trouve en crise, en guerre ou en deuil. Le corps rentre alors en résistance et le cinéma le dévoile dans ses quêtes existentielles.
La programmation ACID 2012 présente neuf propositions cinématographiques regardant par les prismes de leur matière filmique singulière et innovante ces silhouettes en questionnement. Le cinéma tend à recoudre les plaies de l’Histoire et les déchirements du collectif. Ce travail exutoire peut se conjuguer historiquement aussi bien au passé qu’au présent.

    De la recherche cathartique et baroque de The End face à l’oppression des « années de plomb » au Maroc aux interrogations d’une inquiétude morale de Room 514 explorant les gouffres de l’état militaire israélien, les cinéastes appréhendent les rapports de l’être au pouvoir. Les fantômes de la guerre rôdent.
    Ini Avan propose de retrouver à travers le retour au pays d’un ex combattant tamoul un corps social commun là où la guerre civile sri-lankaise a laissé ses fractures ouvertes.
    La personne peut être aussi dans le rapport de son corps au monde une vraie interrogation politique à elle seule. Noor propose une réflexion sur la place d’un transgenre au Pakistan quant à son identité sexuelle.
    Casa Nostra regarde dans les creux de vie d’une famille en deuil les rapprochements d’une fratrie disloquée. La jeunesse insoumise de La Tête la première offre une croyance dans les mots en tant que découverte passionnelle de l’autre. Mais cet « autre » est aussi une marge à interroger.
Stalingrad Lovers ouvre les portes d’un purgatoire où errent les figures déchues de la drogue parfois en quête de rédemption quand Sharqiya ouvre les frontières désertiques d’un bout de terre israélien perçu comme une abstraction absurde où une famille de bédouin vit dans l’éternel recommencement de son expropriation.
    Alors, au cœur de ces conflits pourquoi ne pas croire en cette magie que seul le cinéma peut nous offrir comme opérateur de grâce. La vierge, les coptes et moi amène à ce miracle, en nous donnant à voir dans la difficulté de sa réalisation la mise en chantier d’une apparition sacrée. La crise peut ainsi être aussi positive, captivante source de régénérescence conduisant au courage de cinéastes défiant les contingences économiques et politiques afin de nous révéler leurs regards au monde et en affirmant par leurs points de vue une puissance créative, moderne et originale.
    Le cinéma devient alors vecteur d’une possible lumière de réconciliation de l’homme à son environnement et son histoire aussi grande ou petite soit-elle.
    • Les cinéastes de l’ACID



Casa Nostra

(Nathan Nicholovitch – 2012 – France – 94’ – DCP - English subtitles)

> PREMIER LONG, PREMIÈRE MONDIALE

avec / cast : Céline Farmachi, Gilles Kazazian, Clo Mercier, Alicia Fleury, Pierre Durand,
Francine Diehl, Fernando Scaerese, David d’Ingéo, Julien Roux, Erwan Naour, Corinne Gautheron, Jacqueline Bernard, Candice Carmassi

synopsis : Hélène, Mathilde et Ben Scappini sont en route pour la banlieue parisienne où leur père est mourant. Durant le trajet qui doit les mener jusqu’au pavillon familial, frère et sœurs se redécouvrent. Hélène, Mathilde and Ben Scappini are travelling to the parisian suburbs to see their diying father. On the road to the family house, the siblings are learning to rediscover each other.

bio :     Né en 1976 à Villeurbanne, Nathan Nicholovitch vit et travaille à Paris.

filmo : 2012 No Boy - CM
    2011 Ticket pour le chaos - CLIP
    2009 Le Mort Joyeux - CM
    2003 Chacun son camp - CM
    2001 A l’œil - MM
    2000 Salon de beauté - CM

production :     Casanostra Production / Les Films aux dos tournés
        (Nathan Nicholovitch, Céline Farmachi)

Casa Nostra (« notre maison », on  comprend aussi bien sûr « cosa » nostra, « ce qui est à nous »), pose cette antique question : qu’est ce qui constitue une famille, qu’est ce qu’une lignée ?
Pour penser ce thème « en cinéma », Nathan Nicholovitch le jeune réalisateur de ce beau film, le prend en son sens littéral : quel est justement ce « lien » qui unit des individus au sein d’une même fratrie ?
Deux sœurs et un frère – des trentenaires – se retrouvent pour faire la route, ensemble, jusqu’à la maison familiale, alors que leur père est mourant.
Le noir et blanc, le format du film qui reprend celui des photos de familles, certains anachronismes des décors et des accessoires rendent intemporel ce voyage et ainsi plus évidente la quête du film : filmer les subtiles et infinies variations des relations passées et présentes, réelles et imaginaires, fantasmées ou pesantes qu’entretiennent les membres d’une famille entre eux et avec le monde.
Nathan Nicholovitch fait preuve d’un art de l’agencement – qui est ici l’autre nom de la mise en scène, fluide et rythmée – d’un sens évident du découpage qui rappelle les premiers films de Truffaut. Sa caméra est en effet à chaque fois placée à juste distance des personnages, tous incarnés par des acteurs au jeu précis et subtil.
La force de Casa Nostra, son émotion, sa poétique, est de montrer qu’il n’y a pas de liens « naturels » dans une famille mais qu’au contraire elle est constituée par la capacité et la volonté de ses membres à s’inventer une histoire commune : le lien familial, c’est une fiction, c’est la fiction.
• Christophe Cognet, cinéaste (ACID)


Je d’enfants (CRITIKAT)

La Dispute (FRANCE CULTURE)

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The End

(Hicham Lasri – 2011 – Maroc – 105’ – DCP – VOSTF – English subtitles)

> PREMIER LONG

avec / cast : Sam Kanater, Salah Ben Salah, Hanane Zoudhi, Nadia Niazi, Malek Akhmiss,
Hassan Badida, Adil Abatourab, Haitham el-Idrissi, Salma Ed-Dlimi

synopsis : Casablanca 1999. Un air d’incertitude plane sur le Maroc et sur Mikha, un marginal. Il trouve en Daoud, commissaire de police, un père et l’amour auprès de la charmante Rita, surveillée par ses frères. 1999 in the streets of Casablanca. Mikha, a misfit parking guard finds a father in Daoud, a police superintendent, and falls in love with Rita …

bio :     Hicham Lasri est né en 1977 à Casablanca (Maroc), où il vit et travaille.

filmo : 2009 Le Peuple de l’horloge - CM
    2008 Terminus des Anges (collectif) - LM
    2008 TiphinaR - LM
    2007 L’Os de fer - LM
    2005 Jardin des rides - CM

production : La Prod (Lamia Chraibi)
vendeur : C/O Insomnia World Sales / Luc Ntonga

Dès le générique, on commence la tête en bas et l’on pressent que rien dans ce film ne sera bien normal. Vision apocalyptique d’un pays en fin de règne, The End réussit l’exploit de naviguer dans un surréalisme total tout en étant ancré dans une réalité poisseuse.
C’est qu’ici, dans cet univers hallucinatoire, tout n’est que métaphores, images à double, triple, quadruple sens.
Les êtres vivent au niveau du caniveau, mais les mouvements de caméra s’étirent vers le ciel, les paroles sont ordurières mais les désirs d’une pureté angélique, les actes sont brutaux mais l’espoir tire chacun vers un paradis en forme de mirage.
On pourrait prendre ce film comme un exercice de style baroque et ce ne serait déjà pas si mal tant l’invention visuelle est présente dans chaque scène, mais ce ne serait qu’aveuglement face à sa portée profonde.
Derrière la folie ambiante, les personnages sortis de comics, nous avons affaire à une satire sociale d’une crudité et d’une violence inouïe.
Les influences cinématographiques sont ici digérées, malaxées et régurgités dans une œuvre qui finalement ne ressemble à aucune autre.
Un poème cru et cruel où l’imaginaire est le meilleur révélateur de la violence du monde.
• Emmanuel Gras, cinéaste (ACID)

Vers nulle part (CRITIKAT)

Lire la critique de GRAND ECART


La critique d’AFRICULTURES




Ini Avan (Him, Here, After)

(Asoka Handagama – 2012 – Sri Lanka – 104’ – DCP – VOSTF – English subtitles )

> PREMIÈRE MONDIALE
* Sortie : avant fin 2012

avec / cast : Dharshen Dharmaraj, Subashini Balasubramaniyam, Niranjani Shanmugaraja,
Raja Ganeshan, Malcolm Machado, Maheswary Ratnam

synopsis : Deux ans après la fin de la guerre au Sri Lanka, un ex combattant tamoul retourne dans son village. Il y retrouve la femme qu’il a aimée, et entreprend de revenir à une existence normale. Mais les haines du passé ressurgissent. Two years after the war in Sri Lanka, an ex-militant of the Tamil Tigers returns home. He finds the woman he was in love before, and tries to start a new life. But he is unexpected and unwelcome by the villagers.

bio :     Asoka Handagama est né en 1962 à Colombo (Sri Lanka), où il vit et travaille.

filmo : 2010 Vidhu – LM
    2005 A Letter of fire – LM
    2002 Flying with one wing – LM
    2000 This is my moon – LM
    1996 Moon Hunt – LM
    1992 Chanda Kinnarie (Moon Lady) – LM

production : E-Culture Productions Ltd (Jagath Wellawaththa, Anura Fernando)

distribution : Héliotrope Films (Laurent Aléonard)

Un homme, seul, rentre chez lui. C’est un ancien cadre des Tigres de libération de l’Îlam Tamoul, le mouvement de guérilla qui a sévi au Sri Lanka pendant trente ans. Face à lui le silence, puis la colère de villageois marqués par les enrôlements forcés et les ponctions financières des séparatistes. Ils n’entendent pas laisser ce « revenant » en paix. Pas plus que les habitants de la ville toute proche où l’homme cherche un travail qu’on lui refuse. Le « tigre qui revient » est la mauvaise conscience de l’Îlam Tamoul. Celui qui, en s’obstinant à vivre, questionne l’utopie séparatiste et ouvre les plaies encore vives d’un pays composite où cohabitent tamouls, singhalais et musulmans. Avançant à tâtons dans la touffeur humide de sa nouvelle vie civile, l’homme se débat pour échapper aux fantômes qui surgissent à chacun de ses faux pas, avec une douceur et une obstination patiente qui contrastent avec son physique massif. Servi par une image remarquable et une grande finesse d’interprétation, avec une mention spéciale pour Dharshen Dharmaraj qui incarne le personnage principal, Ini Avan nous aspire dans sa quête identitaire en réussissant à concilier la gravité de son sujet avec un humour et une tendresse inattendus. Une atmosphère qui doit beaucoup à l’autre grand rôle du film, une rescapée singhalaise dont l’Histoire pourrait ne retenir que le statut de victime mais qui par son entêtement et son espièglerie offre une issue aussi subtile qu’imprévue à ce périlleux exercice de reconstruction.

• Frédéric Ramade, cinéaste (ACID)

Banquier le jour, cinéaste la nuit (LE MONDE)

Douce violence de la paix (CRITIKAT)


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Noor

(Çağla Zencirci et Guillaume Giovanetti – 2012 – France / Turquie / Pakistan – 78’ – DCP – VOSTF - English subtitles)

> PREMIER LONG, PREMIÈRE MONDIALE

avec / cast : Noor, Uzma Ali, Baba Muhammad, Gunga Sain, Mithu Sain

synopsis : Noor veut être un homme. Il ne fait plus partie des Khusras, la communauté des transgenres du Pakistan. Et il a définitivement tourné la page de l’histoire d’amour qu’il a eue avec l’un d’entre eux. Désormais, il a un travail d’homme dans un centre de décoration de camions, et il sait ce qu’il veut : trouver une femme qui l’acceptera tel qu’il est… Noor wants to be a man. He doesn’t belong anymore to the Khusras, Pakistan’s transgender community. And he is definitely done with the love story he had with one of them, that had drastically changed his life.
Now, he is doing a man’s job in a truck decoration center and he made up his mind : he will find a girl who will accept him as he is…

bio :     Née en 1976 à Ankara en Turquie, Çağla Zencirci vit et travaille à Paris et Istanbul.
    Né en 1978 à Lyon, Guillaume Giovanetti vit et travaille à Paris et Istanbul.

filmo : 2009 Six – CM
    2008 Ata – CM
    2007 shantyGARDENtown – CM
    2006 Carnegami – CM
    2005 Retrouver Bam – CM

production : C’est au 4 (Cristine Asperti) - C’est au 3 (Svetlana Novak)
ventes internationales : Wide (Loïc Magneron)

Noor, c’est le nom du personnage principal. Une transsexuelle ou Khusra au Pakistan. Son rêve : avoir une barbe et des moustaches et trouver l’amour d’une femme. Le vieux sage, Maître Baba, lui indiquera le chemin. Au bout le lac sacré, fréquenté autrefois pas les fées. Là-bas, les prières s’exaucent. Mais la route est longue et périlleuse.
Au-delà de la quête identitaire, c’est d’abord la recherche de l’autre. Ce qui pourrait être une définition du cinéma, de tout acte de création. Comme la danse, cœur du film et source à laquelle Noor s’abreuve pour se trouver. Tous deux arts du temps, poétique du temps. Le temps est la valeur revendiquée, essentielle. Le film prend son temps et le désir des personnages est avant tout la recherche du temps, non pas perdu, mais partagé. Comme le dit Baba : “Je ne veux rien d’autre que le temps passé ensemble avec ma femme, et celui qu’il nous reste encore à vivre tous les deux.”
A la fois réaliste et onirique, le film est bouleversant de simplicité et touche ainsi au plus profond. Il s’accroche à l’amour comme le reflet de la lumière sur l’eau limpide du lac rêvé. La magie existe… Noor est un film libre qui parle de liberté, alors entrons dans la danse !
• Laurent Salgues et Oriol Canals, cinéastes (ACID)

Lire l’article de Jean-Michel Frodon (SLATE)

Lire l’article de Christophe Kantcheff (POLITIS)

Noor, “ecce homo” (Clarisse Fabre, LE MONDE)

Sans contrefaçon je suis un garçon  (CRITIKAT)


Lire l’article de GRAND ECART




Room 514

(Sharon Bar-Ziv – 2012 – Israël – 90’ – DCP – VOSTF – English subtitles)

> PREMIÈRE FRANÇAISE - PREMIER LONG

avec / cast : Asia Naifeld, Ohad Hall, Guy Kapul, Udi Persi, Rafi Kalmar, Hilly Israel, Oren Farage

synopsis : Anna est enquêtrice dans l’armée israélienne. Quand elle confronte un officier d’élite à des accusations de violence gratuite à l’encontre d’un Palestinien, sa propre intégrité et sa détermination sont mises à l’épreuve. Anna is an investigator in the Israelian army. When she confronts an elite officer with accusations of unnecessary violence against a Palestinian, her integrity and determination are put to the test.

bio :     Sharon Bar-Ziv est né en 1966 à Tel Aviv (Israël), où il vit et travaille.

production :  Cinema Alpha Productions
distribution : Sophie Dulac Distribution

Room 514 : pièce exiguë, plafonds bas, murs azurs sans âme ni horizon, cadre irrespirable où les visages affleurent toujours trop serrés, comme enchâssés dans une enceinte tragique. Nihiliste et implacable, le huis clos s’abat sur nous : enfermés dedans, enfermés dehors, cette claustrophobie permanente nous donne à sentir l’inconfort le plus dérangeant, cette impossibilité d’être au monde dans le monde.
Pourtant, elle rit Anna lorsqu’elle fait l’amour en retenant son souffle entre deux interrogatoires, vestale zélée, fonctionnaire amazone qui pense tenir tête à l’appareil patriarcal, à l’appareil militaire, à l’appareil d’état. Elle s’en fout Anna, elle croit à la justice et à l’égalité comme elle aime à répéter en prenant des poses lascives : Baby, we are a free country.
La puissance de ce film réside dans la place intenable qu’il choisit de tenir, un endroit complexe, polémique, parfois même douteux, où les personnages ne sont qu’antagonismes et où la mise en scène, gommant tout hors champ, prend elle aussi une dimension autoritaire en nous racontant ainsi, un dispositif voué à l’échec.   Bien au-delà du conflit israélo-palestinien, cette tragédie contemporaine relate l’ambivalence universelle qui existe entre l’homme et la femme, le devoir et l’utopie, la domination et la soumission, la croyance et la liberté.
Baby, we are a free country.
Non, Anna. Le monde est en guerre.
• Fabianny Deschamps, cinéaste (ACID)

Trois nouveaux films engagés qui nous viennent d’Israël (LE MONDE)

Nous avons les mains rouges (CRITIKAT)

Sharqiya

(Ami Livne – Israël / France / Allemagne – 85’ – DCP – VOSTF – Market screenings with English subtitles)
> PREMIER LONG

synopsis : Lorsque son village non-autorisé dans le désert du sud d’Israël est menacé par un ordre de démolition de la part des autorités israéliennes, Kamel, le jeune Bédouin, se décide à prendre les choses en main. When the poor unauthorized Bedouin tin shacks in the desert are issued a demolition order by the Israeli authorities, Kamel decides to take action.

bio :     Ami Livne vit et travaille à Tel Aviv (Israël), où il est né en 1975.

filmo : 2009 Kalia – CM
    2009 Musical Chair – CM
    2009 Femme Fatale Club – CM

production : EZ Films - Golden Cinema [Israël] - Laila Films [Israël] - Detail Film [Allemagne]

Un bout de désert, deux cabanes en tôle, un parking de gare routière, voilà pour le décor.
2 frères, une belle-sœur et un patron, voilà pour les personnages.
Bricolage, récup et gardiennage sont leurs activités principales.
Presque rien.
Restent l’imagination et le désir.
Du début jusqu’à la fin, les trois Bédouins vont tenter de changer l’ordre du monde (de leur monde, qui est aussi le nôtre), avec leurs petits moyens dérisoires. 
La force du film c’est ce presque rien inusable qui fait le quotidien des personnages.
Et pourtant, quand le film se termine, le désir et l’imagination ont opéré, quelque chose a changé, pour eux et pour nous. La répétition cyclique n’agit pas pour rien, elle est le signe même de la résistance. Inusable.
• Pascaline Simar, cinéaste (ACID)

Sharqiya : vent de l’Est, un souffle à visage humain qui fait des dégâts, qui gronde entre la ville et le désert, entre les indigènes devenus illégitimes et les «citoyens». Sharqiya, l’histoire simple de personnages modestes, touchants dans leur combat silencieux pour survivre dans un pays où le lopin de terre sur lequel ils ont planté leur tente un jour ne leur appartient désormais plus. Cela fait bien sûr écho à l’histoire de la création du pays lui-même. On nous emmène au cœur même d’Israël pour faire le point sur cette situation humaine si complexe. La force de Sharqiya réside dans la finesse de sa mise en scène. Une caméra fluide flirtant parfois avec le documentaire, signe au final de vrais moments de cinéma, originaux et poétiques.

• Reza Serkanian, cinéaste (ACID)


Trois nouveaux films engagés qui nous viennent d’Israël (LE MONDE)

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L’homme qui marche (CRITIKAT)


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Stalingrad Lovers

(Fleur Albert – 2012 – France – 83’ – DCP - English subtitles)
> PREMIER LONG, PREMIÈRE MONDIALE

avec / cast :  Jean-Patrick Kone, Carole Eugénie, Jean-Paul Edwiges, Mehdi Kadri, Eriq Ebouaney, Françoise Leplenier, Lionel Codino, Mamadou Minte

synopsis : Plongée lyrique dans une communauté d’usagers et dealers de crack. Entre chasse au client et attente du produit, entre film noir et  néo-réalisme, il est question de survivre à la rue ou d’y mourir. A neorealist film noir that makes us discover the real life of crack dealers and users. From dealers chasing customers to addicts waiting for product, everyday life on the street is about surviving, or dying.

bio :     Née en 1972 dans la région nantaise, Fleur Albert vit et travaille à Paris.

filmo : 2009 Boys, Tricky – CM
    2008 Ecchymoses – DOC
    2007 Natacha Atlas, la rose pop du Caire – MM
    2005-2006  Le Silence des rizières – DOC
    2004 Home Swiss Home – MM
    2002 Clarisse est partie – MM
    2000 L’Eau du bain – CM
    1995 The next génération – MM

production : La Huit Production (Stéphane Jourdain)

« Honorer un ami, c’est honorer ses dettes ». Le chemin qui mène à l’enfer est pavé de bonnes intentions. L’espace est ici un cimetière vivant où les morts fréquentent les morts. Le cœur de ce purgatoire est irrigué du sang de la drogue et ses habitants portent les stigmates de leurs maux. L’humain est un être hybride, mi fiction-mi-réalité, à la chair rongée et au timbre abyssal. Dans cette jungle hantée, il déploie ses propres règles de survie. Isaïe a son prophète, il s’appelle Medhi. Celui-ci lui a laissé du fin fond de son overdose son corps à enterrer et un héritage de commandements se posant au milieu des tombes anonymes, des squats perdus, des no man’s land urbains, comme autant de jalons d’une marche à suivre. Isaïe le sait. Son chemin de rédemption en dépend. Pour cela, il devra franchir le Styx, passer aux travers des cris des morts et des couloirs obscurs pour honorer ses dettes et délivrer l’esprit errant de son vieux pote Medhi. « Si on enterrait tous les morts à Touba, l’enfer n’aurait point d’habitants ». Isaïe veut trouver la lumière, couper court aux cycles d’un éternel recommencement pour mieux vaincre cette fictionnalisation de la drogue. Un arbre tordu peut-il alors se redresser ?
• Jean-Baptiste Germain, cinéaste (ACID)


FRANCE CULTURE (Un autre jour est possible - 5 juin 2012)


La tête la première (Headfirst)

(Amélie van Elmbt – 2012 – Belgique – 92’ – DCP – English subtitles)

> PREMIÈRE MONDIALE - PREMIER LONG

avec / cast : Alice de Lencquesaing, David Murgia, Jacques Doillon, Cécile Maidon,
Jean-Jacques Rausin

synopsis : Zoé décide de prendre la route pour approcher un écrivain qu’elle admire et trouver un sens à sa vie. Elle croise Adrien qui, curieux et intrigué par son caractère insaisissable, décide de la suivre. Zoé decides to hit the road to approach a writer she admires and embarks on a road trip that may give sense to her life. On the way, she meets Adrien who, intrigued by her elusive personality, decides to follow her.

bio :     Amélie van Elmbt est née en 1986 à Namur (Belgique). Elle vit et travaille à Bruxelles.

filmo : 2010 Le Mariage à trois de Jacques Doillon – MAKING OF
    2008 Ghislain – CM

production : Media International (Frédéric de Goldschmidt et Amélie van Elmbt)

Avec un charme fou et une sensibilité aiguë, La Tête la première saisit ce moment de passage où sont mis à l’épreuve les archaïsmes de l’enfance, l’imaginaire et les prémices de l’indépendance. La rencontre inopinée de Zoé et Adrien sur une entrée d’autoroute inaugure le road movie sentimental qui, durant trois jours d’errance, mettra à l’épreuve les intermittences de leurs désirs en cet âge de bascule, plus vraiment adolescent, pas vraiment adulte, où les aspirations romanesques et le désir de liberté imposent leur primat.
Abrupts et gracieux, les comédiens donnent par l’opposition de ces qualités une profondeur qui les éloigne de la caricature. Le regard d’Adrien happé par le visage de porcelaine aux yeux battus de Zoé et la fluidité dansante de leur pas de deux irradient l’écran de l’énergie vif argent de leur liberté et déjouent tout stéréotype social.
Cinéma des corps et des regards, c’est aussi un cinéma du dialogue que propose Amélie van Elmbt, un cinéma qui parle le même langage que ceux qu’il dépeint, spontané et réfléchi. Ici les mots sont actions, les sentiments se construisent en même temps qu‘ils s’expriment. Leurs déambulations mentales et physiques sont portées par un réalisme tranquille où les maisons isolées, comme dans les contes, offrent leur refuge aux enfants fugueurs.
Cette écriture sensible honore l’intelligence des protagonistes autant que celle du spectateur et rend hommage à la littérature, dont la présence perlée court tout au long du film. Si un livre, comme l’exprime Zoé, peut permettre de « se sentir vivant », le cinéma également quand il est dans cette forme de tension délicate.
La Tête la première : un coup de foudre à l’évidence.
• Cati Couteau, cinéaste (ACID)

L’Amour au temps du baccalauréat (CRITIKAT)

Un film d’auteur d’une jeune Namuroise très passionnée (RTBF)

Amélie van Elmbt filmée par LE SOIR

Lire l’article de CINE REGION


La vierge, les Coptes et moi

(Namir Abdel Messeeh – 2012 – France / Qatar – Documentaire – 85’ – DCP -  VOSTF – English subtitles)

> PREMIÈRE FRANÇAISE - PREMIER LONG

synopsis : Namir est un réalisateur français d’origine égyptienne. Un jour, il regarde une vidéo de l’apparition de la Vierge Marie en Égypte avec sa mère qui, comme des millions d’autres Coptes, voit la Vierge à l’écran alors que lui ne voit rien. Sceptique, Namir retourne en Égypte, afin de réaliser un documentaire sur le mystère de ces apparitions. Namir is a French filmmaker of Egyptian origin. One day he watches a videotape of the Virgin Mary’s apparition in Egypt with his mother who, like millions of other Copts, sees the Virgin on the screen while he sees nothing.
Skeptical, Namir travels back to Egypt, to make a film about the bizarre occurrence of these apparitions.

bio :     Namir Abdel Messeeh est né en 1974 à Paris, où il vit et travaille.

filmo : 2005 Toi Waguih – CM
    2004 Quelque chose de mal – CM

production : Oweda Films
ventes internationales / international sales : Doc & Film International

La Vierge, les Coptes et moi ou les tribulations d’un cinéaste en Egypte à la recherche de son film et des apparitions de la Vierge Marie. Tour à tour documentaire, reportage, making off pour devenir pure fiction, le film s’amuse librement de tous les genres cinématographiques. Il réussit avec humour et autodérision à aborder des questions aussi délicates et intimes que le sentiment religieux et la foi.
Le cinéaste s’invente un personnage de beautiful loser et voyage sans feuille de route dans le pays de ses origines. Guidé par l’idée fixe, quasi obsessionnelle de faire un film sur les chrétiens d’Egypte, il se frotte aux réticences de ses proches et surtout à celles de son producteur…
Seul contre tous, le cinéaste ne lâche rien et ose tout. Flanqué d’une truculente mère copte qui vole à son secours, il se met en tête de convaincre tout un village de l’aider à mettre en scène une apparition de la Vierge.
Improbable et réjouissant, le film interroge, l’air de rien, le sacré, le pouvoir de l’image et de la représentation. Ode à la magie du cinéma, il nous renvoie à notre propre imaginaire et à notre besoin d’émerveillement… Le cinéma étant bel et bien une histoire de miracle et de moments de grâce.
Que ce soit vrai ou faux, qu’importe, puisque l’important c’est d’y croire.
• Delphine Deloget et Armel Hostiou, cinéastes (ACID)

Lire l’article de POLITIS


Un Woody Allen copte (LE MONDE)


Lire l’article de GRAND ECART


Interview de Namir Abdel Messeeh par CRITIKAT



La critique d’AFRICULTURES


Quand on aime le cinéma indépendant, on a toujours 20 ans…
2012 est une année très particulière pour l’ACID, qui fête le vingtième anniversaire de sa création — dans la foulée du manifeste “Résister” — à travers de multiples rétrospectives de ses films, dans différents pays : 23 documentaires au Festival du Réel qui vient de s’ouvrir, 10 films au Bafici de Buenos Aires, 33 premiers films à la Cinémathèque française (16 > 27 mai), 20 films à New York à l’automne, autant au Forum des Images en novembre, d’autres à Marseille (FID) ou à Belfort, après Annonay et Istanbul qui ont ouvert le bal en février…
Pour marquer cette date, plusieurs cinéastes membres de l’ACID ont aussi réalisé des “lettres filmées” : ces courts métrages seront projetés à Cannes en première partie des séances.

“On rêve un film avant de le tourner, de quoi rêvent-ils ceux qui parlent “d’usines à rêves” ?
De rêves manufacturés ?
L’indépendance, c’est la singularité du rêve, l’unicité du point de vue.
C’est préférer l’acteur que demande le rôle à celui qu’attend le public.
C’est choisir de s’adresser à des spectateurs plutôt qu’à une foule hypothétique.”
Lucas Belvaux, in Question d’indépendance, texte ACID 1995

Vous pouvez consulter ICI la liste de tous les films soutenus par l’ACID depuis 1992, ainsi que celle de tous les films ayant été présentés en off du Festival de Cannes.

ACID
tél : (33) 1 44 89 99 74
acid@lacid.org
www.lacid.org
déléguée générale : Fabienne Hanclot
co-présidents : Mariana Otero et Stéphane Arnoux

Contacter le service de presse

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Cliquez ici pour agrandir et télécharger l’affiche, signée Sébastien Laudenbach


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NOOR
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INI AVAN
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CASA NOSTRA
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ROOM 514
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THE END
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STALINGRAD LOVERS
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LA VIERGE, LES COPTES ET MOI
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SHARQIYA
SHARQIYA
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LA TETE LA PREMIERE
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Lama : 17e édition du 31 juillet au 6 août 2010

“Le plus beau festival de France ? Il fait en tout cas partie du top ten…” (Télérama, 30 juillet 2010)

La 17e édition du Festival du Film de Lama aura lieu du samedi 31 juillet au vendredi 6 août  2010 en Haute-Corse (consulter ou télécharger le catalogue)

Succédant à Emmanuelle Devos, Catherine Frot présidera le jury de la compétition de courts métrages chère à cette manifestation, qui présentera au total environ 70 films, français et étrangers, courts et longs, de fiction et documentaires, pour la plupart inédits et accompagnés de leurs réalisateurs et/ou comédiens.

La comédienne Hafsia Herzi sera ainsi présente pour l’avant-première de Joseph et la fille, de Xavier de Choudens, dont elle partage l’affiche avec Jacques Dutronc, Julie Bertuccelli viendra présenter L’Arbre, avec Charlotte Gainsbourg, qui a fait la clôture du dernier Festival de Cannes, Gabriel Le Bomin retrouvera le village avec son nouveau film, Insoupçonnable, interprété par Laura Smet et Charles Berling, Fabienne Berthaud accompagnera son deuxième long métrage, Pieds nus sur les limaces, avec Diane Kruger et Ludivine Sagnier, et Jean-Stéphane Bron Cleveland contre Wall Street (ces deux derniers films très remarqués à Cannes lors de la dernière Quinzaine des Réalisateurs), Ange Leccia, artiste transdisciplinaire né en Corse sera aussi à Lama, avec son film Nuit bleue.

En avant-première encore cette année : Un Homme qui crie de Mahamat-Saleh Haroun (Prix du Jury du dernier festival de Cannes), Miel de Semih Kaplanoglu (Ours d’Or du dernier Festival de Berlin), Le Quattro Volte de Michelangelo Frammartino (une des grandes sensations cannoises 2010),   600 kilos d’or pur de Eric Besnard (avec Clovis Cornillac, Audrey Dana et Patrick Chesnais), Dessine-toi, de Gilles Porte (le co-réalisateur de Quand la mer monte), le documentaire Ce n’est qu’un début de Jean-Pierre Pozzi et Pierre Barougier, ou la projection en 3D de Moi, moche et méchant de Chris Renaud et Pierre Coffin… 

          Lama est situé en Balagne, quasiment à égale distance de Calvi (à l’ouest) et de Bastia (à l’est).  Si ce village médiéval, dont les hautes maisons semblent bâties à même la montagne, et qui domine le delta de l’Ostriconi et sa superbe plage, vit de paisibles hivers avec ses quelque 130 habitants, il est aussi animé début août que les stations balnéaires les plus en vogue de l’Ile de beauté… En 2009, le festival a en effet compté plus de 9000 spectateurs, soit un millier de plus qu’en 2008 (et l’on se dit que Mathieu Carta a gagné ce qui semblait un pari insensé, réussir un festival international de cinéma dans le lieu le plus improbable qui soit).

          

 Il y a à Lama trois sites de projection en plein air, qui attendent la nuit pour s’éveiller : 

- le très grand écran de “La Piscine”, un peu à l’écart du village, à l’orée du maquis, où comédiens et réalisateurs viennent présenter des avant-premières et qui a accueilli jusqu’à près de 1000 spectateurs lors de mémorables séances ;

- “L’Ombria”, plus intime, sur une place du village, qui est un peu le ciné-club de Lama avec une programmation de films ignorés des grands circuits ;

- “Le Mercatu”, entièrement dédié aux enfants, qui, chaque soir, s’installent sur les larges marches de pierre enchâssées au cœur du village, dont on croirait qu’elles ont été imaginées pour ce jeune public. Avant-premières et films de répertoire s’y partagent l’affiche.

 Dans la journée, c’est la “Casa di Lama” qui prend  le relais, où est proposée une riche sélection de documentaires récents, pour beaucoup touchant au monde rural. C’est aussi l’occasion de donner à 

voir le meilleur de la production insulaire de l’année écoulée.

          Comme chaque année depuis la création du Festival, une compétition de courts métrages se déroulera sur deux soirées, et un jury de professionnels décernera deux prix.

          Enfin, on trouvera au programme d’un festival apprécié pour sa convivialité un atelier de scénario, un colloque, des contes, une exposition, et un atelier de création cinématographique à destination des enfants, animé par la réalisatrice Sandrine Veysset (Y aura-t-il de la neige à Noël?).

         
  TARIFS :

          Séance plein tarif : 7 euros

          Tarif réduit : 5 euros (enfant de moins de 12 ans, chômeurs, étudiants)

          Passeport (toutes les séances du festival) : 38 euros

          Passeport tarif réduit : 25 euros

          Abonnement (5 entrées) : 25 euros

          Festival du Film de Lama

          Directeur : Mathieu Carta

          Coordinatrice : Mélanie Guaïtella

          Maison de la Culture et du Tourisme

          20218 Lama

          Tél:  04 95 48 21 60

          info@festilama.org

          www.festilama.org

`        Presse

         Jean-Bernard Emery

         Tél : 01 55 79 03 43  /  06 03 45 41 84

         jb.emery@cinepresscontat.com

         www.cinepresscontact.com

Lam_2010_Poster
Cliquez ici pour télécharger l’affiche de Lama

Pour découvrir la grille de programmation et des infos sur les films
Tout voir

Marco Bellocchio invité du 20e Théâtres au Cinéma (20 mars > 5 avril 2009)

“Mon travail a toujours été caractérisé par un zig-zag continu entre divers genres cinématographiques, le théâtre, le cinéma militant, un ensemble d’expériences dans lesquelles je me suis toujours impliqué. Ça m’a aidé à être libre.”
Marco Bellocchio


20e Festival Théâtres au cinéma

Marco Bellocchio {en sa présence}, Carmelo Bene

Magic Cinéma de Bobigny (Seine-Saint-Denis)
du 20 mars au 5 avril 2009

TELECHARGER LE PROGRAMME COMPLET

Contacter le service de presse


L’audace d’une programmation ambitieuse, complétée chaque année par un ouvrage désormais de référence, la venue au Magic Cinéma de Bobigny de nombreuses actrices et acteurs, de réalisateurs aussi prestigieux que Manoel de Oliveira, Peter Brook, Andrzej Wajda, Margarethe Von Trotta, Patrice Chéreau, Alain Robbe-Grillet ou Raoul Ruiz, des membres de la famille et proches collaborateurs de Luis Bunuel, Joseph Losey, Jean Genet, Bernard-Marie Koltès, Pier Paolo Pasolini, Alberto Moravia, Marguerite Duras, Glauber Rocha, Robert Kramer, Serguei Paradjanov, Derek Jarman ou Jean Cocteau ont fondé la réelle reconnaissance dont jouit le festival “Théâtres au cinéma” à la veille de ses 20 ans.
Pour fêter cet anniversaire, le festival aura le plaisir d’accueillir le réalisateur italien Marco Bellocchio et rendra hommage à Carmelo Bene, cinéaste, metteur en scène et écrivain italien, disparu en 2002 :le Magic Cinéma promet, à nouveau, une programmation riche et de qualité, de belles rencontres et des clins d’œil aux éditions précédentes.
La rétrospective intégrale est un des moments forts du festival. Elle sera donc consacrée cette année à Marco Bellocchio, dont le spectateur sera invité à faire, en sa compagnie, le chemin du parcours artistique, en goûter et en comprendre toute la richesse, les obsessions, les tentatives formelles, les évolutions et révolutions.
Marco Bellocchio présentera à Bobigny sa filmographie entre fiction, essai cinématographique et documentaire et parlera de sa passion pour les textes théâtraux qu’il a adaptés au cinéma. Soit 15 courts métrages, 20 longs métrages et une dizaine de documentaires.
À cette intégrale, s’ajoutera une carte blanche à Bellocchio qui lui permettra de montrer des films qu’il a aimés et qui ont compté pour lui.
Côté auteur, Théâtres au Cinéma rendra hommage à Carmelo Bene, cinéaste italien également mais aussi metteur en scène. Son œuvre est l’une des plus originales qui soit. Seront présentés au public ses 9 films et une sélection de 18 films autour de son travail théâtral.

•Magic Cinéma
01 41 60 12 34
www.magic-cinema.fr

LES RENCONTRES DU FESTIVAL


> Soirée d’ouverture

Vendredi 20 mars
19h | Vernissage de l’exposition
Œuvres de Marco Bellocchio
20h30 | Le saut dans le vide
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio et
Anouk Aimée, comédienne


Samedi 21 mars
18h | Master class de Marco Bellocchio
Animée par Michel Ciment, critique de cinéma
20h30 | Au nom du père
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio et Lou Castel


Dimanche 22 mars
15h | Le metteur en scène de mariages
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio
et (sous réserve) Sergio Castellitto

Mercredi 25 mars
19h | Siah Bâzi suivi de Shadi
de Maryam Khakipour
En présence de Maryam Khakipour


Jeudi 26 mars
20h30 | La nuit de l’iguane
de John Huston
En présence de Georges Lavaudant
et des comédiens de la pièce La nuit de l’iguane.


Vendredi 27 mars
20h30 | L’idiot de Pierre Léon
En présence du réalisateur Pierre Léon
et des comédiens
Avant-première suivie d’un show musical
par Pierre et Vladimir Léon


Samedi 28 mars
18h15 | Table ronde : Carmelo Bene,
la parenthèse cinéma
avec Luisa Viglietti, Enrico Ghezzi,
Laura Morante, Jean-Paul Manganaro,
Anne Wiazemsky, Luca Buoncristiano et
animée par Cyril Béghin
21h | Richard III de Carmelo Bene
En présence de la comédienne Laura Morante


Dimanche 29 mars
17h | Accident de Joseph Losey,
scénario d’Harold Pinter
Film présenté par Philippe Pilard,
spécialiste du cinéma britannique


Lundi 30 mars
21 h | Sogni Infranti suivi de
Addio del passato de Marco Bellocchio
Documentaires présentés par
Marie-Pierre Muller


Mercredi 1er avril
18h30 | La leçon de musique
de Carlo Crivelli
animée par Olivier Cachin
20h30 | Autour du désir
de Marco Bellocchio
En présence de Carlo Crivelli, compositeur
et (sous réserve) Claire Nebout, comédienne


Vendredi 3 avril
20h30 | Lecture : A boccaperta,
scénario inédit de Carmelo Bene
Mise en espace : Saïd Ould-Khelifa,
Mise en musique : Marc Perrone,
avec deux comédiens
Suivie du film Salomé de Carmelo Bene


> Soirées de clôture

Samedi 4 avril
20h30 | Notre-Dame des Turcs
de Carmelo Bene, copie neuve
En présence de Lydia Mancinelli, comédienne
et Mauro Contini, monteur


Dimanche 5 avril
19h | La nourrice de Marco Bellocchio
En présence des comédiennes
Valeria Bruni-Tedeschi
et (sous réserve) Maya Sansa


MARCO BELLOCCHIO

“Parmi les cinéastes italiens de sa génération, Marco Bellocchio est certainement un des plus importants. Né en
1939 à Piacenza, il décide tôt de devenir comédien, mais intègre finalement le fameux Centro sperimentale, le
Centre expérimental d’études cinématographiques de Rome. Dans ce lieu où fut conçu le néoréalisme et alors que
déboulent sur les écrans les prémices de l’œuvre des Taviani et de Pasolini, à l’orée des années soixante, Bellocchio
tourne ses premiers courts métrages. Dès son premier long, il devient célèbre : Les Poings dans les poches, deux
ans avant La Chinoise, de Godard, secoue déjà le cocotier de la révolte. Ce refus du conformisme petit-bourgeois,
qui se décline dans le champ du familial et du sexuel tout autant que dans celui du politique, est encore aux commandes
dans La Chine est proche, le sketch de La Contestation ou Viva il Primo Maggio rosso, titres évocateurs.
Bellocchio fait feu de tout bois, plutôt tendance gauchiste, dans des charges au vitriol : l’Église dans Au nom du
père, la presse dans Viol en première page, l’armée dans La Marche triomphale. Moins provocateur dans la forme
et l’outrance immédiate des sujets que Ferreri, il le rejoint dans sa critique sans concession de tous les appareils
de la société dominante. Plus tard, quand la psychanalyse deviendra essentielle dans son travail, on pourra se dire
que tout cela avait à voir avec le meurtre du père.
Contrairement à nombre de ses pairs, le court métrage et le documentaire n’ont jamais été pour Marco Bellocchio
un moyen d’accès à la voie royale du long métrage de fiction. Toujours, il a parcouru l’aller-retour entre les genres
et les formes.
Tous ces films ne sont éloignés, pour certains en tout cas, qu’au niveau des apparences. Dans chacun on retrouvera
des préoccupations communes, à condition de savoir les y rencontrer, tant Marco Bellocchio fait partie, pour le
meilleur, de ces artistes obsessionnels qui ont un motif et s’y tiennent.”
Jean Roy, L’Humanité, 2 juin 2004


CARTE BLANCHE A MARCO BELLOCCHIO

“Ce sont des films très classiques qui me viennent à l’esprit…
Bien sûr il s’agit de films qui m’ont marqué et influencé, mais j’aurais peut-être dû privilégier des films moins connus, plus originaux…
Par exemple, j’ai tout de suite pensé à Octobre de Sergueï Eisenstein dont il y a d’ailleurs un extrait dans mon dernier film sur lequel je travaille actuellement au montage, car Octobre correspondait à la période historique à laquelle se déroule l’histoire de Vincere. L’histoire se passe en effet en 1917, et il y a cette scène où Mussolini lit la dépêche qui annonce la prise du pouvoir par Lénine. En réalité Mussolini s’est beaucoup inspiré de Lénine, il nourrissait une grande admiration pour lui, pour cet homme capable d’un coup d’état pour accéder au pouvoir, même si Mussolini par la suite accéda au pouvoir quant à lui de manière plus légale…
Pour le cinéma muet : Nosferatu de Murnau, évidemment ! Bien sûr je parle de films qui me sont très chers. Par exemple j’ai également utilisé un extrait du Kid de Chaplin dans mon dernier film. Dans une scène inventée, il n’y a aucune preuve historique, le personnage principal du film Vincere, Ida Dalser, alors qu’elle est internée dans un hôpital psychiatrique, assiste à une projection en plein air du Kid de Chaplin.
Difficile aussi de parler du cinéma muet, sans évoquer La passion de Jeanne d’Arc de Dreyer.
Parmi les réalisateurs importants à mes yeux, Michelangelo Antonioni, bien sûr ! L’Avventura,énorme succès en France, Le cri et le film qu’il fit juste après, Femmes entre elles.
De France, ceux que j’apprécie sont très nombreux, mais j’aime tout particulièrement Robert Bresson (j’ai même écrit une thèse sur lui), et, parmi tous ses films, tous ses chefs-d’œuvre, Un condamné à mort s’est échappé m’a toujours beaucoup impressionné, justement parce que le condamné réussit à s’échapper !… Il y a comme ça un lien avec Buongiorno, notte, avec Moro qui s’échappe. Mais comment ne pas citer Pickpocket, autre grand chef-d’œuvre ! Ce sont mes choix personnels, et de l’avis général ces films sont de grands classiques du cinéma.
Jean-Luc Godard ? Je dois d’abord préciser qu’à la différence de beaucoup de cinéastes italiens qui vénèrent Godard et qui l’ont beaucoup imité — il a été en effet la référence de nombreux réalisateurs pendant de longues années et Bernardo Bertolucci par exemple avait une admiration sans borne pour lui — moi par contre je m’intéressais beaucoup à ce qu’il faisait, je l’admirais aussi, mais sans pour autant l’idolâtrer.
Mais je dois dire que dans l’histoire du cinéma et surtout pour des réalisateurs de ma génération, À bout de souffle est effectivement un film révolutionnaire, davantage que le cinéma de Truffaut par exemple. C’est un film qui a profondément marqué son époque. Un autre chef d’œuvre, italien cette fois, et qui a marqué notre pays et le monde entier, c’est La dolce vita de Federico Fellini.”
Marco Bellocchio, décembre 2008


CARMELO BENE

“Le cinéma est né mort.”
“Je n’ai jamais vu un film trouer l’écran, pas même Godard en 68.”
“On peut tout au plus dire d’un film qu’il est bien tourné, oui, mais j’ajoute ‘bien tourné sur lui- même’.”
Voilà, parmi tant d’autres, quelques paradoxes de Carmelo Bene autour d’un moyen expressif qu’il a fréquenté
pendant six ans de paroxysme, de 1967 à 1973, “tournant” six films et semblant surtout quitter définitivement
le théâtre. Et en quittant le cinéma, Carmelo Bene a retrouvé un autre médium dans la télévision, où il a parfois
réélaboré quelques-uns de ses chefs-d’œuvre de théâtre.

Notre-Dame des Turcs (124 min / 1968)
Hermitage (25 min / 1968)
Capricci (95 min / 1968)
Don Giovanni (70 min / 1971)
Salomé (80 min / 1972)
Un Hamlet de moins (70 min / 1973)

“J’ai en moi le metteur en scène, l’acteur, le producteur, le showman, le chargé de relations publiques, tout.
Ce sont des millions de contradictions. Je les accepte toutes, je les assume.
Voyez-vous comment la politique devient de masse ? La masse de mes atomes.”
Carmelo Bene



RENCONTRE AVEC LAURA MORANTE

[Samedi 28 mars, 21h]

Laura Morante est aujourd’hui l’une des actrices italiennes les plus connues et appréciées sur la scène européenne. L’éloge le plus complet, on le trouvera dans les “Séductrices du cinéma italien” de Stefano Masi et Enrico Lancia (éd. Gremese International, Rome, 1997) : “Un visage pensif d’héroïne romantique, une féminité glaciale, des cheveux noirs souvent noués sur la nuque, une bouche douce mais intransigeante, des traits anguleux, un visage ovale très élégant sur un cou de cygne. Une créature de Modigliani. De grands yeux au regard intense, des jambes nerveuses, un port de danseuse. Dans un univers féminin de top models arrivistes avec des lèvres à la silicone, Laura Morante est un être rare.”
Avant d’aborder le cinéma, Laura Morante est deux ans durant membre du “Barefoot Dancers Group” puis elle rejoint la troupe de théâtre de Carmelo Bene et participe à la création parisienne de son “Marat / Sade” (1978) avant de jouer sous sa conduite en Italie, “Richard III” d’après William Shakespeare. Puis toujours avec Bene, Hamlet pour la télévision en 1974.

“Il est certainement vrai que je ne suis pas une actrice qui cherche la performance à tout prix, d’habitude je cherche à me mettre beaucoup au service du rôle que j’interprète. Je crois que tout film a une musique à laquelle chaque acteur doit s’adapter… Il n’y a pas une langue que je privilégie dans l’absolu. La seule chose qui m’intéresse vraiment, c’est de faire de beaux films, quel que soit le lieu. Le fait de jouer dans des langues toujours différentes me stimule et m’amuse beaucoup.
Par contre, parmi les réalisateurs que j’ai aimés le plus en tant que passionnée de cinéma je mets à la première place Cassavetes.”
Laura Morante. Propos recueillis par Daniele Zappalà



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14e Festival de Lama du 28 juillet au 3 août 2007

Festival Européen du Cinéma et du Monde Rural
« Chroniques villageoises »
Lama (Haute-Corse)
• 14ème édition du 28 juillet au 3 août 2007

« Quel plus bel écran qu’une nuit d’été pour voir et faire voir ses films ? Grand air, odeurs et parfums, étoiles scintillantes, sons lointains de la campagne proche, yeux d’enfants dans le noir… (…) C’est un secret entre nous, mais Lama est la plus belle et la plus exigeante des projections. »
[Arnaud et Jean-Marie Larrieu]

En Balagne, au centre d’un cercle qui passerait par Calvi, Bastia et Corte, le village médiéval de Lama, dont les hautes maisons semblent bâties à même la montagne, domine le delta de l’Ostriconi et sa superbe plage.
Chaque été, trois écrans s’y allument à la nuit tombée et le cinéma s'insinue dans les ruelles, agrémenté des parfums du maquis proche…
Les « Chroniques villageoises » de Lama interrogent depuis 1994 le rapport du cinéma au monde rural.

Le 14e Festival de Lama se déroulera du samedi 28 juillet au vendredi 3 août 2007.
Cette édition sera particulièrement riche en exclusivités : Marc Esposito sera ainsi accompagné de Valérie Kaprisky, de Catherine Wilkening, de Gérard Darmon, de la compositrice Béatrice Thiriet (dont les musiques accompagneront nos débuts de séance toute la semaine) et du producteur Pierre Javaux pour dévoiler au public de Lama Le cœur des hommes 2 (28 juillet), et nous serons aussi les premiers à visiter La Maison, en compagnie de Manuel Poirier et de la comédienne Cécile Rebboah (2 août).        
Egalement en avant-première : La visite de la fanfare, film israélien de Eran Kolirin, ovationné en mai dernier à Cannes, Garage, de l'Irlandais Lenny Abrahamson, révélation de la Quinzaine des Réalisateurs 2007, Il vento fa il suo giro, film italien de Giorgio Diritti, ou encore la ressortie de Sa majesté des mouches, chef d'œuvre de Peter Brook (1963)…
Festival défricheur, Lama accueillera également de jeunes cinéastes prometteurs : Eric Guirado avec Le fils de l’épicier (1er août), Sébastien Jaudeau avec La part animale (31 juillet), film tiré du roman de Yves Bichet et interprété notamment par Rachida Brakni, Niels Arestrup et Anne Alvaro…
Plusieurs événements pimenteront la semaine : citons la projection exceptionnelle de Chacun son cinéma, film à sketchs réalisé à l'occasion des 60 ans du Festival de Cannes par 35 cinéastes, issus de 25 pays, et un hommage à un chanteur et comédien né il y a cent ans à Ajaccio : nous retrouverons Tino Rossi dans Le chanteur inconnu de André Cayatte.
Le festival rendra également hommage, en sa présence, au réalisateur Maurice Failevic, dont, avec précision et délicatesse, les films ont souvent évoqué le monde rural, celui de la période pré-révolutionnaire (1788) comme celui des années cinquante (Le Cheval-vapeur).
Comme chaque année, Lama présentera également une sélection de courts métrages en compétition et proposera un état des enjeux contemporains du monde rural à travers un panorama de films documentaires, particulièrement étoffé, qui sera proposé chaque jour dès 10h30 à la Casa di Lama, transformée en Case de l’oncle Doc…    
Le traditionnel colloque jettera, mardi 31 juillet, des “regards croisés” entre la Corse et la région italienne de Basilicate; l’association Detti è Scritti proposera une journée d’initiation gratuite à l’écriture de scénario (1er août, de 10h30 à 19h) et, pour la quatrième année consécutive, les enfants seront conviés, du 25 juillet au 2 août, à un atelier de cinéma, dont le fruit, un court métrage, sera projeté en séance de clôture (3 août).
Quant aux séances en plein air, qui font tout le charme du festival de Lama, elles débuteront simultanément chaque soir à 21h30 sur les trois sites habituels : Piscine, Umbria et Mercatu, ce dernier étant entièrement dévolu au jeune public, avec une programmation et un accueil spécifiques.

Toute la programmation.
Festival Européen du Cinéma et du Monde Rural
Directeur : Mathieu Carta
Coordinatrice : Mélanie Guaïtella

Maison de la Culture et du Tourisme
20218 Lama
Tel: +33 (0)4 95 48 21 60
Fax: +33 (0)4 95 48 24 64
info@festilama.org
www.festilama.org

afficheLama07
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ACID : Reprise du off de Cannes en Ile de France (19 sept-15 oct 2008)

Le off du Festival du Film de Cannes 2008 s’invite en Ile-de-France.
ATTENTION :  MONTÉE D’ACID !

• 19 septembre - 15 octobre 2008 en Ile de France
• 4 et 5 octobre à Paris (Cinéma des Cinéastes)

Après un passage remarqué à Cannes, 9 films indépendants inédits arrivent sur les écrans d’Ile-de-France :

10 + 4 (Mania Akbari), CHRIGU (Jann Gassmann et Christian Ziorjen), GUGARA (Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak), JE SUIS DE TITOV VELES (Teona Mitveska), KOMMUNALKA (Francoise Huguier), LEGER TREMBLEMENT DU PAYSAGE (Philippe Fernandez), MANGE CECI EST MON CORPS (Michelange Quay), NO LONDON TODAY (Delphine Deloget) et TRANS# : WORKING TITLE (Jin).

Des œuvres en provenance de Macédoine, d’Haïti, d’ici et d’ailleurs, une majorité de premiers films, parfois autoproduits, fictions, documentaires, choisis et présentés par les cinéastes de l’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion).
 
Pendant un mois, ce sera la fête de la création indépendante : projections suivies de rencontres avec les cinéastes, exposition de photographies de Françoise Huguier, et concerts de musique de film (Madioko, Olivier Sambouillan).

Toutes les projections seront suivies de rencontres avec les équipes des films.

Rendez-vous du 19 septembre au 15 octobre 2008 dans 16 salles de cinéma d’Ile-de-France : Saint-Gratien, Vaux-le-Pénil, Clamart, Saint-Ouen, Montgeron, Malakoff, Antony, Versailles, Saint-Denis, Fontenay-sous-Bois, La Courneuve, Tremblay-en-France, Gennevilliers, Brie-Comte-Robert, Ivry-sur-Seine, Argenteuil  

Et à Paris, les 4 et 5 octobre 2008 au Cinéma des Cinéastes
 7 avenue de Clichy Paris 75017 métro Place de Clichy
TARIF SPECIAL 5,50 € / réduit 4,50 € / Pass non nominatif 9 entrées 32 €

Programme papier disponible en salles
Rens. : 01 44 89 99 74
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Contacter le service de presse

L’ACID
Fabienne Hanclot, déléguée générale
Grégory Taglione, responsable exploitation
Jean-Baptiste Le Bescam, chargé de l’événementiel

Tél. : 01 44 89 99 74
Fax : 01 44 89 99 60
acid@lacid.org
www.lacid.org

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QU’EST-CE QUE L’ ACID ?

L’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion) est une association de cinéastes, fondée par des cinéastes, qui promeut depuis seize ans la diversité de l’offre cinématographique et œuvre à la rencontre entre les films, leurs auteurs et le public.
Une des actions fortes des cinéastes de l’ACID est la programmation à Cannes, pendant le Festival International du Film, de 9 films majoritairement sans distributeur.
Cette action permet à l’ACID d’être pleinement dans sa mission, à savoir favoriser la diversité, permettre la découverte de talents et leur arrivée dans les salles.
Ainsi de nombreux réalisateurs aujourd’hui reconnus ont-ils été programmés à leurs débuts par l’ACID à Cannes. Citons entre autres Arnaud et Jean-Marie Larrieu, Avi Mograbi, Robert Guédiguian, Gérard Mordillat, Jean Pierre Thorn, Nicolas Philibert, Yolande Moreau, Gilles Porte, Serge Bozon, Vincent Dieutre, Lucas Belvaux, Claire Simon, Alain Gomis, etc.


LES 9 LONGS MÉTRAGES :

 10 + 4, de Mania Akbari  
 (Iran, 2007, fiction, 1er long métrage)  
 L’actrice de Ten (Abbas Kiarostami) met en scène sa propre histoire dans un film qui, malgré son sujet (elle est atteinte du cancer), respire la vie et la liberté.Lire l’article de Jean Roy dans L’Humanité  

 CHRIGU, de Jann Gassmann et Christian Ziorjen  
 (Suisse, 2007, documentaire, 1er long métrage)  
 Toujours entre deux fêtes survoltées, Chrigu filme ses amis musiciens en tournée, ses parents babas-bio… Comment ce doux soleil d’automne pourrait-il être le dernier ?  

 GUGARA, de Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak  
 (Pologne, 2007, documentaire, 2ème long métrage)  
 Dans l’Est russe, une famille Evenki, comme d’autres, regarde sa culture devenir show télévisé ou spectacle folklorique.  

 JE SUIS DE TITOV VELES, de Teona Mitveska  
 (Macédoine, 2007, fiction, 2ème long métrage)  
 A Titov Veles, il reste l’usine qui ronge ses habitants, et la maison des trois sœurs : Sapho, Slavica et Afrodita. Que se passe-t-il quand celles qui étaient toute votre vie décident à leur tour de partir ? Lire l’article de Ingrid Merckx, dans Politis (29 mai 2008) 
Premier film macédonien à avoir été présenté à Cannes.

 KOMMUNALKA, de Francoise Huguier  
 (France, 2008, documentaire, 1er long métrage)  
 La vie dans un appartement communautaire de St Pétersbourg à travers ses habitants, dont la fascinante Natacha, une plongée dans les méandres d’une intimité collective. Lire l’article de Philippe Azoury dans Libération 

 LEGER TREMBLEMENT DU PAYSAGE, de Philippe Fernandez  
 (France, 2008, fiction, 1er long métrage)  
 Une petite communauté vivant apparemment aux premiers moments de la conquête spatiale.  
Une comédie décalée !

 MANGE CECI EST MON CORPS, de Michelange Quay  
 (France/Haïti, 2007, fiction, 1er long métrage)  
 Haïti, île noire, solitaire, abandonnée à sa pauvreté et à sa misère. Madame, une femme blanche (Sylvie Testud), vit dans ses fantasmes coloniaux où elle enseigne et nourrit les masses damnées de la terre. Une expérience cinématographique hypnotique et viscérale qui nous emmène au plus profond de la souffrance spirituelle et matérielle de la première République Noire.  

Sortie nationale : 22 octobre 2008 (distribution : Shellac)

 NO LONDON TODAY, de Delphine Deloget  
 (France, 2007, documentaire, 1er long métrage)  
 Une plongée dans l’errance et l’attente à Calais de jeunes réfugiés tentant de passer illégalement en Angleterre.  

 TRANS# : WORKING TITLE, de Jin  
 (Corée du Sud / France, 2008, 1er long métrage)  
 Poème, journal filmé d’une jeune coréenne entre la France, la Russie, la Mongolie, la Corée…  


LES COURTS MÉTRAGES :

L’AMERTUME DU CHOCOLAT, de Lucile Chaufour  
 (inédit)  

 EUT-ELLE ETE CRIMINELLE, de Jean-Gabriel Periot  

 KAMEL S’EST SUICIDE SIX FOIS, SON PERE EST MORT, de Soufiane Adel  
 (inédit / programmé également à la Quinzaine des réalisateurs)  

 LE LOUP BLANC, de Pierre-Luc Granjon  

 SKHIZEIN, de Jeremy Caplin  
 (inédit / programmé également à la Semaine de la Critique)  

 LA TROISIEME FOIS, de Annarita Zambrano  

 WELCOME TO WHITE CHAPEL DISTRICT, de Marie Vieillevie  


AUTOUR DES FILMS :

EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES
Autour du film KOMMUNALKA

»  Diaporama

En exclusivité présentation de 23 photographies de l’exposition « KOMMUNALKA » de Françoise Huguier, invitée d’honneur des Rencontres Photographiques d’Arles 2008.

* Du 17 au 26 septembre
à l’ESPACE 1789 A SAINT OUEN
Signature du livre « Kommounalki » (Editions Actes Sud) par Françoise Huguier le 17 septembre à 19h

* Les 4 et 5 octobre
Au CINEMA DES CINEASTES à PARIS


MUSIQUE

* Autour du film MANGE CECI EST MON CORPS de Michelange Quay

 Samedi 4 octobre 2008 à 20h30
Ciné Concert au cinéma l’Ecran à Saint Denis
Set musical de MC Samuel et d’Isaac du groupe Madioko, compositeur de la musique du film.
Samuel et Isaak: un MC Haitien aveugle, à la fois orateur et
chanteur, sorte de “prophète tchatcheur” soutenu par les “grooves” d’un
programmateur de rythme électronique d’inspiration vaudou.
Association des images de griot et de sons ancestraux remis à jour dans
un cadre hip/hop électro.

* Autour du film JE SUIS DE TITOV VELES de Téona Stugar Mitevska

-Dimanche 5 octobre 2008 à 18h au Cinéma des Cinéastes à Paris
Ciné concert au Bistrot des Cinéastes dans le cadre du rendez vous « La séance musicale ».
Concert d’Olivier Samouillan, compositeur de la musique du film , voyage dans les Balkans…


AGENDA

PARIS :

SAMEDI 4 OCTOBRE

14h : MANGE CECI EST MON CORPS de Michelange Quay
16h30 : GUGARA de Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak
18h : NO LONDON TODAY de Delphine Deloget
20h : 10 + 4 de Mania Akbari
22h : KOMMUNALKA de Françoise Huguier

DIMANCHE 5 OCTOBRE

12h : programme de courts-métrages
14h : CHRIGU de Jan Gassmann et Christian Ziörjen
16h  : JE SUIS DE TITOV VELES de Téona Strugar Mitevska
18h : concert d’Olivier Samouillan, compositeur de la BO de Je suis de Titov Veles
18h30 : TRANS WORKING TITLE de Jin
20h30 : LEGER TREMBLEMENT DU PAYSAGE de Philippe Fernandez


PERIPHERIE :

Vendredi 19 septembre à 20h30
Les Toiles à Saint Gratien  
•Léger tremblement du paysage de Philippe Fernandez
en présence de Philippe Fernandez et Aurélia Georges  

Lundi 22 septembre à 20h30
La Ferme des Jeux à Vaux le Pénil
•Mange ceci est mon corps de Michelange Quay
en présence de Michelange Quay et Laurent Salgues

Mardi 23 septembre à 20h30
Le Jeanne Moreau à Clamart
•Gugara de Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak
en présence de Daisy Lamothe

Mercredi 24 septembre à 20h30
L’Espace 1789 à Saint-Ouen  
•Kommunalka de Françoise Huguier
en présence de Françoise Huguier et Raphael Mathié
+ Exposition photographique « Kommunalka » de Françoise Huguier du 17 au 26 septembre 2008 + signature du livre « Kommunalki »

Jeudi 25 septembre à 20h45
Le Cyrano à Montgeron  
•No London Today de Delphine Deloget
en présence de Delphine Deloget et Joel Brisse

Lundi 29 septembre à 20h
Le Jean Gabin à Argenteuil
•No London Today de Delphine Deloget
en présence de Delphine Deloget et de Beryl Peillard

Jeudi 2 octobre à 20h30  
Le Marcel Pagnol à Malakoff  
•Je suis de Titov Veles de Téona Strugar Mitevska
en présence de Téona Strugar Mitevska et Béatrice Champanier

Jeudi 2 octobre à 21h00
Le Select à Antony
•Mange ceci est mon corps de Michelange Quay
en présence de Michelange Quay et Dominique Boccarossa

Vendredi 3 octobre à 21h00
Le Roxane à Versailles
•Chrigu de Jan Gassmann et Christian Zïorjen
en présence d’Anne Feinsilber

Samedi 4 octobre à 20h30
L’Ecran à Saint Denis
•Mange ceci est mon corps de Michelange Quay
en présence de Michelange Quay
+ Ciné concert d’Isaac du groupe Madioko

Mardi 7 octobre à 20h30
Le Kosmos à Fontenay Sous Bois  
•Léger tremblement du paysage de Philippe Fernandez
en présence de Philippe Fernandez et Aurélia Georges

Vendredi 10 octobre à 20h30  
L’Etoile à La Courneuve  
•No London Today de Delphine Deloget
en présence de Delphine Deloget et Mariana Otéro

Vendredi 10 octobre à 20h30
Le Jacques Tati à Tremblay en France
•Kommunalka de Françoise Huguier
en présence de Françoise Huguier et Luc Decaster

Mardi 14 octobre à 20h15
Le Jean Vigo à Gennevilliers  
•Je suis de Titov Veles de Téona Strugar Mitevska
en présence de Téona Strugar Mitevska et Béatrice Champanier

Mardi 14 octobre à 20h45
Les 4 Vents à Brie Comte Robert
•Gugara de Jacek Naglowski et Andrzej Bybczak
en présence de Pascal Deux

Mercredi 15 octobre à 20h30  
Le Luxy à Ivry sur Seine  
•10+4 de Mania Akbari  
en présence de Joël Brisse  

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Visuel(affiche signée Willem)
ACID_Reprise08_visuel
10PLUS4
10+4
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TRANS
Trans# : Working Title
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TitovVeles
Je suis de Titov Veles
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Kommunalka
Kommunalka
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MangeCeci
Mange, ceci est mon corps
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NoLondonToday
No London Today
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Tremblement
Léger tremblement du paysage
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Chrigu
Chrigu
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Clermont, 31e Festival International du Court Métrage (31/1 > 7/2 2009)

CLERMONT-FERRAND 2009 : LE PALMARES

La 31e édition du Festival International du Court Métrage se déroulera à Clermont-Ferrand (63) du 30 janvier au 7 février 2009.

Le 24e Marché du Film Court se tiendra du 31 janvier au 6 février 2009.
[English version below]

Outre les trois compétitions habituelles (internationale, labo et française), le rendez-vous majeur de la planète Court proposera une rétrospective de films néerlandais (de 1990 à aujourd’hui), un panorama international de comédies musicales, depuis les débuts du cinéma jusqu’aux années 2000, une carte blanche à la société de production Les Films du Nord, deux programmes du Master de réalisation de cinéma documentaire de Lussas, et, comme chaque année, une sélection de courts africains francophones récents (“Regards d’Afrique”), des programmes de clips détonants, un florilège de films produits en régions, des courts à destination des enfants et des scolaires et des programmes sortis ces derniers mois en salles.

Parallèlement, se tiendra, du 31 janvier au 6 février 2009, le 24e Marché du Film Court, reconnu internationalement comme lieu d’échanges privilégiés par les professionnels de tous les secteurs du court métrage.
A noter le lancement d’ Euro Connection 2009. Nouveau rendez-vous des professionnels européens autour de la découverte et la promotion d’une vingtaine de projets de courts métrages particulièrement prometteurs, ce 1er forum de coproduction se tiendra le mardi 3 février.

Bureaux du Festival :
La Jetée
6 place Michel-de-L’Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
Tél : 33 (0)4 73 91 65 73
Fax : 33 (0)4 73 92 11 93

info@clermont-filmfest.com

www.clermont-filmfest.com


Rétrospectives

    Pays-Bas
L’histoire du court métrage néerlandais est très riche, dans tous les genres : films de fiction, d’animation, documentaires et expérimentaux.
Si les 6 programmes qui composent cette rétrospective proposent surtout des films réalisés au cours des 15 dernières années, des œuvres plus anciennes de quelques uns des plus célèbres cinéastes néerlandais sont présentes : le premier film (1928) du grand Joris Ivens Le Pont, Zoo de Bert Hanstra (1962), Herman Slobbe : L’Enfant aveugle 2 de Johan van der Keuken (1966), le 4e court métrage de Paul Verhoeven La Fête (1963) ou Les Caractères de Evert de Beijer (1986), meilleur film d’animation néerlandais du 20e siècle selon la Dutch Animation Association !
Quelques films sélectionnés à Clermont-Ferrand par le passé et marquants sont repris : La Salope est de retour (et sa terrible poupée gonflable), Le Fils prodigue (et sa scène gore toujours aussi dérangeante, déconseillé à la spectatrice qui s’était évanouie en 1996 !), La Muraille de Chine (prix spécial du jury en 2003), l’émouvant Père et fille (prix du meilleur film d’animation en 2001 et Oscar du court métrage d’animation la même année) ou la très belle chorégraphie Shake off.
La plupart des films sont toutefois inédits ici.
Côté animation : 3 Misses de l’un des maîtres de l’animation, Paul Driessen, God on our Side qui rend compte du conflit israélo-palestinien dans un style à la Guernica, Barcode (grand prix Annecy en 2002) ou Tableaux célèbres qui revisite notamment van Gogh, Rembrandt et Bruegel.
Côté documentaire : Anderman et Cellules grises qui portent un regard tendre mais aussi drôle sur la maladie d’Alzheimer et la vie en maison de retraite.
Côté expérimental : de beaux regards différents sur des avions survolant Hong Kong, la ville engloutie de Saeftinghe ou une ballerine dans le parc de Numéro trois.
Côté fiction, la palette est large : du fantastique avec Dilemme où le temps se fige et Le Visage caché, reflet des peurs enfantines, de l’humour avec l’hilarant Le Permis de conduire, de la tendresse avec Hardcore et Sable, de la violence exercée sur soi-même dans Douleur ou par la société à travers la peine de mort dans La Sentence, de la poésie avec le film de (et avec) l’acteur Rutger Hauer La Chambre, un étonnant documenteur Lap rouge…
Il y a bien d’autres choses à découvrir au hasard de plus de 40 films qui témoignent de l’extraordinaire vitalité d’organismes comme l’école de cinéma d’Amsterdam (NFTA), le NIAF (Netherlands Institute for Animation Film), producteur de beaux films d’animation, De Filmbank et le Netherlands Media Art Institute, distributeurs de films expérimentaux et d’art vidéo et de tous les producteurs indépendants néerlandais œuvrant dans le court métrage.
En addition à ces 6 programmes, des films du duo de cinéastes néerlandais Paul et Menno de Nooijer figurent dans la section Courts de rattrapage.
Cette rétrospective bénéficie du soutien de Holland Film (Amsterdam), de l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas et de l’Institut Néerlandais (Paris).

    Comédie musicale
La comédie musicale est un genre défini actuellement par des codes précis : alternance de scènes dialoguées et d’instants musicaux (chantés et/ou dansés). Mais depuis Le Chanteur de Jazz d’Alan Crosland avec Al Jolson, premier film sonore en 1927, que l’on peut considérer comme le prototype du film musical, ce genre a épousé diverses formes des Silly Symphonies de Disney jusqu’au clip en passant par le film chanté à la Jacques Demy.

    Le cinéma parlant a donc d’abord été musical, chantant, dansant pendant une petite dizaine d’années. La comédie musicale a connu son âge d’or (1930-1960) aux Etats-Unis et a su, à sa façon, se mondialiser comme l’attestent les films Bollywood actuels ou bien encore les films égyptiens. Et si elle conserve souvent l’image de la comédie légère instaurant le dogme de la réussite où tout se termine bien, elle a aussi su se dégager de cette vision idyllique du monde inventée pour apporter du rêve au peuple américain des années 30 secoué par la crise. A partir des années 60, sous l’effet notamment de la contre-culture, des thèmes plus graves, pour faire simple, vont faire irruption dans la comédie musicale.

    Les vingt-et-un films de cette rétrospective sont une belle illustration de cette brève présentation et vont confirmer la diversité du genre dont le format court a le secret. Vous y verrez deux films américains des années 30 : un des premiers films en Technicolor, La Cucaracha, et un en noir et blanc, Masks and Memories, qui, en 35 minutes, nous offre un éventail quasi complet de ce qu’a pu être la comédie musicale américaine de ces années-là, numéro chanté, chanté/dansé seul, puis en groupe et chorégraphie à la Busby Berkeley. Dans les films récents qui s’attaquent avec bonheur, sérieux et dérision à des sujets plus en phase avec la réalité, nous aborderons des thèmes comme le racisme (Hjärtslag, Suède), la solitude (Petunia, Etats-Unis), la prison (The Man in 301, Irlande), la famine (Kare Kare Zvako, Zimbabwe), le conflit israélo-palestinien (West Bank Story, Etats-Unis), la mort avec le film coréen The Apple et le seul film d’animation de la rétro Hasta la Muerte (Espagne), l’hôpital avec Pretty Dead Girl (Etats-Unis), la drogue et les sans-logis avec Melodias Toxicas (Espagne) qui nous offre une parodie d’un numéro chanté/dansé de Gene Kelly.

    Des films aux sujets plus légers les accompagneront : Boot Camp (Etats-Unis), très court instant de drague homosexuelle, Zombie Prom (Etats-Unis) qui marie film de genre et bande dessinée, When the Kids are Away ou quand les enfants ne sont pas là, les parents dansent, et les films français Le goût de plaire, avec Jacques Bonnafé et Anne Alvaro, dans une déclinaison courte du film chanté à la Demy, Un premier amour (tourné avec un téléphone portable) de Nicolas Engel (qui a une autre comédie musicale en compétition nationale, La copie de Coralie), Comme un air qui vous laissera dans la tête, comme à tous les protagonistes du film, un air de chanson pour la journée. Vous serez aussi transporté dans l’univers de Bollywood avec deux films : un film français Do Dil et un américano-indien Bombay Skies. Les genres musicaux les plus récents ne sont pas oubliés, notamment le rap avec le court métrage français Rapbizz.

    Pour la plupart, les films sont inédits au festival de Clermont-Ferrand. Le programme Enfants, bâti autour du thème de la comédie musicale, accompagnera cette programmation.

Compétition

    Compétition internationale
Chefs-d’œuvre de l’animation, comédies, réalités contemporaines, films de genre, travaux de fin d’études des meilleures écoles du monde : la sélection qui compose les quatorze programmes de cette compétition rapproche et confronte les univers de cinéastes de tous les horizons. Bien plus qu’un rapide tour du monde, ces 75 films issus d’une cinquantaine de pays offrent une formidable plongée, les yeux grand ouverts, dans le bain rafraîchissant de la jeune création cinématographique.

    Labo
La compétition Labo s’affirme depuis 8 ans comme un terrain d’exploration riche en aventures visuelles innovantes et inédites. Croisements inattendus, regards originaux, art consommé du risque, le Labo clermontois, à l’affût de toutes les expériences, ouvre les portes d’un fantastique déploiement des imaginaires.

    Compétition nationale
Ce qu’il y a d’époustouflant dans la production française, c’est son côté prolifique : plus de 1300 films inscrits l’an dernier, autant cette année.
Ce qu’il y a d’épatant dans le court métrage français, c’est la qualité de travail d’une production résolument professionnelle, l’éclat des films d’école et la spontanéité des électrons libres qui donnent à chaque millésime sa coloration originale.

    Autres programmes

Courts de rattrapage
Deux tandems qui adorent expérimenter : les Hollandais Paul et Menno de Nooijer et les Suédois Ola Simonsson et Johannes Stjärne Nilsson.

Carte blanche aux Films du Nord
Films choisis par le producteur lauréat du Prix Procirep 2008.

Ecole du documentaire de Lussas
Deux programmes du Master de réalisation de cinéma documentaire.

Films en région
Courts métrages tournés et/ou aidés en régions.

Regards d’Afrique
Courts métrages africains francophones récents.

Clips
Découvertes de créations musicales éclectiques et surprenantes.

Distributeurs
Une sélection des derniers programmes de courts métrages ayant connu une diffusion commerciale dans l’année.

Scolaires
Des études de scénarios, un programme de courts et des rencontres avec les réalisateurs.

Ecoles, enfants
Différents programmes spéciaux pour les enfants.

24e Marché du Film Court

Le Marché du Film Court de Clermont-Ferrand est un espace réservé aux professionnels. C’est le lieu d’échanges privilégié des représentants de tous les secteurs du court métrage mondial. Il se déroulera du 31 janvier au 6 février 2009 dans le gymnase Jean-et-Honoré-Fleury situé à 20 mètres de la Maison de la Culture.

Euro Connection 2009
Nouveau rendez-vous des professionnels européens autour de la découverte et la promotion d’une vingtaine de projets de courts métrages particulièrement prometteurs, ce 1er forum de coproduction se tiendra le mardi 3 février.

La vidéothèque Marché
L’intégralité des films inscrits au Marché consultable sur 35 terminaux grâce au serveur vidéo de Clermont-Ferrand.

Le catalogue Marché
6000 films, tous les contacts : c’est la bible annuelle du court métrage. Trois versions du catalogue : Internet, interactive et papier.

L’espace exposants
Mille mètres carrés d’exposition où des dizaines d’organismes mettent en valeur leurs activités.

Les programmes Marché
Vitrine idéale pour présenter vos toutes dernières productions ou acquisitions (film ou vidéo).

Terminal vidéo
Sur chaque stand, la possibilité d’installer un terminal relié au serveur vidéo qui alimente la vidéothèque du Marché.

Un guide des professionnels présents
La liste des quelque 3000 participants, avec leur hôtel, leurs dates de séjour et leur numéro de casier pour les contacter sur place.

Un plateau MEDIA Rendez-Vous
Au cœur du Marché, pendant toute sa durée, un secrétariat assiste gratuitement les professionnels dans la prise de leurs rendez-vous.

Des rencontres professionnelles
Présentations publiques de professionnels très demandés : Canal +, Arte (France), TPS, France 2, France 3, TV Man Union (Japon), SBS (Australie)…

Etaient présents sur le Marché 2008
66 représentants de chaînes de télévision
83 distributeurs
20 éditeurs vidéo
17 diffuseurs VOD
115 organismes sur l’espace exposants
428 représentants de festivals français et internationaux…

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31st CLERMONT-FERRAND INTERNATIONAL SHORT FILM FESTIVAL
Musical and Netherlands…
January 30 - February 7, 2009


31st Edition: Safe as Houses
Coming up on its thirty-first edition, the Clermont-Ferrand film festival proves, once again, that short films are safe as houses. Whether you’re talking about our three competitions or the numerous panoramas and retrospectives, cut-rate is not in our vocabulary. Short films remain a long-term guarantee for living, imaginative cinema, and in that regard, Clermont’s credit rating is rock solid.

Euro Connection 2009 : this new forum bringing European professionals together for discovering and promoting some twenty promising short film projects will take place on Tuesday 3 February.

21st International Competition
Masterpieces of animation, comedies, contemporary realities, genre films, graduation films from some of the finest film schools : the arresting selection of films in the fourteen programmes of this competition brings together and confronts the art of filmmakers from all over the world. Rather than a quick trip around the world, these 75 films from some fifty countries offer a refreshing spree amidst the young film creation.

8th Lab Competition
The Lab competition asserts itself as the fertile, surveying grounds dedicated to radical, pioneering visual adventures. Electrifying bridges, arresting viewpoints, accomplished risk-taking, Clermont-Ferrand’s Lab swings the door open onto fantastic regions where imagination thrives and images fly out in an impressive number of exciting directions.

31st French Competition
What’s so astounding about French production is how prolific it is: more than 1,300 films registered last year with as many this year. What’s astonishing about French short films is the rigorous professionality of their production, the brillliance of film-school work, and the spontaneity of the free electrons that give each vintage its own particular coloration. And Clermont is of course where this tasting takes place.

Panorama
Netherlands
A special focus will present an exciting selection of Dutch Short Films, wrapped up in six programmes.
A majority of the films that will be presented were made in the last fifteen years. They cover a vast array of genres and styles and testify for the creativity and talent of Dutch filmmakers. The audience will be pleased to see re-runs of past Clermont-Ferrand selections or awards (The Chinese Wall, Special Jury Prize 2003 ; Father and Daughter, Best Animation Short 2001), and discover films presented for the first time as part of this focus.
This will also be the opportunity to showcase a number of landmark shorts from renowned directors Joris Ivens, Bert Haanstra, Johan van der Keuken, Paul Driessen, or Paul Verhoeven…
In addition to this, our “Retakes” strand will also revisit the works of Paul and Menno de Nooijer.

Panorama
Musical
In 1927, cinema discovered sound with the voice of Al Jolson singing in The Jazz Singer.
For the next 30 years there has been singing and dancing on the silver screen. Musicals kept reaching new artistic heights until the 50s, to later decline, until they became fashionable again recently under various forms.
The genre now tackles “serious” themes also, while remaining faithful to its origins in romance.
What we offer is a selection of thirty swinging, singing, musical gems from 1930 to today, from the US, India, Europe, Africa or South America, made in Technicolor or with a mobile phone, for pure entertainment or with a message to deliver. No doubt these musical short films will take you over the rainbow.

Other delights

Retakes
Two pairs of filmmakers who love to experiment: Paul and Menno de Nooijer from the Netherlands, and the Swedes Ola Simonsson and Johannes Stjärne Nilsson.

A Free hand given to Les Films du Nord
Two programmes of short films chosen by the 2008 Procirep prize-winning producer.

Lussas documentary school
Two programmes of films from the Master in directing documentary films.

French Regions Showcase
Selection of short films shot and financed in the French regions.

African Perspectives
French-speaking African short films.

Music Videos
A selection of wide-ranging, first class music videos.

Distributors’ programmes
A selection of the latest short film programmes having been commercially distributed in the past year.

A programme for schools
Script readings and meetings with directors are to be organized.

Kids
Various programmes are proposed for the delight of children.


24th Short Film Market
The Clermont-Ferrand Short Film Market is a space devoted to professionals. It is the favoured place of exchange between delegates from all branches of short film production worldwide. The market will take place from January 31 to February 6, 2009 in a gymnasium 20 meters far from the Maison de la Culture.

Video Library
All the films entered at the Market are available for viewing on 35 video terminals thanks to the Clermont-Ferrand’s video server.

Market Catalogue
Find the 5,300 films and all their contacts in what is considered the yearly bible of short film production. Three versions are available: the online version, the interactive version and the hardback one.

Exhibition Hall
International promotion bodies keenly share 1,000 sqm of exhibition space where they promote their business.

Market Screenings
Offer outstanding exposure to your latest productions or purchases (film and video).

Video Terminal
Enjoy directly on your booth the new facilities offered by the video server to which the Market video library is connected.

Professional Directory
A must-have brochure where some 3,000 attending delegates are listed, with their hotel, travel dates and pigeon-hole contact number.

MEDIA Rendez-Vous Area
On location throughout the entire duration of the Market, specific secretarial services supply free assistance in arranging your business appointments.

Professional Meetings
MEDIA forums with industry delegates who are very much in demand: Canal +, Arte (France), TPS, France 2, France 3, TV Man Union (Japan), SBS (Australia)…

Market 2008
66 TV delegates
83 distributors
20 video publishers
17 VOD providers
115 organisations in the exhibition hall
428 French and international festival delegates

Clermont_09_Poster

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Clermont-Ferrand, 32e Festival du Court métrage (29 jan > 6 fev 2010)

Succédant aux Pays-Bas, c’est le Maroc qui sera mis à l’honneur par le 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand, du 29 janvier au 6 février 2010.
Un panorama d’une quarantaine de films courts embrassant un demi-siècle de cinéma marocain sera proposé tout au long de la semaine, ainsi, entre autres rencontres avec les nombreux réalisateurs attendus, qu’une table-ronde (le 4 février) sur la situation du court métrage dans un pays où un dynamisme prometteur est confronté à de nombreuses fermetures de salles.
Ce voyage, de l’Indépendance à nos jours, donnera à découvrir ou revoir des jalons de la production marocaine, des années 1950-70 avec les pionniers jusqu’aux années 2000 et leur nouvelle génération d’auteurs, en passant par les années 90 très marquées par les cinéastes émigrés. Au programme, des films inédits, des auteurs également consacrés internationalement par leurs longs métrages : Laïla Marrakchi, Faouzi Bensaidi, Nabil Ayouch, Jilali Ferhati, Daoud Aoulad-Syad, Ismaël Ferroukhi …

Zombies, vampires et autres morts vivants” : tel est le titre d’un autre panorama de courts métrages concocté pour cette édition par les Clermontois. Horreur, mais aussi humour, romantisme et mauvais goût : trente films, (re)venus d’une vingtaine de pays viendront confronter les spectateurs à cette définition du zombie proposée par Julien Bétan et Raphaël Colson  : “bien plus que de notre chair, c’est de nos peurs qu’il se nourrit, incarnation putride et déshumanisée de l’avenir incertain qui hante nos sociétés”.

Quant aux trois compétitions habituelles (internationale, nationale et le désormais célèbre Labo), il est à signaler que le nombre de films soumis à la sélection ne cesse d’augmenter : 400 films de plus ont été visionnés cette année, soit une augmentation de plus de 6 %. Ils se répartissent en 5119 films étrangers et 1404 français.

Lancé lors du festival 2009, Euro Connection, dont l’objectif est de stimuler les partenariats entre sociétés de production, financeurs et diffuseurs européens autour de projets de films de court métrage, a d’emblée prouvé sa pertinence.
Une vingtaine de projets seront présentés à Clermont le 2 février, en provenance d’une quinzaine de pays associés à cette deuxième édition : Allemagne, Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, Estonie, France, Grèce, Irlande, Italie, Lituanie, Norvège, Pologne, Portugal et Roumanie.
Euro Connection est organisé dans le cadre du 25e Marché du Film Court, lieu d’échange privilégié des représentants de tous les secteurs du court métrage mondial, qui se déroulera du 30 janvier au 5 février 2010, parallèlement au festival. Trois pays seront présents pour la première fois cette année sur le Marché : la République tchèque, le Chili et le Maroc.

Plus de 130 000 spectateurs sont attendus à Clermont-Ferrand. Il n’est pas sans intérêt de constater que c’est le court métrage, parfois traité avec condescendance, qui suscite, juste après Cannes et depuis plusieurs années, la deuxième plus grosse fréquentation d’un festival de cinéma en France.

Les 224 pages du catalogue du 32e Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand sont consultables et téléchargeables ICI
Leaf through the virtual version of the 32nd Clermont-Ferrand Short Film Festival Catalogue
Dossier de Presse

Ça Suit Son Court : spécial dernière

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MAIS ENCORE…

Courts de rattrapage” proposera des regards croisés sur deux cinéastes de l’étrange : Lorenzo Recio et Luc Moullet, un des plus fervents défenseurs du film court, cependant qu’une nouvelle section, “Court d’histoire”, ayant pour but de présenter un film ou un groupe de films en rapport avec l’Histoire ouvrira avec Nuit et brouillard d’Alain Resnais (1956) accompagné d’une conférence de Sylvie Lindeperg, auteur de « Nuit et brouillard », un film dans l’Histoire (Ed. Odile Jacob, 2007).

Le GREC (Groupement de Recherches et d’Essais Cinématographiques) viendra fêter en images ses 40 ans de production, Aurora Films, lauréat du Prix Procirep 2009 aura également carte blanche et

Wapikoni
donnera à voir un étonnant programme de films réalisés par des jeunes des réserves des premières nations du Québec.

On retrouvera Regards d’Afrique, et ses programmes de courts métrages africains francophones, la section Clips, des programmes spécifiques pour les scolaires et les enfants…

Véritable école de cinéma éphémère, l’Atelier, grand ouvert chaque année au public le temps du festival, sera articulé autour du cinéma en relief, avec le concours de plusieurs écoles de cinéma (ArtFx, Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand, Louis-Lumière, Estienne…) et spécialistes des toutes nouvelles techniques.


Festival international du Court Métrage de Clermont-Ferrand
TEL : + 33 4 73 91 65 73 
www.clermont-filmfest.com
Clermont_ShortFilmFestival_2010_Poster
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Télécharger l’affiche de Clermont-Ferrand 2010 (horizontale)
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Images du 20e Festival du Film de Lama (Haute-Corse)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le festival Itinérances fête ses 30 ans à Alès (16 > 25 mars 2012)

Nicolas Philibert, Jean-Pierre Marielle, Joël Séria, Pippo Delbono parmi les invités d’ITINÉRANCES 2012.

TELECHARGER LE PROGRAMME COMPLET (PDF)

Lire l’article de Clarisse Fabre dans le quotidien Le Monde, consacré à l’hommage d’Itinérances à Pippo Delbono cinéaste.

La 30e édition du festival ITINÉRANCES se déroulera à Alès (Gard, France), du vendredi 16 au dimanche 25 mars 2012.

Au programme, comme chaque année, de nombreux hommages et une sélection internationale de longs métrages inédits, des rééditions prestigieuses, une compétition de courts métrages, des programmes et animations à l’intention des jeunes spectateurs, des ciné-concerts, expositions… mais aussi — anniversaire oblige — 30 coups de cœur pour la 30e, une nuit “30 ans de frissons”, une carte blanche au magazine décalé Strip Tease (“Strip Strip Strip Hourra”) et de nombreux autres événements, dont la création sur scène, par Agathe Natanson et Jean-Pierre Marielle, du conte musical Philomène et les ogres.
Avec plus de 200 films, et dans ses six salles, ITINÉRANCES attend plus de 45 000 spectateurs.

HOMMAGES
Nicolas Philibert [en sa présence] de La Voix de son maître (coréalisé avec Gérard Mordillat) à Nénette.

Jean-Pierre Marielle [en sa présence] / Joël Séria [en sa présence] : Charlie et ses deux nénettes, Les Galettes de Pont-Aven, ….

Pippo Delbono cinéaste [en sa présence], avec notamment l’avant-première d’Amore Carne.

Le collectif Amber Films de Newcastle (Byker, Seacoal, The Writing in the Sand…), avec exposition de photographies de Sirkka Liisa-Konttinen : Captured in Amber, l’instant capturé.

Coup de projecteur sur Elio Petri à l’occasion de la restauration de L’Assassin et de I Giorni Contati.

Coup de chapeau au cinéma d’animation belge.



UNE SÉLECTION INTERNATIONALE DE LONGS MÉTRAGES INÉDITS ET EN AVANT-PREMIÈRE
(liste non exhaustive)

 Les Adieux à la Reine de Benoît Jacquot (France),
L’ Affaire Chebeya  de Thierry Michel (Belgique),
Bellflower de Evan Glodell (États-Unis),
Au cul du loup de Pierre Duculot (Belgique),
Avé de Konstantin Bojanov (Bulgarie),
Le Bonheur…Terre promise  de Laurent Hasse (France),
Crulic de Anca Damian (Roumanie),
Dead but not Burried de Phil Mulloy (Grande-Bretagne),
Diourka de Estelle Fredet et André S. Labarthe (France),
Edut (Témoignage) de Shlomi Elkabetz (Israël, France),
Les Femmes du bus 678 de Mohamed Diab (Égypte),
Hell de Tim Felbhaum (Allemagne),
Hold-up de Erik Skjoldbjærg (Norvège),
Mattt Konture, l’éthique du souterrain de Francis Vadillo (France),
On the Road Again, le cinéma de Bouli Lanners de Benoît Mariage (Belgique),
Perfect Sense de David MacKenzie  (Grande-Bretagne),
Sept œuvres de la miséricorde de Gianluca De Serio et Massimiliano De Serio (Italie),
La terre outragée de Michale Boganim (France, Pologne, Allemagne),
Tyrannosaur  de Paddy Considine  (Grande-Bretagne),
Vol spécial de Fernand Melgar  (Suisse),
Walk Away Renée de Jonathan Caouette (France, États-Unis)


« 30 COUPS DE CŒUR POUR LA 30e », avec notamment des films de réalisateurs qui ont marqué l’histoire du festival comme Aki Kaurismäki, Samuel Fuller ou Sidney Lumet, mais aussi des classiques signés Theo Angelopoulos, Wim Wenders, Georges Méliès ou Victor Erice


NUIT 30 ANS DE FRISSONS


Avec le programme « STRIP STRIP STRIP HOURRA », le magazine Strip Tease célébrera à sa manière les 30 ans de la manifestation.


Exposition Monstres sacrés du cinéma, photographies de Xavier Lambours au musée PAB.


Et, comme chaque année,
des rééditions en copies restaurées (Colonel Blimp de Michael Powell et Emeric Pressburger, Train de nuit de Jerzy Kawalerowickz, Quai des brumes de Marcel Carné, La Servante de Kin Ki-young, …), la compétition de courts métrages francophones, « La méditerranée dans un fauteuil », des dédicaces, des ciné concerts, des expositions,  des rencontres et un important volet dédié au jeune public seront également au rendez-vous.


Séances spéciales handicaps sensoriels film adapté aux sourds, malentendants, aveugles et malvoyants.


Événement : Création live de Philomène et les ogres, avec Agathe Natanson et Jean-Pierre Marielle (récitants) - Conte musical (Gallimard Jeunesse) d’Arnaud Delalande (texte), Charles Dutertre (illustrations), David Chaillou (musique).

D’autres hommages, rencontres, surprises… seront au rendez-vous.


DEPUIS 1983

Manifestation farouchement généraliste, le Festival Cinéma d’Alès a reçu depuis 1983 des personnalités aussi différentes que Jerry Schatzberg, Aki Kaurismäki, Ben Gazzara, Michael Haneke, Claudia Cardinale, Samuel Fuller, Jean Rouch, Tony Gatlif, Budd Boetticher, Agnès Varda, Nino Manfredi, Monte Hellman, Raymond Depardon, Claire Denis, Benoît Poelvoorde, Stephen Frears, Hanna Schygulla, Philippe Decouflé, Bertrand Tavernier, Jean-Claude Carrière, Irène Jacob, Robert Crumb, Gustave Kervern, Otar Iosseliani, Catherine Frot, Abel & Gordon, Bernadette Lafont, Pascal Comelade, Rachida Brakni, Merzak Allouache, Im Sang-soo, Lucia Bose, Christophe Ruggia, Juliet Berto, Sergi Lopez, Jacques Rozier, Serge Bromberg, Marc Perrone, Sophie Calle, Raoul Peck, Andrew Kötting, Yolande Moreau, Terry Zwigoff, Isild le Besco, Archie Shepp, Alexandra Lamy, Macha Makeïeff, Laurent Chevallier, Mohamed Chouikh, Delphine Gleize, Serge Avédikian, Marie-Monique Robin, Jérôme Deschamps, Bruno Podalydès, Sylvain Chomet (qui réalise l’affiche 2012 du festival),Thierry Michel, Henri Alekan, John Malkovich, Barry Purves, Serge Avédikian, Costa Gavras, Agnès Jaoui, Jalil Lespert, Vittorio De Seta, Alexandre Tharaud, Hiam Abbas, Jean-Louis Trintignant, Abderrahmane Sissako, Sidney Lumet…



Festival Cinéma d’Alès – Itinérances

Mas Bringer, rue Stendhal
30100 Alès
tél : 04 66 30 24 26
fax : 04 66 56 87 24
festival@itinerances.org

Délégué Général : Antoine Leclerc
antoine.leclerc@itinerances.org

Presse : Jean-Bernard Emery
jb.emery@cinepresscontact.com

ITINERANCES_2012_AFFICHE
Cliquez ici pour télécharger l’affiche, signée Sylvain Chomet

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Jean-Pierre Marielle, au Festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : photo  Etienne Pons - Itinérances


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Michel Muller au Festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Etienne Pons - Itinérances


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Benoît Jacquot au Festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Julie Jourdan - Itinérances


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Jeanne Goupil, Joël Séria, Agathe Natanson et Jean-Pierre Marielle au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Maïlis Donnet - Itinérances

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Pippo Delbono au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Maïlis Donnet - Itinérances

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Sirkka Liisa Konttinen, Graeme Rigby et Peter Roberts :
3 membres du collectif Amber au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Etienne Pons - Itinérances
SIRKKA_L_KONTTINEN
Sirkka Liisa Konttinen au festival Itinérances 2012
Exposition “Captured in Amber”
Mention obligatoire : Etienne Pons - Itinérances
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Nicolas Philibert au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Maïlis Donnet - Itinérances



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Marianne Chaud (réalisatrice de La nuit nomade)
au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Maïlis Donnet - Itinérances
F_SISSANI_ITINERANCES_DONNET
Fatima Sissani (réalisatrice de La langue de Zahra)
au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Maïlis Donnet - Itinérances



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Laurent Hasse (réalisateur de Le bonheur… Terre promise)
au festival Itinérances 2012
Mention obligatoire : Etienne Pons - Itinérances



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Rencontres Cinématographiques de la Seine-Saint-Denis (16>27 NOV 2011)

TELECHARGER LE PROGRAMME COMPLET DES RENCONTRES
TELECHARGER LE CATALOGUE DES RENCONTRES
A l’affiche de ces 22e Rencontres :
 - Hal Hartley, un des acteurs-clés du cinéma indépendant américain des années 80 et 90. Ses derniers films n’ont malheureusement pas été distribués en France, mais on se souvient de The Unbelievable Truth (1989), Trust (1990), Simple Men (1992), Amateur (1994), Flirt (1995), Henry Fool (1997) …

 - Le cinéaste malien Souleymane Cissé, une des références du cinéma africain, premier de son continent à avoir été primé à Cannes (Prix Spécial du Jury en 1987 avec Yeelen).

 - Luc Dardenne, dont le dernier film, bien sûr réalisé avec son frère Jean-Pierre, Le gamin au vélo, est sorti en France lors du dernier festival de Cannes, où il a reçu le Grand Prix.

- Paul Vecchiali, sans doute l’un des plus inventifs et irréductibles cinéastes français, dont une biographie signée Mathieu Orléan, “Paul Vecchiali, la maison cinéma”, paraîtra le 26 novembre 2011 aux Editions de l’Œil. Cette même enseigne a récemment publié L’Encinéclopédie, une somme sur le cinéma français des années 30, signée précisément par Paul Vecchiali.

- Isabelle Carré, César 2003 de la meilleure actrice pour Se souvenir des belles choses, de Zabou Breitman, et Molière 2004 de la meilleure comédienne pour son rôle dans la pièce de Roland Topor L’hiver sous la table, mise en scène par Zabou Breitman.

- Kathy Sebbah, jeune réalisatrice révélée par ses courts métrages (Mic Jean-Louis, La Harde, Dancing Odéon…).

- Arnaud Demuynck, réalisateur et producteur de courts métrages (au sein de la société Les Films du Nord), qui aura droit à une carte blanche.

Par ailleurs, un vaste programme de films, spectacles musicaux et autres conférences ludiques, réuni sous l’intitulé “Musique, danse et féerie”, sera proposé au jeune public des Rencontres.

Au total, plus de 70 films projetés dans 20 cinémas publics de la Seine-Saint-Denis, le plus souvent en présence d’invités, grâce à un réseau de salles unique en France, fédéré par l’association Cinémas 93 :

Le Studio / Auberviliers
Cinéma Jacques Prévert / Aulnay-sous-Bois
Le Cin’Hoche / Bagnolet
Cinéma Louis-Daquin / Le Blanc-Mesnil  
Magic Cinéma / Bobigny
Cinéma André Malraux / Bondy
L’Etoile / La Courneuve
Salle Henri Salvador / Dugny
Théâtre du Garde-Chasse / Les Lilas
Cinéma Yves Montand / Livry-Gargan
Le Méliès / Montreuil
La Fauvette / Neuilly-Plaisance
Le Bijou / Noisy-le-Grand
Ciné 104 / Pantin
Espace des Arts / Les Pavillons-sous-Bois  
L’Ecran / Saint-Denis
Espace 1789 / Saint-Ouen
Les 39 Marches / Sevran
Cinéma Jacques Tati / Tremblay-en-France

Tarif unique : 4 euros



EN PRÉSENCE DE HAL HARTLEY

Lundi 21 novembre
LE CIN’HOCHE / BAGNOLET
Projection à 20h du film Henry Fool.

Mardi 22 novembre
CINÉMA LE BIJOU / NOISY-LE-GRAND
Projection à 20h30 du film Trust.

Mercredi 23 novembre
Rencontre à la New-York University, partenaire de la manifestation.
En présence également de l’actrice Elina Löwensohn.

Jeudi 24 novembre
LE MÉLIÈS / MONTREUIL
Projection à 18h du film Simple Men, suivie à 21h du film Trust, précédé de Theory of Achievement en présence également de l’actrice Elina Löwensohn.

EN PRÉSENCE DE SOULEYMANE CISSÉ

Vendredi 25 novembre
L’ÉCRAN / SAINT-DENIS
Projection à 14h du film Yeelen, suivie d’une leçon de cinéma animée par Michel Amarger, journaliste et critique à RFI.
(en partenariat avec l’ACRIF).
Projection à 20h30 du film Finyé et discussion animée par Michel Amarger.

Samedi 26 novembre
LE MÉLIÈS /MONTREUIL
Projection à 20h30 du court-métrage A be munumunu, puis de Yeelen.

Samedi 26 novembre
MAGIC CINÉMA / BOBIGNY
Projection à 14h30 du film Finyé et, pour les enfants, du film Mission : Noël.

Dimanche 27 novembre
LE MÉLIÈS / MONTREUIL
Projections à 15h45 de deux documentaires sur Souleymane Cissé, à 17h15 du film Waati et à 20h30 du film Min Yé.

EN PRÉSENCE DE PAUL VECCHIALI

Vendredi 25 novembre
LE MÉLIÈS /MONTREUIL
Projection à 18h30 du film Remorques et à 21h du film Corps à cœur et discussion animée par Tangui Perron, historien.

Samedi 26 novembre
CINÉ 104 /PANTIN
Projection à 17h30 du film Le Plaisir et à 20h30 du film En haut des marches.

Dimanche 27 novembre
CINÉMA LOUIS DAQUIN/LE BLANC-MESNIL
Projections à 16h du film Gueule d’amour, suivi à 18h du film L’Étrangleur.

EN PRÉSENCE DE LUC DARDENNE

Dimanche 20 novembre
CINÉ 104 / PANTIN
Projections à 14h45 du film Le Fils et à 18h du documentaire Nous étions tous des noms d’arbres.

Dimanche 20 novembre
CINÉMA YVES MONTAND / LIVRY-GARGAN
Projections à 16h30 du documentaire Le Home Cinéma des frères Dardenne et à 17h30 du film Le Gamin au vélo.
Rencontre animée par Élise Domenach, et suivie d’un cocktail.

Lundi 21 novembre
ESPACE 1789 / SAINT-OUEN
Projections à 9h30 du film Le Gamin au vélo, à 14h du film L’Enfant suivie à 16h15 d’une leçon de cinéma animée par Élise Domenach (en partenariat
avec l’ACRIF).
Projections à 19h du documentaire Le Home cinéma des frères Dardenne et à 20h30 du film La Promesse.

EN PRÉSENCE D’ ISABELLE CARRÉ

Samedi 19 novembre
THÉÂTRE DU GARDE-CHASSE / LES LILAS
Séance à 20h du film Les Sentiments.

Vendredi 25 novembre
CINÉMA JACQUES PRÉVERT / AULNAY-SOUS-BOIS
Séance à 20h du film Se souvenir des belles choses.



Cinémas 93
Délégué général : Frédéric Borgia
Relations publiques : Amandine Larue
01 48 10 21 21
www.cinemas93.org

CONTACTER LE SERVICE DE PRESSE

Rencontres_93_2011
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Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis 15>25 nov 2012

Cinémas 93 présente les
23e Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis
15 > 25 novembre 2012
 
En présence de Sandrine Bonnaire, Eric Judor, Michel Bouquet, Yves Boisset, Christophe, Joël Séria,
Jean-Pierre Marielle, Philippe Condroyer, Didier Sauvegrain, Pierre Lhomme, Stephan Zaubitzer,
Axel Brucker, Hubert Viel…

TELECHARGER LE PROGRAMME

Depuis plus de vingt ans, les Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis proposent aux 21 salles de cinéma publiques du département de se rassembler pendant 10 jours de festival.
Cette décade de rendez-vous spécifiques avec des personnalités du cinéma se décline autour de l’idée de parcours et de véritables « moments de rencontres » — circulation, à travers tout un département , des œuvres et des personnes (artistes et spectateurs) permise par un réseau de salles unique en France, fédéré par l’association Cinémas 93.
Parmi les invités des Rencontres, cette année : Eric Judor, réalisateur et acteur, popularisé par son duo avec Ramzy Bédia ;
Sandrine Bonnaire, dont le deuxième film derrière la caméra — J’enrage de son absence — sortira le 31 octobre ;
Yves Boisset, cinéaste engagé (R.A.S., Dupont Lajoie, Allons z’enfants…), auteur d’une biographie intitulée “La vie est un choix” (2011).
“Cinéaste marginal, à la verve rabelaisienne, il fait son œuvre tranquillement, à contre-courant…” : c’est ainsi que Jean-Pierre Marielle présente Joël Séria (Mais ne nous délivrez pas du mal, Charlie et ses deux nénettes, Les Galettes de Pont-Aven…), à qui un hommage sera également rendu. Jean-Pierre Marielle sera là.

Cinémathèque idéale : une carte blanche a été proposée au chanteur Christophe, qui a récemment fêté ses 50 ans de carrière, et dont la cinéphilie est notoire…

Trésors cachés : chaque année, les Rencontres s’attachent à faire (re)découvrir un cinéaste, un film, un comédien perdus de vue.
C’est ainsi que Michel Bouquet viendra en Seine-Saint-Denis avec L’Humeur vagabonde, d’Edouard Luntz, film de 1971 dans lequel il interprète pas moins de 20 rôles,
et que Philippe Condroyer accompagnera son film La coupe à dix francs, invisible depuis 1975 : une grande redécouverte, en présence de l’acteur principal du film : Didier Sauvegrain.
Et, en hommage à Chris Marker, l’éminent directeur de la photographie Pierre Lhomme présentera Le joli mai (1962), qu’il a co-signé.
 
Au programme également :
- des soirées spéciales Bandes Annonces avec Axel Brucker, ancien propriétaire du cinéma Le Mac-Mahon, fondateur du Trailers Museum et possédant près de 30.000 bandes annonces ;
- un spectacle autour de A Dangerous Method (David Cronenberg, 2011) ;
- une exposition Stephan Zaubitzer (photos des salles de cinéma du 93 et d’ailleurs, mais aussi films courts reprenant son travail photographique) ;
- une programmation riche et ludique à destination du jeune public (atelier, ciné concerts, ciné contes…) ;
- la découverte de Hubert Viel, jeune réalisateur aidé par l’Aide au Film Court, dispositif d’aide à la création du Département de la Seine-Saint-Denis…
 
Enfin, une journée d’étude — “Le spectateur à l’ère du numérique” — prendra place au cœur des Rencontres, le mardi 20 novembre.
 
Cinémas 93
Délégué général : Frédéric Borgia
01 48 10 21 21
www.cinemas93.org
 
• Presse : Jean-Bernard Emery
01 55 79 03 43
06 03 45 41 84
CONTACTER LE SERVICE DE PRESSE

Les 21 salles
 :
Le Studio / Aubervilliers
Cinéma Jacques-Prévert / Aulnay-sous-Bois
Le Cin’Hoche / Bagnolet
Cinéma Louis-Daquin / Le Blanc-Mesnil 
Magic Cinéma / Bobigny
Cinéma André-Malraux / Bondy
Centre André-Malraux / Le Bourget
L’Etoile / La Courneuve
Salle Henri-Salvador / Dugny
Théâtre du Garde-Chasse / Les Lilas
Cinéma Yves-Montand / Livry-Gargan
Le Méliès / Montreuil
La Fauvette / Neuilly-Plaisance
Le Bijou / Noisy-le-Grand
Ciné 104 / Pantin
Espace des Arts / Les Pavillons-sous-Bois 
Le Trianon / Romainville
Espace Georges-Simenon / Rosny-sous-Bois
L’Ecran / Saint-Denis
Espace 1789 / Saint-Ouen
Cinéma Jacques Tati / Tremblay-en-France
 
Tarif unique : 4 euros

Rencontres_Cine_93
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ACID : reprise en Ile-de-France du programme Cannes 2007

L’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion) est une association de cinéastes, fondée par des cinéastes, qui promeut depuis quinze ans la diversité de la création cinématographique et œuvre à la rencontre entre les films, leurs auteurs et le public.
La force du travail de l’ACID est avant tout cette idée fondatrice unique : le soutien par des cinéastes de films d’autres cinéastes, français ou étrangers.

L’ACID, la Région IDF et la CCAS ont à cœur, tout au long de l’année, de promouvoir la diversité de l’offre cinématographique en Ile-de-France et de favoriser la rencontre entre les créateurs et les publics autour d’une cinématographie indépendante.

Une des actions fortes des cinéastes de l’ACID est la programmation à Cannes, pendant le Festival International du Film, de 9 films majoritairement sans distributeur.
Cette action permet à l’ACID d’être pleinement dans sa mission, à savoir favoriser la diversité, permettre la découverte de talents et leur arrivée dans les salles. Ainsi de nombreux réalisateurs aujourd’hui reconnus ont été programmés par l’ACID à Cannes. Citons entre autres Arnaud et Jean Marie Larrieu, Avi Mograbi, Robert Guédiguian, Gérard Mordillat, Jean Pierre Thorn, Nicolas Philibert, Yolande Moreau, Gilles Porte, Serge Bozon, Vincent Dieutre, Lucas Belvaux, Claire Simon, Alain Gomis, etc.

En 2007, et grâce au soutien de la région Ile-de-France et la CCAS, l’ACID a souhaité que les salles et le public de toute l’Ile-de-France puissent bénéficier de cette programmation d’œuvres inédites et majoritairement non distribuées. Les films de la programmation cannoise 2007 de l’ACID seront donc présentés dans 13 salles de périphérie du 14 septembre au 10 octobre 2007 et à Paris au Cinéma des Cinéastes les 29 et 30 septembre 2007. Neuf films, fictions et documentaires, autant de regards, autant de découvertes, et plus de 2O réalisateurs dans les salles pour accompagner chaque projection d’un dialogue entre cinéastes et public.

Nous vous invitons à venir découvrir les choix et les coups de cœur des cinéastes, et à venir échanger avec eux sur vos expériences de cinéma…

Les films :

DES TROUS DANS LA TETE !
de Guy Maddin
Fiction - Canada/USA – 97 mn – 2006

PRISONNIERS DE BECKETT
de Michka Saäl
Documentaire – France/Canada- 85 mn – 2006

REVES DE POUSSIERE
de Laurent Salgues
Fiction – France/Canada/Burkina Faso – 86mn - 2006

L’HOMME QUI MARCHE
de Aurélia Georges
Fiction – France - 82 mn - 2007

LA PART ANIMALE
de Sébastien Jaudeau
Fiction – France – 87 mn - 2006

LES BALLETS DE CI DE LA
de Alain Platel
Documentaire - France / Belgique - 110 mn – 2006

COMBALIMON
de Raphaël Mathié
Documentaire – France – 85mn- 2007

SO LONG MY HEART !
de Stefan Hillebrand et Oliver Paulus
Fiction - Suisse / Allemagne - 90mn -2006

SUR MA LIGNE
de Rachid Djaïdani
Documentaire - France - 55mn - 2006

Contact : ACID 14 rue Alexandre Parodi 75010 Paris 01 44 89 99 74 / 01 44 89 99 60
acid@lacid.org  / www.lacid.org


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Action ! (festival du cinéma engagé) du 4 au 9 octobre 2011 au Blanc-Mesnil

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La deuxième édition d’ ACTION !  — Festival du Film Engagé — aura lieu du 4 au 9 octobre 2011 au cinéma municipal Louis-Daquin au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis).
Elle sera consacrée à l’institution judiciaire, actuellement au centre de nombreux débats et dont le cinéma s’est maintes fois emparé, des grands films de procès américains aux  documentaires  de Raymond Depardon, en passant par les nombreuses fictions autour de «cas» judiciaires célèbres.

Autour de la sélection d’une quinzaine de films mêlant documentaires et fictions, avant-premières et films de répertoire, le public du Louis-Daquin sera invité à rencontrer et à échanger avec de nombreux invités : réalisateurs, comédiens, mais aussi avocats, conseillers prudhomaux ou membres d’associations telles la Ligue des Droits de l’Homme ou Amnesty International.

Seront ainsi proposés en avant-première, et en présence de leurs réalisateurs,  les documentaires Zones d’ombre, de Mika Gianotti, qui fait entrer le spectateur au cœur d’une cour d’assises et des tourments d’un juge, et Honk !, de Arnaud Gaillard et Florent Vassault, qui ont recueilli aux Etats-Unis les poignants témoignages de condamnés à mort et de leurs proches.

Au rayon des classiques, on reverra, entre autres, Le Verdict, de Sidney Lumet, La Machine, de Paul Vecchiali, Section spéciale, de Costa Gavras, Jugé coupable, de Clint Eastwood…

Et parmi les films plus récents : Cleveland contre Wallstreet, de Jean-Stéphane Bron, La Révélation, de Hans-Christian Schmid, Ne me libérez pas, je m’en charge, de Fabienne Godet, ou encore Capturing the Friedmans, de Andrew Jarecki.

Le jeune public n’est pas oublié, avec Du silence et des ombres, de Robert Mulligan, et Bugsy Malone, d’Alan Parker, qui permettront aux plus petits d’approcher les enjeux liés à l’institution judiciaire mais aussi, plus généralement, en lien avec la représentation cinématographique.

Le festival ACTION ! est aussi un moment de convivialité pour le public du Blanc-Mesnil, avec un service de petite restauration proposée sur place, une solution de transport pour les personnes qui ne peuvent accéder facilement au cinéma, ainsi que des tarifs spécialement attractifs pendant la période du festival.

Agenda


Mardi 4 octobre

18h30 
12 hommes en colère (VO)
de Sidney Lumet, avec Henry Fonda, Lee J. Cobb, Martin Balsam…
Film américain. Drame. 1h35. 1957.

21h
Zones d’ombre de Mika Gianotti, avec Dominique Schaffauser (avant-première).
Film français. Documentaire. 1h27. 2011.
En présence de Mika Gianotti


Mercredi 5 octobre

14h30
Du silence et des ombres (VO)
de Robert Mulligan, avec Gregory Peck, Mary Badham, Phillip Alford…
Film américain. Drame. 2h09. 1963.
Séance à destination du jeune public animée par Claudine Lepallec-Marrand

16h
Bugsy Malone (VF)
de Alan Parker, avec Scott Baio, Jodie Foster, John Cassisi…
Film américain. Comédie. 1h33. 1976.
Séance à destination du jeune public

18h30
Jugé coupable (VO)
de Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Diane Venora, Bernard Hill…
Film américain. Policier. 20h06. 1999.

21h
Ne me libérez pas, je m’en charge
de Fabienne Godet.
Film français. Documentaire. 1h47. 2009.
En présence de Fabienne Godet


Jeudi 6 octobre

19h
10e chambre, instants d’audience
de Raymond Depardon et Claudine Nougaret.
Film français. Documentaire. 1h45. 2004.
Suivi d’une rencontre avec Maître Sapho Porcheron, avocate

21h
Présumé coupable
de Vincent Garenq, avec Philippe Torreton, Wladimir Yordanoff, Noémie Lvovsky…
Film français. Drame. 1h42. 2011.
En présence de Vincent Garenq et de Jean-Pierre Dubois, de la Ligue des Droits de l’Homme

Vendredi 7 octobre

19h
Prud’hommes
de Stéphane Goël.
Film français. Documentaire. 1h25. 2011.
En présence de conseillers des Prud’hommes, du collège salarié et du collège employeur

21h
La révélation (VO)
de Hans-Christian Schmid, avec Kerry Fox, Anamaria Marinca, Stephen Dillane…
Film allemand. Drame. 1h43. 2009.
En présence de Maître Frédéric Weyl et de Amnesty International

Samedi 8 octobre

14h
Capturing the Friedmans (VO)
de Andrew Jarecki.
Film américain. Documentaire. 1h47. 2004.

16h
Le verdict (VO)
de Sidney Lumet, avec Paul Newman, James Mason…
Film américain. Drame. 2h. 1982.

18h30
Un coupable idéal (VO)
de Jean-Xavier de Lestrade.
Film français. Documentaire. 1h51.
En présence de Jean-Xavier de Lestrade

21h
Section spéciale
de Costa Gavras, avec Louis Seigner, Michael Lonsdale, Claude Pieplu et … Louis Daquin.
Film français. Drame. 2h. 1974.
En présence (sous-réserve) de Costa Gavras et de Maître Roland Weyl

Dimanche 9 octobre


10h30 ciné p’tit déj
Du silence et des ombres (VO)
de Robert Mulligan, avec Gregory Peck, Mary Badham, Phillip Alford…
Film américain. Drame. 2h09. 1963.
Séance à destination du jeune public animée par Claudine Lepallec-Marrand

10h30 ciné p’tit déj
Bugsy Malone (VF)
de Alan Parker, avec Scott Baio, Jodie Foster, John Cassisi…
Film américain. Comédie. 1h33. 1976.
Séance à destination du jeune public

14h30
Cleveland contre Wallstreet (VO)  
de Jean-Stéphane Bron.
Film franco-suisse. Fiction. 1h38. 2010.
En présence (sous-réserve) de Jean-Stéphane Bron

16h30
La machine
de Paul Vecchiali, avec Jean-Christophe Bouvet, Sonia Saviange, Monique Mélinand…
Film français. Drame. 1h20. 1977.
En présence de Jean-Christophe Bouvet, acteur et co-scénariste du film.

18h30
Honk ! (VO) (avant-première)
de Arnaud Gaillard et Florent Vassault.
Film français. Documentaire. 0h62. 2011.
En presence de Florent Vassault

Cinéma municipal Louis-Daquin
76 rue Victor-Hugo
93150 Le Blanc-Mesnil
tel  01 48 65 52 35
www.cinemalouisdaquin.fr

Directeur :
Corentin Bichet

Directrice adjointe :
Marilyn Lours

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Clermont-Ferrand 2012 - 34e Festival International du Court Métrage

Le 34e Festival international du Court Métrage se déroulera à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme, France), du 27 janvier au 4 février 2012.
Ce festival est ouvert à tous. En 2011, il a accueilli 148 900 spectateurs et 3 000 professionnels venus du monde entier.
Outre les trois compétitions, très attendues (internationale, Labo et française), on découvrira cette année à Clermont, et pour la première fois en Europe, un vaste panorama du jeune (et court) cinéma cubain des années 2000.
L’Allemagne sera également à l’honneur, avec un retour sur le Manifeste d’Oberhausen, dont on fêtera les 50 ans, et les courts métrages d’Alexander Kluge.
50 ans, c’est également l’âge de l’INSAS : la célèbre école de cinéma belge, d’où sont issus, entre autres, Jaco Van Dormael, Michel Khleifi, Chantal Akerman ou Charles Berling, sera pour l’occasion à l’honneur avec deux programmes spéciaux.
Et, parmi bien d’autres programmes, on redécouvrira les films de deux cinéastes canadiens hors normes : Theodore Ushev (en sa présence) et Arthur Lipsett.
Parallèlement au Festival, Clermont-Ferrand accueille aussi un Marché du Film Court, unique en son genre : en 2011, il a réuni 31 pays exposants, 195 organismes dont 120 exposants, 381 producteurs et 
472 représentants de festivals français et internationaux.
[English version below]

DOSSIER DE PRESSE

LE CATALOGUE

TOUS LES PROGRAMMES

SELECTIONS ET DERNIERES NOUVELLES


demande d’accréditation
La demande d’accréditation est réservée aux professionnels et pourra être payante (35 €), en fonction des demandes.
L’accréditation permet un accès aux séances du festival et à l’espace stand du marché du film.


C O M P E T I T I O N


24e Compétition Internationale
La compétition internationale est un moment rare, un instant magique où tous les horizons se croisent. Chefs-d’œuvre de l’animation, documentaires, comédies, réalités contemporaines, films de genre, travaux de fin d’études des meilleures écoles du monde vous entraînent vers des univers dont seule la jeune création cinématographique a le secret. Laissez-vous aller, dépaysement assuré.
[Les films sont sous-titrés en français et traduits simultanément en anglais par casque.]

11e Compétition Labo
La compétition Labo a trouvé ses amateurs. On s’y bouscule pour découvrir des œuvres détonnantes, littéralement hors du ton. Croisements inattendus, regards originaux, art consommé du risque, le Labo clermontois ouvre ses portes aux plus curieux d’entre vous. Venez vite vous exciter et vous enivrer d’expériences que nos cinéastes fous d’images et de sons nous ont concoctées.
[Les films sont sous-titrés en français.]

34e Compétition Nationale
  
Ce qu’il y a d’époustouflant dans la production française, c’est son côté prolifique : plus de 1400 films inscrits cette année.
Ce qu’il y a d’épatant dans le court métrage français, c’est la qualité de travail de production résolument professionnelle, l’éclat des films d’école et la spontanéité des électrons libres qui donnent à chaque millésime sa coloration originale. Le lieu de dégustation, c’est ici, à Clermont.
[Tous les films sont traduits simultanément en anglais par casque.]


P A N O R A M A S


Hoy Cuba
Depuis le début des années 2000, de jeunes réalisateurs et réalisatrices cubains ont choisi le court métrage comme mode d’expression pour porter un regard personnel, pertinent, facétieux ou décalé sur l’univers qui est le leur et sur leur époque. Certains rendent compte de leur insularité, marquée par un “bloqueo” qui aura 50 ans tout ronds en février 2012, d’autres désirent raconter des histoires à caractère universel, puiser dans les dernières technologies, et profiter d’Internet comme plateforme. Tous travaillent avec des moyens limités, mais développent leur créativité et leur vision. « Hoy Cuba » constituera la première présentation importante de ces films en Europe. Les festivaliers y partageront un regard multiple et actuel, offert par une jeune génération qui élabore ses propres repères entre un héritage historique singulier et ses questionnements sur le futur de la société cubaine et les perspectives du cinéma national.
Une quarantaine de films au total, répartis en 6 programmes de 95 minutes environ, dont 2 programmes offriront une fenêtre à la fameuse école internationale de San Antonio de los Baños (EICTV) pour présenter le travail de jeunes diplômés cubains et de réalisateurs étrangers tournant à Cuba (La Mirada del Otro).

Mouches et autres bestioles
Le cinéma fourmille de petites bestioles. Le court métrage a apprivoisé toutes ces petites bêtes de diverses façons : comédies, tragédies, chorégraphies, science-fiction, fantastique. Si la mouche est la star incontestée de ce casting animalier, l’araignée, le papillon, la fourmi et l’abeille savent aussi voler de leurs propres ailes ou tirer leurs dards du jeu. Cette rétrospective sera donc pleine de films fourmidables et d’essaims animés.


A U T R E S   P R O G R A M M E S

Courts de rattrapage
Le cinéma allemand à l’affiche avec le manifeste d’Oberhausen et Alexander Kluge.

Carte blanche à Kazak Productions 
Films choisis par le producteur lauréat du Prix Procirep 2011.

INSAS
 
Deux programmes de l’Institut national supérieur des arts du spectacle de Bruxelles (Belgique).

Theodore Ushev
Un programme dédié au travail d’animation de cet artiste canado-bulgare.

Minuit rouge
Une séance spéciale à minuit avec de la science-fiction qui décoiffe !

Regards d’Afrique
Courts métrages africains francophones récents. 

Court d’histoire
Regards sur le mouvement ouvrier (projection + conférence).

Films en région 
Courts métrages tournés et aidés en régions.

Décibels
Découvertes de créations musicales éclectiques et surprenantes.

Scolaires
Des études de scénarios, un programme de courts et des rencontres avec les réalisateurs.

Ecoles, enfants
Plusieurs programmes spéciaux pour les enfants.


27E  M A R C H É   D U   F I L M   C O U R T

Le Marché du Film Court de Clermont-Ferrand est un espace réservé aux professionnels. C’est le lieu d’échange privilégié des représentants de tous les secteurs du court métrage mondial. Il se déroulera du 28 janvier au 3 février 2012 dans le gymnase Jean-et-Honoré-Fleury situé à 20 mètres de la Maison de la Culture.

La vidéothèque Marché
L’intégralité des films inscrits au Marché consultable sur 39 terminaux grâce au serveur vidéo de Clermont-Ferrand. 

Le catalogue Marché 
6500 films, tous les contacts : c’est la bible annuelle du court métrage. Trois versions du catalogue : Internet, interactive et papier.

L’espace exposants
Mille mètres carrés d’exposition où des dizaines d’organismes mettent en valeur leurs activités. 

Les programmes Marché 
Vitrine idéale pour présenter vos toutes dernières productions ou acquisitions (film ou vidéo). 

Terminal vidéo
Disposez directement sur votre stand d’un terminal relié au serveur vidéo qui alimente la vidéothèque du Marché.

Un guide des professionnels présents
La liste des quelque 3000 participants, avec leur hôtel, leurs dates de séjour et leur numéro de casier pour les contacter sur place.

Un plateau MEDIA Rendez-Vous
Au cœur du Marché, pendant toute sa durée, un secrétariat vous assiste gratuitement dans la prise de vos rendez-vous.

Des rencontres professionnelles
Présentations publiques de professionnels très demandés : Canal +, TVE (Espagne), RTS (Suisse), Cinefil Imagica (Japon), YLE (Finlande), Turner International (Argentine).


Euro Connection 2012
Une vingtaine de projets de coproduction de courts métrages dont les enjeux de création et de diffusion se jouent à l’échelle de l’Union Européenne réunissent producteurs, diffuseurs et financeurs.

Marché 2011
31 pays exposants 
195 organismes dont 120 exposants 
381 producteurs 
472 représentants de festivals français et internationaux 


L’ A T E L I E R
Une véritable école éphémère de cinéma, ouverte au public au cœur de Clermont-Ferrand, le temps d’un festival…


L E S   S A L L E S
Le festival offre une capacité de 4933 fauteuils répartis en treize salles dont cinq se situent sur le boulevard François-Mitterrand

Maison de la Culture
. Salle Jean Cocteau - 1377places + 31 PMR
. Salle Boris Vian - 324 places

Faculté des Lettres et Sciences Humaines
. Amphi Gergovia - 690 places

Cinéma Jaude
. Salle 1 - 384 places

Centre Jaude
Faculté de Droit et Science Politique
. Amphi Michel-de-L’Hospital - 380 places

Groupe ESC Clermont
. Auditorium  Genova - 370 places
4, boulevard Trudaine

Petit Vélo
10, rue Fontgiève - 320 places

Cinéma Capitole
. Salle 1 - 240 places
32, place de Jaude

Cité Universitaire Dolet
. Salle des Frères Lumière - 205 places
25, rue Etienne-Dolet

Corum Saint-Jean
. Comedia - 186 places
17, rue Gaultier-de-Biauzat

Cinéma Le Rio
. 176 places
178, rue Sous-les-Vignes

Espace Georges Conchon
. Salle multimédia - 160 places

Cinéma Les Ambiances
. Salle 1 - 90 places
7, rue Saint-Dominique


C E   Q U ’ I L   F A U T   S A V O I R

Début du festival :
Vendredi 27 janvier 2012 à 20 heures pour la première séance d’ouverture.

Début du marché  :
Samedi 28 janvier à 9 heures pour la vidéothèque.
Lundi 30 janvier à 9 heures pour les exposants. 


A B O N N E M E N T S
Deux types d’abonnements sont proposés. Dans un cas comme dans l’autre, vous pouvez acheter votre abonnement à plusieurs car il n’est pas nominatif. Vous pouvez vous partager les billets comme bon vous semble.

1.L’abonnement à 32€ (soit 2,13€ la place) comprenant
. 15 billets 
. la possibilité d’une place à la soirée de clôture
. la possibilité de voter pour le prix du public

2.L’abonnement à 58€ (soit 1,93€ la place) comprenant
. 30 billets 
. 1 catalogue officiel
. la possibilité d’une place à la soirée de clôture
. la possibilité de voter pour le prix du public


P O U R   T O U T   R E N S E I G N E M E N T

Festival du Court Métrage
La Jetée
6, place Michel-de-L’Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
France

Tél : +33 (0)4 73 91 65 73
Fax : + 33 (0)4 73 92 11 93
info@clermont-filmfest.com
www.clermont-filmfest.com

CONTACTER LE SERVICE DE PRESSE


34TH  C L E R M O N T - F E R R A N D  S H O R T  F I L M  
F E S T I V A L


Accreditation Form
[Requesting an accreditation is reserved to professionals and gives access to festival screenings and to the Short Film Market area.]


C O M P E T I T I O N


24th International Competition
The International Competition is a rare moment, full of magic, where films from a wide spectrum intersect. Animated gems, documentaries, brilliant comedies, down-to-earth fictions, genre films or graduation shorts from some of the finest film schools out there will undoubtedly take you on a unique journey into young film creation. Just relax and enjoy the thrill.
[A simultaneous English translation of films by headphones and French subtitles will be provided.]


11th Lab Competition
The Lab competition has built a solid reputation with fans who rush in to experience jarring films. Electrifying combinations, arresting viewpoints, accomplished risk-taking; Clermont-Ferrand’s Lab is the right prescription for visual addicts. Come get your fix, brought to you by artists dangerously in love with images and sounds.
[French subtitles will be provided.]


34th French Competition
  
What’s so astounding about French production is how prolific it is: more than 1,400 films registered this year. What’s astonishing about French short films is the rigorous professionality of their production, the brilliance of film-school work, and the spontaneity of the free electrons that give each vintage its own particular coloration. And Clermont is of course where this tasting takes place.
[A simultaneous English translation of films will be provided by headphones.]


P A N O R A M A 


Hoy Cuba
Over the last ten years, young Cuban filmmakers have made and used short films to express themselves, capturing the place and times they live in with a personal, insightful, mischievous or offbeat approach. Some want to report on insularity as they see it, while the “bloqueo” will have lasted for 50 years in February 2012; others aspire to tell stories with a universal appeal, play with the latest technologies, and use the Internet as a platform. All are working with limited means, yet developing their creative vision. “Hoy Cuba” will be the first major showcase for these films in Europe. The audience will be able to share the multiple, contemporary perceptions offered by a young generation who is attempting to find a way of its own between a specific historical legacy and questions about the future of Cuban society and the prospects of national cinema. 40 short films will be shown.


Flies and other bugs
The movies are crawling with bugs. And short films have classified these little critters in all sorts of ways: comedies, tragedies, choreographed sequences, science-fiction, the supernatural. Flies are the undisputed stars of this bestial billing, but spiders, butterflies, ants and bees have also been known to give the occasional high-flying turn or stinging performance. So it’s only natural that this retrospective is swarming with highly anticipated films.


O T H E R S   D E L I G H T S


Retakes
Two programmes dedicated to the Oberhausen Manifesto and Alexander Kluge.


A Free hand given to Kazak Productions
Two programmes of short films chosen by the 2011 Procirep prize-winning producer.


INSAS

Two programmes from this Belgian school based in Brussels. 


Theodore Ushev

A programme dedicated to this Bulgarian-Canadian animation filmmaker.


Red Midnight
A special midnight screening with unbelievable science-fiction short films.


African Perspectives
French-speaking African short films.


History in Short
A look at short films about the labour movement (films + conference)


French Regions Showcase
A selection of short films shot and financed in the French regions.


Music Videos
A selection of wide-ranging, first class music videos.


A programme for schools
Script readings and meetings with directors complement this programme designed for pupils and teachers.


Kids
Various programmes are proposed for the delight of children.


27TH  S H O R T   F I L M   M A R K E T

The Clermont-Ferrand Short Film Market is a space devoted to professionals. It is the favoured place of exchange between delegates from all branches of short film production worldwide. The market will take place from January 28 to February 3, 2012 in a gymnasium 20 meters far from the Maison de la Culture.


Video Library

All the films entered at the Market are available for viewing on 39 video terminals thanks to the Clermont-Ferrand’s video server. 


Market Catalogue 
Find the 6,500 films and all their contacts in what is considered the yearly bible of short film production. Three versions are available: the online version, the interactive version and the hardback one.



Exhibition Hall

International promotion bodies keenly share 1,000 sqm of exhibition space where they promote their business.


Market Screenings

Offer outstanding exposure to your latest productions or purchases (film and video). 


Video Terminal

Enjoy directly on your booth the new facilities offered by the video server to which the Market video library is connected. 


Professional Directory

A must-have brochure where some 3,000 attending delegates are listed, with their hotel, travel dates and pigeon-hole contact number.

MEDIA Rendez-Vous Area
On location throughout the entire duration of the Market, specific secretarial services supply free assistance in arranging your business appointments.


Professional Meetings

MEDIA forums with industry delegates who are very much in demand: Canal+ (France), TVE (Spain), RTS (Switzerland), Cinefil Imagica (Japan), YLE (Finland), Turner International (Argentina)…


Euro Connection 2012

Some twenty short film coproduction projects looking to be developed and distributed on a European scale will bring together producers, broadcasters, and funders from EU countries.


Market 2011

31 countries represented with a stand
195 film organisations, including 120 exhibitors
381 producers
472 French and international festival delegates


T H E   T H E A T R E S

The Festival has 4933 seats spread out over thirteen theatres, five of which are located on Boulevard François-Mitterrand.


E S S E N T I A L   I N F O 

Start of the festival :
Friday, January 27 at 8 p.m. for the first inaugural screening

Start of the market :
Saturday 28 January at 9.00 am for the video library.
Monday 30 January at 9.00 am for the booths.


F O R   F U T H E R   I N F O R M A T I O N

Festival du Court Métrage
La Jetée
6, place Michel-de-L’Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
France

Tél : +33 (0)4 73 91 65 73
Fax : + 33 (0)4 73 92 11 93

info@clermont-filmfest.com
www.clermont-filmfest.com

CONTACTING THE PRESS OFFICE


Clermont-Ferrand_2012_Poster
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L'ACID à Cannes du 14 au 22 mai 2009

[1994 - 2009]
15 ANS D’ACID À CANNES

14 > 22 mai 2009

Tous les jours sur Rue 89

Fidèles à leur engagement pour un cinéma indépendant et singulier, les cinéastes de l’ACID, mobilisés avec passion pour Cannes 2009, se félicitent de la diversité et de la vitalité d’un cinéma des chemins de traverse qui leur ont permis de construire une programmation forte, symptomatique de leur vocation de découvreurs avec 5 premiers longs métrages sur les 9 proposés.

Hors les conventions tant narratives que formelles et en dépit des censures économiques afférentes à l’industrie du cinéma (4 films sont autoproduits), les œuvres proposées sont une réponse en images à notre défense d’un cinéma libre, qui invente ses propres codes et sait rendre compte de l’âpreté des conditions humaines et du tremblement des frontières, tout en irradiant d’une luminosité têtue la résistance des femmes et des hommes à l’éradication de leurs rêves et de leur imaginaire.

C’est avec l’envie de partager nos coups de cœur que nous vous donnons rendez-vous pour cette cuvée 2009.

L’ACID
Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion

Sous les palmiers, l’ACID…

TELECHARGER LE CATALOGUE ACID-CANNES 2009

Voici la liste des films qui seront proposés cette année à Cannes, du 14 au 22 mai, par les réalisateurs réunis au sein de l’ACID.
Les notules sont extraites des textes de soutien écrits par des membres de l’association.
Retrouvez l’intégralité de ces textes, ainsi qu’une présentation plus complète des films et de leurs réalisateurs en téléchargeant le dossier de presse ACID-CANNES 2009.
En ouverture, le 14 mai, sera projeté un entretien avec Pierre Etaix, filmé par Gilles Porte (“Quand la mer monte”), co-président de l’ACID.
Pierre Etaix a signé l’affiche 2009 de l’ACID à Cannes.
                                                   
                                                                 Longs métrages

JEUDI 14 MAI
Land of Scarecrows

(Gyeong-tae Roh  -  Corée du Sud, France  -  2008  -  90’ -  fiction)
• interprétation : Sunyoung Kim, Phuong Thi Bich, Duwon Jung, Misun Lee, An Jin Shin
• production : Néon Productions (Marseille)
• synopsis : Le destin de Jiyoung Jang, lesbienne travestie; de Loi Tan, garçon philippin adopté ; et de Rain, venue en Corée pour se marier. Un poème visuel et sentimental sur les difficultés de vivre sur une terre polluée.
[Métaphore hypnotique introduite par la beauté blanche et énigmatique d’une danse propitiatoire exhumée des temps anciens, “Land of  Scarecrows” est une méditation à la poésie décalée qui dessine avec une grande force visuelle le paysage futuriste et désespéré d’une industrialisation criminelle.]

VENDREDI 15 MAI
La vie intermédiaire
(François Zabaleta   -  France  -  2008  - vidéo  -  114’  -  essai)
• interprétation : Carole Lesguillon, François Zabaleta
• production : François Zabaleta (Gien)
• synopsis : L’histoire d’une rencontre qui n’aurait jamais dû avoir lieu, entre une employée de maison et un photographe homosexuel de vingt ans son cadet. Leur histoire, dans une ville no man’s land du centre de la France, dure tout un été, quelques années avant l’an 2000. Chaque nuit, ils arpentent les rues de cette ville…
[Quelle puissance poétique dans ce film, en regard de sa simplicité formelle ! Visuellement il tient de la photo de famille, du roman-photo, de l’inventaire à la Eugène Atget. Lieux désertés d’une ville de province, de région plutôt, acteurs posant dans des gares, sur des parkings de supermarchés, devant une centrale nucléaire, archives noir et blanc, plans fixes d’aubes brumeuses, route qui défile et , non pas dessus, mais dedans, avec, une voix off qui dit des choses profondes, rugueuses, quotidiennes, sexuelles, dures, belles sans être ‘poéteuses’.]
Article de Christophe Kantcheff - Politis
Tadah Blog

SAMEDI 16 MAI
Avant-poste
(Emmanuel Parraud   -  France  -  2008  -  86’ -  fiction)
• interprétation : Airy Routier, Mohamed Bouaoune, Nathalie Kousnetzoff
• production : Red Star (Paris)
• synopsis : Animateur dans un centre social, Paul aimerait pouvoir encore aider les autres. Fifi voudrait devenir puéricultrice et partir s’installer en Algérie.
[“Avant-Poste”, c’est la rencontre de deux personnes qui ne se comprennent plus, la défaite des années 80, des espérances de tolérance et d’égalité.
L’œuvre d’Emmanuel Parraud est à l’image de son personnage principal, discret et sensible aux événements qui ponctuent un itinéraire à peine maîtrisé. La composition avoue elle-même ne pas vouloir finir. Car finir, c’est aussi effacer les traces d’un travail et d’une pensée. La beauté du film tient à cette vérité et à cette innocence.]

DIMANCHE 17 MAI
Perpetuum Mobile

(Nicolás Pereda  -  Mexique, Canada  -  2009  -  88’ -  fiction)
• interprétation : Gabino Rodriguez, Teresa Sánchez, Francisco Barreiro
• production : En Chinga Films (México)
• synopsis : Gabino vit avec sa mère ; la cohabitation est parfois difficile… A bord de son camion de déménageur, il sillonne la ville de Mexico et croise les histoires de ses habitants, tour à tour étranges, cocasses ou sentimentales…
[Le cinéaste mexicain Nicolás Pereda signe un film d’une rare profondeur.(…) Paradoxalement, ce mouvement perpétuel nous parle aussi du drame lancinant qui gagne toute chose vouée à disparaître. Mais cette mort n’est pas triste. Au contraire, elle souligne ce qui existe. Elle rend chaque instant unique et précieux.]
Article de Christophe Kantcheff - Politis

LUNDI 18 MAI
Themis
(Marco Gastine  -  Grèce  -  2008  -  85’  -  documentaire)
• production : Minimal Films (Grèce)
• synopsis : Un Grec sur dix se rend, au moins une fois par an, au tribunal pour une affaire le concernant. La salle d’audience est une miniature de la société, le petit théâtre où se jouent et se dénouent les conflits de tous les jours. C’est la première fois qu’une caméra pénètre dans la Cour de Première Instance d’Athènes.
[Cet homme à la caméra nous donne à voir et à entendre, dans ce huis clos, une radiographie de ce qu’est aujourd’hui, en Grèce, une justice expéditive dans laquelle se débattent plaignants et coupables présumés. D’une certaine manière, “Themis” est un petit précis de décomposition. Et nous nous demandons alors si ce mouvement est irréversible. S’agit-il de la justice qui nous attend tous ?]
Lire l’article de Michaël Mélinard dans L’Humanité


MARDI 19 MAI
La fille la plus heureuse du monde
(Radu Jude  -  Roumanie, Pays-Bas  -  2009  -  100’ -  fiction)
• interprétation : Andreea Bosneag, Violeta Popa, Vasile Muraru
• production : HI Film Producers (Bucarest) - Circe Films (Amsterdam)
• synopsis : Delia, 18 ans, a gagné une belle voiture. Elle se rend avec ses parents à Bucarest pour tourner le petit film publicitaire devant authentifier son gain. Pendant le tournage, Delia et ses parents ont de longues discussions : elle veut garder la voiture, ils veulent la vendre…
[Comédie sociale qui pointe les travers d’une société en mutation, chaque scène nous fait sourire par petites touches incisives qui mettent à nu les conflits générationnels et historiques, entre ceux qui ont connu le communisme et ceux qui veulent vivre les images de cette nouvelle société de consommation.]
Lire l’article de Jacques Mandelbaum - Le Monde
Lire l’article de Michaël Mélinard dans L’Humanité

MERCREDI 20 MAI
Thomas
(Miika Soini  -  Finlande  -  2008  -  73’  -  fiction)
• interprétation : Lasse Pöysti, Pentti Siimes, Eila Halonen, Marja-Leena Kouki, Aarre Karen, Tuomo Mutru
• production : Silva Mysterium Ltd (Finlande)
• synopsis : Thomas est un vieux monsieur qui mène une vie paisible et solitaire. Et si cette tranquillité n’était qu’une apparence ? Au détour d’une drôle de rencontre dans un jardin public, il va devoir affronter son passé.
[Si l’influence du grand maître finlandais Aki Kaurismaki saute aux yeux, c’est pour le meilleur, car elle nous ouvre la porte d’une maison que nous connaissons bien et que nous aimons, et ne saurait se résumer à une allégeance stylistique. Un premier film mais du grand cinéma, profond, subtil, et parfaitement modeste, assez apte en fait à nous rendre meilleurs.]
Lire l’article de Michaël Mélinard dans L’Humanité

JEUDI 21 MAI
Sombras (Les ombres)
(Oriol Canals  -  France  -  2009  -   95’  -  documentaire)
• production : Corto Pacific (Paris)
• synopsis : Ceci est l’histoire de quelques hommes arrivés clandestinement en Espagne depuis un pays africain. Après un long périple semé de mort et d’embûches, ils se retrouvent face à un monde qui leur résiste. Quelqu’un s’approche d’eux avec une caméra et leur propose de s’adresser à leur famille et amis restés au pays pour raconter, sous forme de lettre audiovisuelle, leur voyage, leur vécu, leurs désirs, ambitions, frustrations, espoirs…
[Aux portes de l’Europe et du reste du monde, dans une zone où la vie n’a plus de prix, une promesse a été faite, celle de cassettes vidéo comme témoignages de ‘ceux qui sont partis pour ceux qui sont restés’. (…) Après avoir pris le risque d’une mort physique, ils prennent un risque bien plus important, celui d’une mort symbolique.]
Article de Christophe Kantcheff - Politis
Article de Olivier Barlet - Africultures

VENDREDI 22 MAI
Bad Boys Cellule 425
(Janusz Mrozowski  -  France, Pologne  -  2009   -  120’  -  documentaire)
• production : Filmogene (Pologne)
• synopsis : Prison de Wolow en Pologne. 900 places, 1400 détenus. Artur, Bogus, Damian, Jozek, Julek, Marcin, Marek. Récidivistes, ils purgent des peines de 9, 12, 18, 25 ans… A sept dans une cellule de 15 m2 prévue pour cinq. Ils m’ont accepté dans leur quotidien avec ma caméra. L’Administration pénitentiaire polonaise nous a accordé dix jours.
[C’est souvent exotique et divertissant de filmer des toxicos, des putes, des prisonniers, ici, moins facile de penser ça. On est face à un cinéma où les champs lexicaux de Wiseman, Clark, et Dubuffet se juxtaposent avec ceux de Youtube, Pocket Film, et  Pixel vidéo. Bad Boys est un tag, un graffiti cinématographique, qui arrive à trouver sa liberté dans la contrainte et l’engagement plastique.]


                                                    courts métrages
> vendredi 15 mai
Yulia
de Antoine Arditti
(France, 2009, animation, 5’50)

> samedi 16 mai
Colchique
de Catherine Buffet et Jean-Luc Greco
(France / Canada, 2008, animation, 10’)

> dimanche 17 mai
L’enclave
de Jacky Goldberg
(France, 2008, fiction, 11’)

> lundi 18 mai
C’est plutôt genre Johnny Walker
de Olivier Babinet
(France, 29’, 2008)

> mardi 19 mai
Je criais contre la vie. Ou pour elle
de Vergine Keaton
(France, 2009, animation, 9’)

> mercredi 20 mai
Dahomey
de Jean Baptiste Germain
(France, 2009, fiction, 12’, Inédit)

> jeudi 21 mai
Ebullition
de Anne Toussaint
(France, 2005, 12’)


ACID
 [Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion]
www.lacid.org
Déléguée générale : Fabienne Hanclot
Co-présidents : Aurélia Georges et Gilles Porte
Responsable de la programmation salles en régions : Nolwenn Thivault et Grégory Taglione
Responsable de l’événementiel : Jean-Baptiste Le Bescam
Relation aux publics : Karin Ramette
Stagiaire : Marion Camarena

ACID_CANNES2009_POSTER_ETAIX
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Plein la Bobine : Cinéma Jeunes Publics du 11 au 17 juin 2009

PLEIN LA BOBINE
7e Festival de Cinéma Jeunes Publics du Massif du Sancy
11 > 17 juin 2009
La Bourboule et Le Mont-Dore
(Puy-de-Dôme)
Coordinatrices :
Céline Durand, Nadège Challeil
Déléguée artistique :
Florence Dupont
Tél/fax : 04 73 65 51 46
www.pleinlabobine.com

télécharger le dossier de presse PLEIN LA BOBINE 2009


Le 7e PLEIN LA BOBINE — festival de Cinéma Jeunes Publics du Massif du Sancy — se déroulera du 11 au 17 juin 2009, à La Bourboule et au Mont-Dore, deux villes voisines du Puy-de-Dôme, au cœur du Parc des Volcans d’Auvergne.
La danse sera le fil rouge de cette édition, qui rendra également un hommage particulier au cinéma italien.
Avant-premières, inédits, grands classiques, courts métrages en compétition, programmes vidéo : ce sont plus de 100 films qu’auront à découvrir en sept jours cinéphiles – petits et grands —, parmi lesquels Pierre et le loup, de Suzy Templeton (Oscar 2008 du court métrage d’animation), Les Vacances de Monsieur Hulot (le chef-d’œuvre de Tati sur copie neuve !), La boutique des pandas (programme de courts métrages chinois), L’Incompris, de Luigi Comencini, Rouge comme le ciel, de Cristiano Bortone…
    Comme le suggèrent ces quelques titres,  cette manifestation, si elle est pensée et conçue pour les enfants et adolescents de 3 à 15 ans, s’adresse à toutes les générations d’amateurs de cinéma, se voulant avant tout un moment festif et ludique, qui crée un contexte favorable à la découverte, aux échanges et à la sensibilisation à un cinéma différent de l’offre commerciale habituelle.
            
    Le festival Plein la Bobine — c’est une de ses spécificités majeures — propose une programmation cinématographique adaptée à chaque âge, avec des films à voir à partir de 3 ans, de 7 ans et de 12 ans. Pour chacune de ces trois « tranches d’âge », la programmation comportera :
    - une compétition internationale de courts métrages
    - des films inédits et en avant-première
    - la danse, déclinée en courts et longs métrages
    - un hommage au cinéma italien
    - une carte blanche au Festival Traces de Vie   
   
    Plein la Bobine propose également de nombreuses activités propres à alimenterle caractère pluridisciplinaire, pédagogique et ludique de la manifestation :
    - des ateliers d’initiation, liés cette année à la danse (capoeira, Hip Hop…)
    - un espace lecture : le «coin des livres»
    - un espace dessin, peinture, pâte à modeler… : le «coin des artistes»
    - des rencontres et discussions entre le public et les professionnels présents
    - des expositions

    Le festival ouvre aussi ses écrans et ses salles aux réalisations audiovisuelles faites par les enfants en organisant une projection spéciale : depuis la création de Plein la Bobine, les Rencontres Vidéo Scolaires permettent aux élèves – toutes académies confondues – de présenter, sur grand écran, les films réalisés dans le cadre de l’école.

    Enfin, Plein la Bobine ne manquera pas de donner un coup de projecteur sur le 20e anniversaire de la Convention des droits de l’enfant.

PleinLaBobine_2009
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Portraits-Autoportraits, un projet multimédia de Gilles Porte

Portraits / Autoportraits
Un projet multimédia de
Gilles Porte

Photo ci-contre : Wak-Rami, 6 ans, Milestone 23, Jalan Tapah - Malaisie
(Photo : Gilles Porte)

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Un livre - album
A paraître le 15 octobre 2009 au Seuil.Avec la collaboration de Juliette Robert.
Préface de Bernard Chambaz.

Des expositions simultanées
Le 20 novembre 2009, à Paris (exposition présentée par SIMV, La Mairie de Paris et l’Unicef, en partenariat avec Solidarité Laïque, Clowns Sans Frontières et la Ligue des Droits de l’Homme).
Dans plus de 30 villes de France, et à l’étranger.


Des courts métrages
Produits par Gédéon Programmes.
Diffusés en novembre et décembre 2009 par Arte, Gulli et TV5MONDE,
ainsi que par par ARTV (Canada), Canal Educarse (Argentine), Cuba Vision (Cuba), HALOGEN TV (USA), NHK (Japon), ODISSEA (Espagne), Planete Polska (Pologne), RAI (Italie), SBS (Australie), STV (Slovaquie), TSR (Suisse), YLE (Finlande)

Contacts SIVM – Gilles Porte
 :
Charlotte Debray 
06 20 87 84 19
www.simv.gillesporte.fr   &  simv.over-blog.com


Né dans une maternelle française en 2005, un projet artistique mêlant dessins d’enfants, photographies et films a lancé le cinéaste Gilles Porte dans 32 pays sur les cinq continents. Le public pourra découvrir cette aventure dans un livre à paraître le 15 octobre, sous forme de 80 courts métrages et lors d’une trentaine d’expositions simultanées : à Paris, en province et à l’étranger, le 20 novembre 2009, date du 20e anniversaire de la Convention internationale des Droits de l’Enfant.


« Le sujet nous regarde. Il nous regarde droit dans les yeux. Il nous regarde aussi au plus haut point. Il s’agit de l’enfance. Mieux. Il s’agit des enfants. A savoir ce que nous avons été et ce que nous sommes encore un peu, à trente ans, à quarante-quatre, à soixante, à quatre-vingts. Et, bien sûr, ce que sont nos enfants voire nos petits-enfants voire la ribambelle de gamins rencontrés au gré des circonstances. Personne ne disconviendra, c’est même un lieu commun, qu’il s’agisse de l’avenir. (…) La puissance de ce livre est de nous rappeler qu’on perçoit la ressemblance dans la dissemblance, que le “bonhomme” est le même en Afrique, en Asie, en Amérique et en Europe, qu’il puise au fonds commun des cultures et des civilisations.»
•Bernard Chambaz - Extrait de la préface de Portraits-Autoportraits

De Montmartre au Kenya
C’est dans une maternelle du 18e arrondissement de Paris, en 2005, que Gilles Porte (1) et Juliette Robert (2), « parents d’élèves », conçoivent leur projet avec la complicité de la directrice et des instituteurs. Pendant trois années consécutives, les enfants de six classes de l’Ecole des Cloÿs sont invités à dessiner leur autoportrait au crayon blanc sur papier noir. En contrechamp, Gilles les photographie, légèrement en plongée.
Cinq cents premiers diptyques dessin-photo voient ainsi le jour.
Au Kenya, auprès d’enfants massaïs et d’enfants du bidonville de Mathare (Nairobi), Gilles Porte commence à enrichir sa collection, lorsqu’il rend visite à sa sœur, membre de Médecins Sans Frontières. Avec l’aide de plusieurs autres ONG — Solidarité Laïque, Clowns Sans Frontières, Ligue des Droits de l’Homme — de nouveaux portraits et autoportraits sont alors réalisés avec des enfants rencontrés en Egypte, en Tunisie, en Moldavie, au Niger, au Burkina Faso, au Mali, au Bénin, au Sénégal et au Canada. Un tour du Monde commence.
A l’automne 2008, avec la complicité de la Mairie du 18e arrondissement de Paris, tous ces diptyques recouvrent les grilles du square Léon-Serpollet, à deux pas de la maternelle des Cloÿs, et le projet, baptisé “Syrine, Ibrahim, Malo, Valentin et tous les autres”, obtient le soutien de la Commission française de l’Unesco, ainsi que le label « Année européenne du dialogue interculturel 2008 ».

Un livre-album
Le Seuil découvre ces images avec enthousiasme et lance l’édition d’un livre intitulé « Portraits, autoportraits », à paraître le 15 octobre 2009, préfacé par l’écrivain Bernard Chambaz. Sur 240 pages, on pourra y découvrir dessins et photos ramenés de 20 pays. 

20/20 : une trentaine d’expositions, en France et à l’étranger
2009 : le monde s’apprête à célébrer le 20e anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant, ratifiée par 191 pays — 54 articles ayant pour vocation de protéger les enfants de la planète. La Mairie de Paris commande à Gilles Porte une exposition d’environ un millier de diptyques, qui seront installés place du Palais-Royal et dévoilés le 20 novembre, jour anniversaire de la signature de la Convention. L’Unicef rejoint le projet et mobilise son réseau de Villes amies des enfants.
Grâce à ce nouveau partenaire, plus de 20 autres villes en France (3) exposeront plus de 500 diptyques. Avec le concours de nombreux relais sur place : Solidarité Laïque, Solidar, Enfance 2/32, le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes, La Commission pour les Droits de la Personne, Le Cirque du Soleil, Unicef Australia, plusieurs villes étrangères où Gilles Porte est intervenu s’associent également à l’événement et exposeront simultanément les mêmes mosaïques : Montréal (Canada/Québec), Colombo (Sri Lanka), Nairobi (Kenya), Pereira (Colombie), Sydney (Australie).
L’opération est baptisée « 20/20 » : 20e anniversaire, 20 novembre, 20 pays visités (4), 20 arrondissements de Paris (5), 20 villes en province…
Un dossier pédagogique de 40 pages, conçu par Solidarité Laïque, l’Unicef et SIMV6 à l’attention des enseignants et éducateurs, accompagnera l’exposition.

Des films courts
Après avoir parcouru, seul, une quinzaine de pays, Gilles Porte a l’idée, à l’instar du cinéaste Georges Clouzot dans Le Mystère Picasso, de filmer les enfants en train de se dessiner « en transparence ». Grâce au soutien de la société de production Gédéon Programmes, il repart alors sur plusieurs continents filmer plus de 600 enfants dans 20 pays, en compagnie d’un assistant et muni d’une vitre. 
C’est au musicien de jazz Louis Sclavis et à une quinzaine d’animateurs, pour la plupart issus de l’Ecole des Gobelins, que Gilles Porte a confié les musiques originales et les animations des 80 courts métrages qu’on pourra voir en automne sur Arte, Gulli et TV5 Monde, ainsi que sur une quinzaine de chaînes internationales. Gédéon Programmes et S’imagine Films préparent également la sortie pour le 20 novembre d’un dvd regroupant les 80 films et de nombreux bonus.
A noter aussi que tous les éléments des expositions françaises du 20 novembre seront ensuite donnés, via les ONG partenaires, à diverses instances dans les pays du Sud ayant pris part au projet.

(1) : Gilles Porte 
Directeur de la photographie passé à la réalisation avec “Quand la mer monte” couronné en 2004 par le prix  Louis-Delluc du premier film, puis en 2005 par le César du meilleur premier film et le César de la meilleure actrice (Yolande Moreau, co-réalistatrice), Gilles Porte a publié l’année suivante «Rendons à César»*, un album de photographies, dont des agrandissements ont fait l’objet d’une exposition qui a depuis sillonné la France. Toujours « directeur de la photographie », il prépare actuellement la réalisation d’un second long métrage, produit par 3B Productions, qui se situera pendant la Guerre d’Indochine.
*Editions de l’Œil  (www.rendonsacesar.quandlamermonte-lefilm.com)

(2) : Juliette Robert
Née à Paris, Juliette Robert a grandi en Corrèze, en banlieue parisienne et à Toulouse. Passée par l’Ecole Estienne, elle est aujourd’hui directrice artistique.

(3) : Agde (34 ), Amilly (45), Bar-le-Duc (55), Besançon (25), Bordeaux (33), Carrière sous Poissy (78), Courbevoie (92), Dijon (21), Feurs (42), Fontenay-sous-Bois (94), La Garde (83), Lille (59), Lyon (69), Montélimar (26), Nevers (58), Petit-Couronne (76), Poissy (78), Puteaux (92), St Germain en Laye (78), St Jean de Monts (85), Schiltigheim (67), Toulouse (31), Vincennes (94).

(4) : 20 pays seront représentés dans les différentes expositions, hormis celle de Paris qui reprendra les 32 pays parcourus : Bénin, Madagascar, Canada, Colombie, France, Israël, Palestine, Sri Lanka, Kenya, Iles Fidji, Inde, Moldavie, Australie, Mongolie, Sénégal, Niger, Tunisie, Maroc, Mali, Birmanie, Afrique du Sud, Thaïlande, Burkina Faso, Allemagne, Malaisie, Argentine, Japon, Cuba, Turquie, Italie, Cambodge et Egypte.

(5) : 20 jours avant le 20 novembre, 20 bâches (4M x 3M), qui représenteront chaque fois un dessin d’enfant noir et blanc, recouvriront chacune des 20 mairies de Paris. Le 20 novembre, les prénoms des 20 auteurs, leur âge et le nom de leur pays seront dévoilés place du Palais-Royal, parmi un millier de portraits et d’autoportraits.

(6) : SIMV (Syrine, Ibrahim, Malo, Valentin et tous les autres) est une association de type 1901, créée dès l’origine du projet.

Portraits_Autoportraits_Gilles_Porte
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Rencontres cinématographiques de la Seine-St-Denis

20e Rencontres cinématographiques de la Seine-St-Denis (13>22 NOV 209)
organisées par Cinémas 93
Invité d’honneur > Claude Chabrol
Un cinéaste à redécouvrir > Silvano Agosti
Hommage > Edouard Luntz

Parcours découverte > Marie Voignier
Exposition > Pierre Collier
Parcours de cinéphile > Louis Skorecki

    contacter le service de presse

Les Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis fêteront dignement leur 20e anniversaire du 13 au 22 novembre 2009 en compagnie de Claude Chabrol, invité d’honneur, qui donnera notamment une leçon de cinéma consacrée à Fritz Lang (le 16 novembre), et de l’irréductible franc-tireur du cinéma italien : Silvano Agosti, très injustement méconnu en France, dont le premier long métrage, Le jardin des délices (1967), avec Maurice Ronet et Lea Massari, sortira en dvd le 17 novembre (Ed. La Vie est Belle).
    Cette 20e édition, qui se déroulera dans une vingtaine de cinémas* du département, sera aussi l’occasion de rendre hommage au réalisateur Edouard Luntz, récemment disparu, inoubliable auteur du premier film sur les «blousons noirs» : Les Cœurs verts (1966), mis en musique par Serge Gainsbourg.
    Au programme également le «parcours découverte» d’une réalisatrice révélée par l’Aide au Film Court (dispositif de la Seine-Saint-Denis) : Marie Voignier ; le «parcours cinéphile» du cinéaste et critique iconoclaste Louis Skorecki ; une exposition des affiches de cinéma de Pierre Collier ; et un original parcours cinématographique en bus.
    Sans oublier le volet «jeune public» cher à l’association Cinémas 93, organisatrice des Rencontres, avec une programmation spécifique pour les écoliers du primaire et les collégiens, des ateliers (doublage voix) et une ciné-conférence intitulée «petites peurs et grands frissons!».


    Tarif unique : 4 euros

        Cinémas 93                           
        Délégué général : Frédéric Borgia       
        Relations publiques : Amandine Larue

        www.cinemas93.org


(*) les cinémas partenaires des 20e Rencontres :
Le Studio / Auberviliers • Espace Jacques Prévert / Aulnay-sous-Bois • Le Cin’Hoche / Bagnolet • Cinéma Louis-Daquin / Le Blanc-Mesnil • Magic Cinéma / Bobigny • Cinéma André Malraux / Bondy • Cinéma André Malraux / Le Bourget • L’Etoile / La Courneuve • Théâtre André Malraux / Gagny • Théâtre du Garde-Chasse / Les Lilas • Cinéma Yves Montand / Livry-Gargan • Le Méliès / Montreuil • La Fauvette / Neuilly-Plaisance •Le Bijou / Noisy-le-Grand • Ciné 104 / Pantin • Espace des Arts / Pavillons-sous-Bois • Le Trianon / Romainville - Noisy-le-Sec • L’Ecran / Saint-Denis • Espace 1789 / Saint-Ouen • Les 39 Marches / Sevran • Cinéma Jacques Tati / Tremblay-en-France.

Rencontres_93_Poster_2009
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29e Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand

Palmarès du 29e Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand
(26 janvier - 3 février 2007)

Le 29e Festival International du Court Métrage s'est achevé à Clermont-Ferrand samedi 3 février, après une semaine intense pendant laquelle public et professionnels de tous les continents ont une nouvelle fois fait de la capitale auvergnate la capitale du film court. Les douze salles de projection du festival, irriguées par un tramway flambant neuf, ont accueilli plus de cent trente deux mille spectateurs (cent trente mille en 2006). Issue d'un ciné-club étudiant, cette manifestation où furent révélés de très nombreux réalisateurs, comédiens ou techniciens depuis la fin des années 70, proposait comme chaque année trois compétitions (internationale, labo et nationale), ouvertes à tous les supports comme à tous les genres du court métrage afin de rendre compte au plus près de la diversité et de la vitalité du jeune cinéma international, tel qu'il s'exprime en moins de 60 minutes.
C'est un film suédois centré sur un photographe de guerre, Le dernier chien du Rwanda, de Jens Assur, très célèbre en Suède en tant que photographe, qui a remporté le Grand Prix de la compétition internationale, cependant que celui de la compétition Labo était attribué à Un amour de singe (Monkey Love), de Royston Tan (Japon, Singapour) : un court métrage proche du haïku.
Quant à la compétition Nationale, elle a vu le triomphe du film Le Mozart des pickpockets, qui a notamment remporté les deux prix les plus convoités : le Grand Prix et le Prix du Public. Son réalisateur, Philippe Pollet-Villard, est un habitué de Clermont-Ferrand où il avait déjà présenté Ma place sur le trottoir et La baguette. Le Mozart des pickpockets raconte avec humour et tendresse la rencontre à Barbès entre deux voleurs minables, interprétés par le réalisateur et par l'écrivain Richard Morgiève, et un enfant des rues sourd et muet. Philippe Pollet-Villard, 46 ans, a également écrit le roman L'homme qui marchait avec une balle dans la tête, paru en septembre 2006 chez Flammarion.
Plusieurs panoramas non compétitifs ont également rencontré un vif succès auprès du public, parmi lesquels une rétrospective de courts métrages belges et un florilège de films courts consacrés aux "super-héros".
Le Marché du Film Court, qui réunissait en parallèle les professionnels du secteur, a connu un net regain d'activité. Parmi les acheteurs de courts métrages, on notait quatre nouveau venus à Clermont : la chaîne suédoise SVT, la RTBF (Belgique), Cartoon Network (Japon) et TV5 Monde. Autre première très remarquée également, celle de la présence de la société Google.
Le 30e Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand se déroulera du 1er au 9 février 2008.

Festival International du Court Métrage
La Jetée
6 place Michel-de-L'Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
Tel : 33 (0)4 73 91 65 73
Fax : 33 (0)4 73 92 11 93
Mail : info@clermont-filmfest.com
www.clermont-filmfest.com

PALMARES

1 / Compétition internationale
[Le jury international était composé de Lubna Azabal, comédienne belge ; Saad Hendawy, réalisateur égyptien ; Marc A. Huyghens, auteur, compositeur, interprète belge ; Tanita Tikaram, auteur, compositeur, interprète anglaise ; Jean-Marc Vallée, cinéaste québécois.]

Grand Prix
Le dernier chien du Rwanda (Den Sista hunden i Rwanda)
de Jens Assur (Suède)

Prix Spécial du Jury
Deweneti
de Dyana Gaye (Sénégal, France)

Prix du Public
Tanghi Argentini
de Guido Thys (Belgique)

Prix de la Meilleure Création Sonore
(SACEM – C.S.T.)
Tour (Hochhaus)
de Nikias Chryssos (Allemagne)

Prix du Meilleur Film d’Animation
Leviathan (Levijatan)
de Simon Bogojevic-Narath (Croatie)
 
Prix de la Jeunesse
Le tee-shirt (Tricko)
de Hossein Martin Fazeli (Slovaquie)

Prix Canal+
Le remplaçant (Il supplente)
de Andrea Jublin (Italie)

Prix des Médiathèques
Tanghi Argentini
de Guido Thys (Belgique)

Prix de la Presse
Fais un vœu (Atmenah)
de Cherien Dabis (Palestine)
[Composition du jury presse international :
Amal Fawzy (Sabah El Kheir Magazine - Egypte)
Irena Filus (Twoja Muza - Pologne)
Priscila Gomes Barbosa do Rosario (Miroir - Brésil)]

Prix du Rire « Fernand Raynaud »
Tanghi Argentini
de Guido Thys (Belgique)

2 / Compétition Labo
[Le jury Labo était composé de Katerina Athanasopoulou, réalisatrice grecque ; Rosto, graphiste, musicien et réalisateur néerlandais ; David Russo, cinéaste américain.]

Grand Prix
Un amour de singe (Monkey Love)
de Royston Tan (Japon, Singapour)

Prix Spécial du Jury
Engin (Maquina)
de Gabe Ibáñez (Espagne)

Prix du Public
Volatiles (Birds)
de Pleix (France)

Prix Canal+
Le pourquoi du comment (Tale of How)
du Blackheart Gang (Afrique du Sud)

Prix de l’œuvre d’art numérique (SCAM)
Raymond
de Bif (Royaume-Uni, France)

Prix de la Presse
Tygre (Tyger)
de Guilherme Marcondes (Brésil)
[Composition du jury prese Labo :
Jeremy Boxer (Free-lance - Royaume-Uni)
Alaa Karkouti (Good News - Egypte)
Danny Lennon (Voir - Québec)]

3 / Compétition nationale
[Le jury National était composé de Ronald Curchod, affichiste, illustrateur, peintre suisse ; Daniel Duval, acteur, scénariste et réalisateur français ; Nicolas Errera, compositeur français ; Sophie Quinton, comédienne française.]

Grand Prix
Le Mozart des pickpockets
de Philippe Pollet-Villard

Prix Spécial du Jury
Infrarouge
de Lionel Mougin

Prix du Public
Le Mozart des pickpockets
de Philippe Pollet-Villard

Prix de la Meilleure Création Sonore
(SACEM – C.S.T.)
En marchant (Walking)
de Alexandre Bayle

Prix de la Meilleure Première Oeuvre de Fiction
(S.A.C.D.)
Nyaman’ Gouacou (Viande de ta mère)
de Laurent Sénéchal

Meilleure comédienne
Fanta Touré et Manga Ndjomo, dans Nyaman’ gouacou (Viande de ta mère) de Laurent Sénéchal
Meilleur comédien
Jean-Louis Mic, dans Mic Jean-Louis de Kathy Sebbah

Prix du Meilleur Film d’Animation (S.A.C.D.)
À feu
de Vladimir Mavounia-Kouka

Prix de la Jeunesse
Sur ses deux oreilles
de Emma Luchini

Prix Canal +
Et alors
de Christophe Le Masne

Prix « Attention Talent » Fnac
Le Mozart des pickpockets
de Philippe Pollet-Villard

Prix de la Presse
Sur ses deux oreilles
de Emma Luchini
[Composition du jury presse National :
Marc-Alexis Roquejoffre, Françoise Attaix, Marc François (Club de la Presse Clermont-Auvergne)
Cécile Brou (Radio Campus Paris)
Patrice Carré (Le Film Français, CinéCinéma)]

Prix Procirep
Prix du producteur de court métrage
Château-Rouge Production
Sébastien de Fonseca

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Clermont-Ferrand 2012 : Hoy Cuba...

Un des événements majeurs de l’édition 2012 du Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand consiste en la programmation d’une quarantaine de courts métrages réalisés à Cuba ces dix dernières années : une première en Europe, en présence de nombreux jeunes réalisateurs cubains. La poétesse et romancière Wendy Guerra sera d’ailleurs à Clermont-Ferrand, en tant que membre du jury de la compétition internationale. Et une très belle exposition d’affiches de cinéma cubaines complètera cet hommage. Le détail des 6 programmes de la rétrospective est en ligne sur le site du festival : Programme Cuba 1 Programme Cuba 2 Programme Cuba 3 Programme Cuba 4 Programme Cuba 5 Programme Cuba 6 HOY CUBA – LE CINÉMA CUBAIN D’AUJOURD’HUI De Cuba, on a tout de suite en tête des images colorées : de vieilles automobiles américaines, de belles demeures coloniales du quartier de Habana Vieja, le Malecon, les plages sous les palmiers, les foules saluant la Revolución en agitant des milliers de petits fanions bleu, blanc, rouge. Viennent à l’esprit des portraits de guérilleros libérateurs, de musiciens géniaux, d’ouvriers roulant des cigares ou de danseuses du Tropicana en parures exotiques. Notre programmation Hoy Cuba donne la parole aux jeunes réalisateurs cubains. Ils vous invitent à découvrir leur décor et à rencontrer leurs personnages, réels ou imaginaires, pour partager une vision de la société cubaine d’aujourd’hui. Avec 6 programmes au total, Hoy Cuba se propose de rendre compte du jeune cinéma cubain à travers une sélection d’une quarantaine de films des années 2000. Cette sélection se veut représentative d’un mouvement créatif qui traduit les évolutions de l’identité cubaine - un cinéma de rue, comme le qualifie Ann Marie Stock*, parfois artisanal mais riche de promesses. Tout a commencé par un échange initié en 2006 entre le festival de Clermont-Ferrand et le festival du jeune cinéma Muestra Joven à La Havane. Nous avons depuis suivi avec intérêt le travail d’une jeune génération pour laquelle le court métrage est un véritable moyen d’expression. Actuellement placée sous la présidence bienveillante de Fernando Pérez, le réalisateur de Madagascar (1994) et Suite Habana (2003), la Muestra Joven présente chaque année la production de jeunes Cubains dans le domaine de la fiction, du documentaire et de l’animation. Organisé par une petite équipe dynamique au sein de l’Institut cubain de l’art et de l’industrie cinématographiques (ICAIC), ce rendez-vous est devenu un espace unique de dialogue pour les réalisateurs de toute l’île qui viennent y présenter des films produits de manière indépendante, c’est-à-dire en dehors du système étatique de production. Les opportunités de diffusion de ces courts métrages sont rares. Internet est un canal qui commence à être exploité, mais son impact reste limité puisque très peu de foyers y ont accès dans le pays. D’où l’importance d’un événement comme la Muestra Joven pour rencontrer un public, mais aussi pour débattre de l’avenir du cinéma cubain. Cette programmation rend donc logiquement hommage à la Muestra Joven, qui a fêté ses 10 ans en 2011. Elle nous permet également de fêter les 25 ans de la célèbre école internationale de cinéma et télévision de San Antonio de los Baños (EICTV), dont l’écrivain colombien Gabriel García Márquez fut l’un des fondateurs, puisque deux programmes sont consacrés à des films de ses étudiants. Parmi les thèmes qui traversent ces courts métrages, on retrouve les interrogations d’une jeunesse qui est attachée à son identité et cherche sa place face à l’avenir. Plusieurs aspects de la vie à Cuba sont abordés avec humour et fraîcheur, des CDR (Comité de défense de la révolution) à la figure du ‘custodio’, ces fonctionnaires vigiles plantés devant les portes d’immeuble. La ville est souvent traitée du point de vue de son influence sur les rapports sociaux. La campagne nous est montrée avec ses habitants qui font face à la débâcle de l’agriculture nationale. La débrouille, l’attente ou l’exil reviennent souvent. On s’attaque au machisme ou à l’homophobie. Dans un pays où le langage a souvent un double sens, les films de genre, drôles ou étranges, ne se privent pas de second degré. Le diable, le sexe et le sang se mêlent, dénotant un goût prononcé pour l’horreur et la provocation. Certains réalisateurs n’en sont pas à leur coup d’essai et se sont fait remarquer avec plusieurs films. C’est le cas d’Ariagna Fajardo, dont les documentaires révèlent un vrai talent qui lui a valu de remporter une mention spéciale incluant un voyage à Clermont-Ferrand en 2012. D’autres réalisatrices comme Sandra Gomez, Heidi Hassan ou Jessica Rodríguez (El mundo de Raúl, sélection Clermont-Fd 2011) développent chacune un langage cinématographique personnel. Avec deux films en sélection, une fiction et un documentaire, Pedro Luis Rodríguez compte parmi les auteurs à suivre, aux côtés d’autres jeunes cinéastes comme Carlos Lechuga ou Arturo Infante (Gozar, Comer, Partir, sélection Clermont-Fd 2008), tous deux lauréats d’un Premio Coral (Prix Corail) du meilleur court métrage au Festival international du nouveau cinéma latino-américain de La Havane. Depuis toujours, notre équipe défend la vitalité du court métrage comme un facteur d’émergence et de renouvellement du cinéma national. Nous sommes heureux de proposer à la curiosité du public clermontois la première présentation en Europe d’un ensemble aussi important de courts métrages cubains nouvelle génération. ¡Pásala bien! * Ann Marie Stock, On Location in Cuba – Street Filmmaking during Times of Transition, The University of North Carolina Press (2009) EXPOSITION D’AFFICHES A Clermont-Ferrand, dans le grand hall de l’Hôtel du département, on pourra découvrir l’affiche de cinéma cubaine. Ce sera une occasion rare en France de pouvoir avoir accès à cette production à la fois dans une perspective contemporaine et, aussi, dans un regard rétrospectif sur les grands noms de cet art de la rue si intimement lié à celui du cinéma. Des travaux d’étudiants de l’ISDi (Instituto Superior de Diseño de La Havane) se mêleront aux affiches qui ont fait la renommée internationale du design cubain. Ce sera donc l’occasion exceptionnelle de faire connaissance avec les travaux d’artistes comme Antonio Perez Niko, Eduardo Munoz Bachs, Eladio Rivadulla, Antonio Reboiro… Ciudad_del_Futuro Ciudad del Futuro (Damián Bandín, Karin Losert) El_Arte_del_Tobaco Affiche de El Arte del Tobacco (Tomás Gutiérrez Alea), qui sera exposée à Clermont-Ferrand
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Festival du Film de Lama en Haute-Corse 30 juillet > 5 août 2011

Le 18e Festival du Film de Lama se déroulera du 30 juillet au 5 août 2011. Si paisible l’hiver avec ses quelque 130 habitants, le village de Balagne s’est habitué à accueillir plus de 9000 spectateurs en une seule semaine… Sandrine Bonnaire, Catherine Frot, Emmanuelle Devos, Daniel Auteuil, Micheline Presle, Yves Boisset, Arnaud et Jean-Marie Larrieu, Romane et Richard Borhinger, Julie Depardieu, Mathieu Amalric, Manuel Poirier… : nombreux sont les comédiens et réalisateurs à avoir goûté, comme les festivaliers, aux charmes du lieu et apprécié le rythme d’un festival hors normes.  

Ont déjà confirmé leur venue cette année :
- L’actrice Valérie Mairesse, les acteurs Niels Arestrup et Nicolas Bridet, ainsi que le réalisateur Gilles Legrand, qui viendront présenter le nouveau film de ce dernier : Tu seras mon fils ;
- L’acteur (et réalisateur) Jean-François Stévenin, qui présentera Itinéraire Bis, de Jean-Luc Perreard ;
- Le réalisateur Radu Mihaileanu, qui sera à Lama avec son nouveau film La source des femmes, qui était en compétition officielle à Cannes en mai dernier ;
- Sébastien Jaudeau, qui viendra présenter pour la toute première fois son moyen métrage Etreinte, tourné en Corse, et interprété par Rachida Brakni et Eric Cantona.
- Le comédien Thierry de Peretti, qui accompagnera son deuxième film, également tourné dans l’Ile : Sleepwalkers.
- Julie Allione, directrice de casting, Gérard Guerrieri, “le réalisateur corse underground par excellence” et le comédien Jean-Philippe Ricci (l’interprète de Vettori dans Un prophète de Jacques Audiard), tous trois membres du jury de la compétition de courts métrages, qui se tient à Lama depuis la création du festival ;
- Sandrine Veysset (Y aura-t-il de la neige à Noël?), qui anime depuis 4 éditions un atelier de création cinématographique à destination des enfants. Sous l’œil de la réalisatrice, ils deviennent les comédiens d’un court métrage projeté le soir de clôture du festival.
- Pierre Duculot, réalisateur de Au cul du loup, un premier long métrage tourné en grande partie en Corse.

Vous pouvez découvrir dès maintenant la liste des films (quasi définitive) programmés lors de cette 18e édition et l’agenda des projections.

Près de 70 films seront projetés, en avant-première de leur distribution, parmi lesquels :
Habemus Papam
(Nanni Moretti / Italie / Cannes 2011), avec Michel Piccoli et Nanni Moretti
Melancholia (Lars von Trier / Danemark, Suede, Allemagne, France / Cannes 2011), avec Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Charlotte Rampling
Les Géants (Bouli Lanners / Belgique, France, Luxembourg / Cannes 2011)
Et maintenant on va où ? (Nadine Labaki / France, Liban / Cannes 2011), avec Nadine Labaki, Claude Baz Moussawbaa, Layla Hakim
La source des femmes (Radu Mihaileanu / France, Maroc, Belgique, Italie / Cannes 2011), avec Leïla Bekthi, Hafsia Herzi, Hiam Abass
Itinéraire Bis (Jean-Luc Perreard), avec Fred Testot, Leïla Bekhti, Jean-François Stévenin [un film tourné en Corse]
Tous au Larzac (Christian Rouaud / France / Cannes 2011)
Pain noir (Agustin Villaronga / France, Suisse) - sous réserve
Tu seras mon fils (Gilles Legrand / France), avec Niels Arestrup, Lorànt Deutsch, Patrick Chesnais

Grâce à la Cinémathèque de Corse, on pourra redécouvrir un film de 1963 : Jusqu’au bout du monde (François Villiers / France) avec Pierre Mondy, Didi Perego, Marietto
Et, pour rester dans le film de patrimoine, trembler encore avec L’Homme qui rétrécit, grand classique du fantastique réalisé par Jack Arnold (Etats-Unis - 1957)

Parmi les films proposés au jeune public
 :
Une vie de chat (Jean-Loup Felicioli, Alain Gagnol / France)
Pierre et le loup (Suzie Templeton / Grande-Bretagne, Pologne)
Cheburaskha et ses amis (Makoto Nakamura / Russie, Japon)
Le Gruffalo (Jakob Schuh, Max Lang / Grande-Bretagne) 

Comme chaque année, le Festival de Lama aura à cœur de faire découvrir à son public des films tournés récemment en Corse :
Etreinte (Sébastien Jaudeau) avec Rachida Brakni et Eric Cantona
Sleepwalkers (Thierry de Peretti)
Des nœuds dans la tête (Stéphane Demoustier) avec Anaïs Demoustier, Grégoire Leprince Ringuet
Au cul du loup, premier long métrage de Pierre Duculot, avec Christelle Cornil, François Vincentelli
Fucilati in prima ligna. Fusillés pour l’exemple (Jackie Poggioli)
Mare d’una Terra Ribella - Quand la houle se lève (Marianna Thibout-Calandrini)
Le crabe qui m’a pincé l’œil (Françoise Perbet Savelli)
A Runcata. Sur la piste de l’âne en Corse (Laurent Billard)
Adieu Foulards (Fabien Giacomini)

Parmi les documentaires proposés à la Casa di Lama :
Bovines (Emmanuel Gras, France, Cannes - ACID 2011)
De mémoires d’ouvriers, le nouveau film de Gilles Perret, après Ma mondialisation et Walter - retour en résistance
La ruée vers l’Est (Vincent Gaullier, Raphaël Girardot)
La Main de Dieu (ou la queue du renard) (François Sculier)
Slow Japan (Massimo Pibiri)
Nino (une adolescence imaginaire de Nino Ferrer), documentaire-fiction de Thomas Bardinet
Une vie française (Abdallah Badis)   

Il y a à Lama trois sites de projection en plein air, qui attendent la nuit pour s’éveiller :
- le très grand écran de “La Piscine”, un peu à l’écart du village, à l’orée du maquis, où comédiens et réalisateurs viennent présenter des avant-premières et qui a compté jusqu’à près de 1000 spectateurs lors de mémorables séances ;
- “L’Ombria”, plus intime, sur une place du village, qui est un peu le ciné-club de Lama avec une programmation de films ignorés des grands circuits ;
- “Le Mercatu”, entièrement dédié aux enfants, qui, chaque soir, s’installent sur les larges marches de pierre enchâssées au cœur du village, encore chaudes et dont on croirait qu’elles ont été imaginées pour ce jeune public. Avant-premières et films de répertoire s’y partagent l’affiche.
Dans la journée, c’est la “Casa di Lama” qui prend  le relais, où est proposée une riche sélection de documentaires récents, pour beaucoup touchant au monde rural.

Grande nouveauté cette année : le Kinobus, qui s’installera dans les ruelles de Lama du 31 Juillet au 2 août. Véritable point de rencontres et de création mobile, ce laboratoire ouvert à tous invitera ses participants à produire un film en 72 heures. A l’issue de ces trois jours, les « kinoïtes » devront présenter leur court métrage, qui sera projeté Le 2 août à la salle des fêtes de Lama.
Le Kinobus est également un lieu de regroupement international pour les membres de cellules Kino venus d’ailleurs.

Outre le Kinobus et l’atelier de réalisation pour les enfants animé par la réalisatrice Sandrine Veysset, on trouvera aussi au programme d’un festival apprécié pour sa convivialité un atelier d’écriture mené par l’association Detti è Scritti (mercredi 3 août), un colloque (“Paysage corse, images méditerranéennes”, mardi 2 août), des contes, une exposition (peintures de Marie-Claude Savelli) et une dégustation de vins corses avec le syndicat des vignerons de Balagne (jeudi 4 août). Sans oublier les désormais traditionnelles discussions entre le public et les réalisateurs, qui se tiennent le lendemain des projections à l’ombre généreuse du grand platane…

TARIFS :
          Séance plein tarif : 7 euros
          Tarif réduit : 5 euros (enfant de moins de 12 ans, chômeurs, étudiants)
          Passeport (toutes les séances du festival) : 38 euros
          Passeport tarif réduit : 25 euros
          Abonnement (5 entrées) : 25 euros

Festival du Film de Lama
          Directeur : Mathieu Carta
          Coordinatrice : Mélanie Guaïtella
          Maison de la Culture et du Tourisme
          20218 Lama
          Tél:  04 95 48 21 60
          info@festilama.org
          www.festilama.org

contacter le service de presse


Piscine_Lama_2011
Le site de la Piscine

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Ombria
Site de l’Ombria
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Affiche_Lama_1
AVANT-PREMIERE DE MELANCHOLIA le 4 AOÜT à LAMA
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Affiche_Lama_2
AVANT-PREMIERE DE HABEMUS PAPAM, vendredi 5 Août à LAMA (photos Jean Baltazar)
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L'ACID à Cannes du 12 au 21 mai 2011 : la programmation des cinéastes

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L’Acid à Cannes : dix jours pour convaincre distributeurs et exploitants (Clarisse Fabre / Le Monde)

Vous découvrirez ci-dessous la liste des films qui seront présentés à Cannes du 12 au 21 mai 2011 par des cinéastes réunis au sein de l’ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion), lors de séances ouvertes à tous les publics, et qui se dérouleront en présence des équipes des films et de leurs “parrains” de l’association.
Les deux-tiers (six sur neuf) sont des premiers longs métrages.
Six sont des films de fiction, pour trois documentaires.
Outre la France, les pays de production ou co-production de ces films sont l’Allemagne, la Belgique, le Chili, la Chine, l’Iran, l’Italie et la Suisse.
Huit courts métrages seront également proposés par l’ACID (liste infra).
Une innovation : l’ACID, qui soutient activement la sortie en salles d’une quinzaine de films indépendants par an, organisera cette année à Cannes, en association avec leurs distributeurs, des séances spéciales, destinées aux exploitants et à la presse, de films dont la sortie est prévue dans les mois suivant le festival.

Sa programmation étant, depuis 1993, la seule du Festival de Cannes à être composée par des cinéastes* désireux, en toute liberté éditoriale, de faire découvrir les films de leurs pairs, français et étrangers, l’ACID se réjouit d’ouvrir ce cycle 2011 avec Noces éphémères de Reza Serkanian, dont la diffusion est depuis plusieurs mois bloquée par les autorités iraniennes.
    L’ACID s’associe d’ailleurs évidemment à toutes les manifestations organisées par la SRF au Festival de Cannes en soutien à Jafar Panahi. Reza Serkanian participera à la table ronde “Faire des films sous une dictature, témoignage du travail des cinéastes, en Iran et ailleurs” le jeudi 12 mai au Théâtre Croisette.
    A noter également, en séance spéciale à l’ACID, le 5e volet de Mafrouza, qui nous fera revivre la résistance des habitants de ce quartier d’Alexandrie détruit en 2007.
    (*) Cette année : Stéphane Arnoux, Olivier Babinet, Joël Brisse, Béatrice Champanier, Cati Couteau,
Marina Déak, Fabianny Deschamps, David Dusa, Claude Duty, Jean-Baptiste Germain, Marion Lary, Chiara Malta, Raphaël Mathié, Damien Manivel, Laurent Salgues, Luc Verdier-Korbel

Depuis l’annonce, le 20 avril, de cette programmation, deux films ont trouvé une distribution : Rives chez Epicentre Films et Black Blood chez Arizona Films.

L’affiche ACID - Cannes 2011 est signée Speedy Graphito.

ACID
tél : 01 44 89 99 74
acid@lacid.org
www.lacid.org
co-présidents : Mariana Otero et Gilles Porte
déléguée générale : Fabienne Hanclot

PRESSE
Jean-Bernard Emery
01 55 79 03 43 // 06 03 45 41 84
www.cinepresscontact.com


                        PROGRAMMATION ACID - CANNES 2011 

Tout bouge dans le cinéma ces temps-ci. Et, dans ce grand mouvement, certaines choses restent les mêmes: tant de films ont tant de mal à se faire, tant d’autres à être vus. Pourtant, il s’en fait ! Parce que des cinéastes ne renoncent pas et s’emparent de la réalité, de l’imaginaire, de la révolte ou tout simplement d’histoires humaines…
Il faut se battre encore, plus que jamais, pour la diversité des propositions et que celle-ci soit réellement donnée à voir. C’est, à notre niveau, ce que nous essayons de faire à l’ACID, et c’est toujours faire acte de résistance. Les films de cette programmation ont chacun une façon bien singulière de parler du monde et de parler au monde. Films de cinéastes choisis et portés par des cinéastes, ils n’atterrissent pas dans une sélection de plus, mais à cet endroit unique où ceux qui tournent décident de prendre le temps de regarder ce que d’autres ont tourné.
Gageons que cette spécificité de l’ACID permettra à d’autres regards de partager l’immense plaisir que nous avons eu à voir ces films, comme autant de nouvelles aventures de cinéma.
Les cinéastes

> Longs métrages :

BLACK BLOOD
Miaoyan Zhang
Chine / France, 2010, fiction, 123’
[Première française]
Xiaolin et sa femme vendent leur sang pour payer l’école de leur fille. Ils finissent par créer une petite banque du sang qu’ils nomment Ali-Baba.
Avec ces profits importants, la cour autrefois déserte se remplit de moutons. Mais Xiaojuan, l’épouse, découvre qu’elle est séropositive.
Lire la critique de Julien Marsa (Critikat)

BOVINES
Emmanuel Gras
France, 2011, documentaire, 62’
[Première mondiale, 1er LM]
La vraie vie des vaches : brouter, ruminer, contempler mais aussi s’émouvoir, meugler sa peine ou tout simplement se délecter d’une pomme…
Lire la critique de Sarah Elkaïm (Critikat)
Lire la critique de Christophe Kantcheff (Politis)
Lire la critique d’Amalia Casado (Grand Ecart)

GOODNIGHT NOBODY
Jacqueline Zünd
Suisse / Allemagne, 2010, documentaire, 77’
[1er LM]
Quatre insomniaques de divers pays et continents nous invitent pour une nuit dans leur univers.
Ces oiseaux de nuit malgré eux nous invitent à un voyage dans un monde empli de silence, de solitude, de peur mais aussi de beauté, d’imaginaire et d’espoir…
Lire la critique de Christophe Kantcheff (Politis)
Lire la critique de Vincent Avenel (Critikat)
Lire la critique de Marion Haudebourg (Grand Ecart / France Culture)

LE GRAND’TOUR

Jérôme le Maire
Belgique, 2010, fiction, 98’
[Première française, 1er LM de fiction]
Une fanfare amateur de quarantenaires festifs s’en va marcher un week-end dans les bois. Ils ne rentreront que six mois plus tard, et encore, pas tous !
Lire la critique de Sébastien Chapuys (Critikat)

NOCES ÉPHÉMÈRES
Reza Serkanian
France / Iran, 2011, fiction, 84’
[Première mondiale, 1er LM]
Après la mort d’un vieux mollah, un voyage commence, vers une ville où l’on peut espérer se marier pour une durée déterminée.
Dans une société qui pèse de toutes ses contraintes sur les aspirations individuelles, Kazem et Mariam partent à l’aventure de leurs désirs.
Lire la critique de Julia Allouache (Critikat)
Interview de Reza Serkanian par Mélanie Carpentier (Grand Ecart)
Ecouter Reza Serkanian au micro de Catherine Ruelle (RFI)

PALAZZO DELLE AQUILE
Stefano Savona, Alessia Porto, Ester Sparatore
France / Italie, 2011, documentaire, 128’
À Palerme, 18 familles sans-abri délogent les politiciens de la Mairie.
De nouveaux acteurs s’emparent de l’ancien théâtre de la démocratie, incarnant ses contradictions avec une force inédite.
Lire la critique d’ Anne-Violaine Houcke (Critikat)
Lire la critique de Christophe Kantcheff (Politis)


RIVES
Armel Hostiou
France, 2011, fiction, 85’
[Première mondiale, 1er LM]
Paris, le temps d’une journée charnière dans l’existence de Bianca, Thalat et Pierre.
Lire la critique de Sarah Elkaïm & Clément Graminiès (Critikat)

RUE DES CITÉS
Carine May, Hakim Zouhani
France, 2011, fiction-documentaire, 68’
[Première mondiale, 1er LM]
Adilse a 20 ans. Il vit en banlieue. Sa vie se déroule sur le bitume, entre retape de scooters et glandouille avec son meilleur pote.
Ce jour-là, son grand-père a disparu. Il le cherche dans la cité.
Lire la crique de Mathieu Macheret (Critikat)

LES VIEUX CHATS
Pedro Peirano, Sebastian Silva
Chili, 2010, fiction, 88’
[Première française]
Une journée particulière dans la vie d’Isadora, octogénaire des quartiers chics de Santiago du Chili :
sa fille Rosario a l’intention de se refaire une santé financière en la contraignant à vendre l’appartement familial…
Distribution : Memento Films (octobre 2011)
Lire la critique de Benoît Smith (Critikat)
Lire la critique de Clémentine Gallot, Juliette Reitzer et Auréliano Tonet (3 Couleurs)

> Courts métrages :

ODEON DANCING
Kathy Sebbah
France, 2011, 25’
A l’Odéon Dancing, toutes les fins de semaine, se retrouvent célibataires et couples, personnes accompagnées ou cherchant l’âme sœur.
Du rock au cha-cha-cha, du tango au boléro, on s’enlace et on guinche, on s’essouffle et on sue. Yelena, la novice, s’attend à vivre une nuit particulière.
Elle le sera au-delà de ses espérances.

PANDORE
Virgil Vernier
France, 2010, 35’
Paris, l’entrée d’une boîte de nuit, un physionomiste à l’ouvrage. Critères de sélection et rapports de force. Un temps, un espace et une action : in ou out ?

> Courts métrages “Talents Cannes Adami 2011” :

CHRISTINE
Gilles Porte

DEEP INSIDE
Marc Gibaja

DEVINE
Laurent Perreau

ENCORE HEUREUX
Ivan Calbérac

SCÈNE DE VESTIAIRE
Frédéric Malègue

YASMINE LA RÉVOLUTION
Karin Albou

> Séances spéciales (liste encore non exhaustive)
(longs métrages soutenus par l’ACID et qui sortiront entre juin et août 2011)

PUTTY HILL
Mattew Porterfield
Etats-Unis, 2010 , fiction
Distribution : ED Distribution

PARABOLES - 5e volet du cycle MAFROUZA
Emmanuelle Demoris
France, 2010 , documentaire
Distribution : Shellac

LÉA
Bruno Rolland
France, 2011, fiction
Distribution : Zelig Films

FLASH-BACK ACID - CANNES 2010 :
Entre nos mains (Mariana Otero - France)
sortie : 6 octobre 2010

La vie au ranch (Sophie Letourneur - France)
sortie : 13 octobre 2010

Fix ME (Raed Andoni - France, Palestine, Suisse)
sortie : 17 novembre 2010

Poursuite (Marina Déak - France)
sortie : 9 mars 2011

108-Cuchillo de Palo (Renate Costa - Espagne)
sortie : 23 mars 2011

Robert Mitchum est mort (Olivier Babinet, Fred Kihn - France)
sortie : 13 avril 2011

Donoma (Djinn Carrénard - France)
sortie : 2011

Fleurs du mal (David Dusa - France)
sortie : 2011

Eine flexible Frau / The Drifter (Tatjana Turanskyj - Allemagne)

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BLACK BLOOD
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Bovines
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GOODNIGHT NOBODY
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LE GRAND’TOUR ©Vincent Marganne
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NOCES EPHEMERES
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PALAZZO DELLE AQUILE
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RIVES
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RUE DES CITES ©Millerand
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LES VIEUX CHATS
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ODEON DANCING
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Pandore
PANDORE
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LEA
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PARABOLES - MAFROUZA
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PUTTY HILL
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La Colombie et la Tunisie rejoignent un Marché du Film Court à guichets fermés.

Marché du Film Court - Clermont-Ferrand 2012
Clermont-Ferrand Short Film Market


Un Marché du Film à guichets fermés !
[English version below]

Dans la continuité du Marché du film 2011, le contexte de la crise internationale s’est ressenti dans le montage du Marché 2012, budgets tendus aux quatre coins du monde, décisions extrêmement lentes pour l’obtention de financements générant des confirmations tardives. Malgré quoi, le Marché du Film Court de Clermont-Ferrand affiche complet…

On se souvient du choc britannique de 2011, avec la suppression du UK Film Council, nécessitant la réorganisation des missions assumées jusque-là par celui-ci entre les différents autres organismes de cinéma. C’était vraisemblablement trop tôt cette année encore pour penser à un retour, mais 2013, c’est promis, ils reviendront. Pour autant, Candella Films sera présent pour assurer la promotion d’un catalogue de films britanniques, en association avec Freak Agency, distributeur espagnol qui entend enrichir son catalogue avec les films britanniques soutenus par Candella.
 
L’Espagne, justement, essaie de maintenir coûte que coûte sa participation. Depuis le dernier marché, le pays avait décidé d’abandonner le stand commun sous une ombrelle nationale pour revenir à une représentation régionale : cinq régions espagnoles avaient rejoint le marché en 2011. Le Marché 2012 accueillera le Pays basque, la Catalogne et la région de Madrid.
 
Une mauvaise surprise du côté de la SODEC, la Société de Développement des Entreprises Culturelles au Québec, qui soutenait le court métrage et le représentait à Clermont. Changement de direction, changement d’orientation, personne ne sait, le Québec a eu chaud. Ce serait ne pas connaître Danny Lennon et son énergie à toute épreuve qui, en l’espace d’une semaine, a su organiser, coordonner, rassembler un certain nombre de producteurs et distributeurs, bien décidés à ne pas manquer le rendez-vous clermontois. Nous retrouverons donc le stand historiquement partagé avec Wallonie Bruxelles Images, un programme marché en salle et un programme à la vidéothèque du marché.
 
Bref, malgré les remous et la crise ambiante, le marché fonctionnera, à nouveau, à guichets fermés, avec les habitués du marché et des nouveaux venus, acteurs essentiels sur les scènes française et internationale. Saluons la Grèce qui, malgré la situation que nous lui connaissons, maintient son stand au marché. Le pôle latino-américain se renforce avec la Colombie au travers de Proimagenes, organisme chargé du soutien et de la promotion du cinéma colombien sur les territoires national et international. Ce pays rejoint donc le Mexique, le Chili et le Brésil. Le Centre Audiovisuel Croate, ACORCH (association de réalisateurs de courts métrages du Chili) et Kodak, qui avaient rejoint l’espace exposants pour la première fois en 2011, affirment à nouveau leur détermination à s’inscrire dans la dynamique de la production internationale de courts métrages et maintiennent leurs participations.
 
Parmi les nouveaux entrants, la Tunisie avec la Chambre Nationale des Producteurs de Films. Cette année exceptionnelle qu’a connue la Tunisie nous fera découvrir ses productions les plus récentes ainsi que les talents qui émergent avec toutes leurs diversités artistiques. La Guadeloupe, également, rejoint le marché avec l’APCAG, association pour le développement du cinéma en Guadeloupe, créée par des directeurs de salles communales et par l’association Ciné woulé (projections itinérantes en plein air) pour répondre aux besoins d’un territoire éclaté : diversifier l’offre cinématographique en Guadeloupe avec le soutien au réseau des producteurs et distributeurs indépendants, promouvoir des réalisateurs du cru aux niveaux local, international et, lors des festivals, valoriser le cinéma et l’audiovisuel local et caribéen. En 2010, l’APCAG a réalisé un pré-inventaire du patrimoine audiovisuel et en 2011 elle a édité son premier DVD de courts métrages dans le cadre de l’Année des Outre-Mer 2011.

Le Marché 2012, malgré la crise financière qui frappe la culture et particulièrement le champ du court métrage, se présente donc comme une édition pleine de promesses, propre à développer les projets européens et internationaux de production et de diffusion.

The 2012 Market Is All Booked Up!

The international economic downturn has had its effects on the preparations of the Market 2012, just like in 2011, with budgets stretched to their breaking point and financing decisions moving in slow motion, and sometimes only arriving at the eleventh hour.

Let’s not forget the shock of the disappearance of the British stand in 2011 when the UK Film Council was brutally eliminated, and all of the activities it had performed up to that point had to be redistributed among other organizations. It was unrealistic to think of British institutions returning as soon as this year, but they will be here in 2013, guaranteed. Moreover, Candella Films will be on hand to promote the British film catalogue, along with Freak Agency, a Spanish distributor that is intending to enlarge its catalogue with British films supported by Candella.
 
Spain is in fact trying at all costs to stay at the Market. Last year, the country decided to abandon a single national umbrella stand in favor of a return to regional representation: five Spanish regions joined the Market in 2011, and this year we are welcoming Catalonia, the Basque region and the Madrid region.
 
We got a nasty surprise from SODEC – the organization for the development of cultural undertakings in Quebec –, which supported short films and represented them in Clermont. Who knows whether it was a change of direction or orientation, but Quebec has had a rough time. But thanks to his boundless energy, Danny Lennon managed, in only one week, to organize, coordinate and gather together a few producers and distributors who were determined not to miss the appointment with Clermont-Ferrand. So Quebec will be here, sharing its stand – as it always has – with Wallonie Bruxelles Images, which has one program among our screenings as well as another in the Market’s video library.
 
So, despite the shake-ups and the air of crisis, the Market moves ahead once again, booked solid. Let’s give a shout out to Greece, which is still manning its stand in spite of the country’s well-known plight. The Latin American contingent of Mexico, Chile and Brazil has been strengthened by the addition of Colombia’s Proimagenes, an organization that supports and promotes Colombian cinema on both the domestic and international fronts. The Croatian Audiovisual Centre, ACORCH (the Chilean association of short film directors) and Kodak, which had all joined the marketplace for the first time in 2011, are renewing their determination to contribute to the international production of short films, and are participating once again.
 
Among the new participants is Tunisia’s National Chamber of Film Producers. This was an extraordinary year for the country, and we are now able to discover its most recent works as well as new talents that are emerging in all their artistic diversity. Guadeloupe is also joining the Market through APCAG, the organization for the development of film in Guadeloupe. The organization was created by movie theater directors and the group Ciné woulé (a travelling, open-air theater) to address the needs of a fragmented territory: to diversify film offerings in Guadeloupe, granting support to independent producers and distributors; to promote domestic filmmakers in their home country and abroad; and to valorize local and Caribbean film and audiovisual endeavors at festivals. In 2010, APCAG made a pre-inventory of its audiovisual stock, and in 2011 it produced its first DVD of short films under the aegis of France’s initiative 2011: The Overseas Year.
 
Of course, we can also count on our regulars at the Market, key players on the French and international scenes: MEDIA, the CNC, Unifrance, Fémis, L’Agence du court métrage (France), Normandy, Wallonie Bruxelles Images, Portugal, Thailand, Scandinavia, Romania, The Czech Republic, Poland, Iran, Italy, the Netherlands, Israel, Switzerland, New Zealand, Japan, Ireland and, last but not least, South Korea.
 
Therefore, in spite of the financial crisis that has hit culture – and especially short films – so hard, the 2012 Market is one full of promises, aiming to develop European and international initiatives for production and distribution.

Clermont_Short_Film_Market
© Michel Vasset - Sauve Qui Peut Le Court Métrage
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Un tour d'Europe du Doc, à Paris du 4 au 8 décembre 2007

Un tour d’Europe du doc
[Rencontres européennes du cinéma documentaire]
•Paris du 4 au 8 décembre 2007
Goethe-Institut Paris – Maison de l’Europe de Paris
Centre culturel suisse – Centre Wallonie-Bruxelles
www.tourdeurope.net

Une manifestation proposée par Addoc en partenariat avec treize associations européennes de cinéastes documentaristes.
 
Un Tour d’Europe du Doc a réuni les associations européennes de documentaristes pour interroger la création documentaire et son économie. La manifestation, ouverte à tous, s’est articulée autour de projections de documentaires européens, de tables rondes et de rencontres avec les cinéastes. Pays participants : Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Portugal, Slovaquie, Suisse, République Tchèque et Turquie.

Dans un contexte artistique et économique de plus en plus difficile, les cinéastes documentaristes d’Addoc ont ressenti le besoin de développer de nouvelles synergies avec leurs homologues européens. Il s’agit de défendre collectivement la création documentaire, à une échelle où un nombre croissant de décisions sont prises concernant le cinéma et l’audiovisuel.

En même temps qu’elle proposait au public un panorama du cinéma documentaire européen, la manifestation Un tour d’Europe du Doc a cherché à poser les bases d’une coopération renforcée entre documentaristes européens. Les premiers contacts établis avec les documentaristes européens avaient mis en évidence la similitude des problématiques. Bien que quelques films aient connu un certain succès public, partout en Europe, l’économie du cinéma documentaire reste fragilisée et sa diversité menacée. Il est urgent de développer des initiatives communes, d’informer et de faire pression sur les pouvoirs publics et les institutions européennes afin que le cinéma documentaire ne disparaisse pas des écrans, qu’il s’agisse de télévision, de salles de cinéma ou de projections alternatives.

La démarche de Addoc intervient à un moment où l’Union Européenne cherche à renforcer le dialogue avec les professionnels de la culture. À Lisbonne s’est tenu du 26 au 28 septembre le premier forum culturel pour l’Europe, première étape d’une série de consultations permettant aux représentants de la société civile de débattre de l’action culturelle de l’Union et de formuler des propositions à même d’influencer les décideurs politiques.

Les films à découvrir
Un tour d’Europe du Doc invitait à un voyage au cœur de la création documentaire européenne. Tous les films présentés avaient été présélectionnés par les associations de documentaristes partenaires, chacune d’elle ayant été invitée à proposer quelques films représentatifs du cinéma qu’elle défend. Sur cette base, un groupe de réalisateurs d’Addoc a établi une programmation de films réalisés ces dernières années qui donnent à voir la diversité des approches créatives à l’œuvre en Europe. Ces films résonnent souvent entre eux. Qu’ils s’intéressent aux clandestins slaves au Portugal (Lisboners), à la condition des femmes en Turquie (Naze) ou au temps qui se fige autour des vieux commerçants de Vienne (Aus der Zeit), les cinéastes placent l’humain au centre de leurs préoccupations et leur regard nous interpelle. Les projections étaient toutes suivies d’une discussion avec le réalisateur. Une occasion de partage, d’échange et de réflexion avec le public.

Les tables rondes
Elles ont réuni les associations de documentaristes de quatorze pays européens. Conçues comme des séances publiques de travail, leur objectif était de proposer des réponses à une problématique centrale : comment sortir le documentaire de création du formatage généralisé qu’induit la place prépondérante des diffuseurs télévisés dans les modes de production?

 - les aides européennes pour le documentaire en question
Mercredi 5 décembre - 10h00/13h00 - Goethe-Institut Paris

- gros plan sur trois initiatives européennes de soutien au documentaire
Jeudi 6 décembre - 10h00/13h00 - Maison de l’Europe de Paris
 Documè, réseau de distribution alternatif en Italie ; Online Film AG, des auteurs-réalisateurs allemands s’organisent pour l’exploitation de leurs films sur Internet ; Ateliers de production et d’accueil en Belgique qui ont participé à la production de 48% des documentaires produits ces dernières années sans requérir la présence d’un diffuseur.   

- pour préserver la qualité artistique et la diversité dans la création documentaire
Vendredi 7 décembre - 10h00/13h00 - Maison de l’Europe de Paris
 Réflexions sur la mise en place d’un fonds européen pour la création audiovisuelle qui fonctionnerait en lien avec une plateforme européenne de diffusion sur le Internet (VOD).

- séance de synthèse et élaboration d’une prise de position commune pour une plus grande diversité de la création documentaire
Vendredi 7 décembre - 15h00 /18h00 - Maison de l’Europe de Paris

COMMUNIQUE FINAL


Le film documentaire européen de création est en danger !


Du 4 au 8 décembre 2007, Un Tour d’Europe du Doc a réuni à Paris 14 associations européennes de professionnels de la création documentaire. Pendant ces quatre jours, discussions, tables rondes et projections d’œuvres venues des pays représentés ont permis de discuter de l’état et de l’avenir du cinéma documentaire en Europe. Cette initiative de l’association française Addoc, première du genre, a reçu le soutien de nombreux partenaires européens.

Le cinéma documentaire est l’instrument indispensable de la mémoire collective. Fenêtre ouverte sur le monde, il contribue à penser l’altérité, la diversité et favorise le dialogue entre les cultures. Malheureusement, ses modes de production et de diffusion ne lui permettent pas de toucher un large public. Alors même que le monde est de plus en plus complexe à appréhender, la représentation médiatique qu’on en donne est de plus en plus simpliste, car de plus en plus formatée. Aujourd’hui, on tend à nous imposer que tout soit compréhensible immédiatement et par tous. Certaines questions nécessitent pourtant des développements riches et nuancés. Les approches artistiques doivent être diverses et la forme journalistique ne doit pas être la seule manière de rendre compte du réel.  

Il ressort clairement de ces quatre journées de débats que, si les conditions de production varient largement d’un pays à l’autre, nos problèmes et nos buts sont communs. En dépit d’une extraordinaire créativité sur la scène internationale - qui se révèle lors des festivals, sur certains écrans de cinéma et sur de trop rares chaînes de télévision -  le film documentaire de création en tant que genre doit faire face à une baisse significative de ses budgets et de son financement. Nous en sommes arrivés à une situation précaire tant pour le film documentaire que pour ceux qui le font. Les menaces qui pèsent sur cette forme capitale de notre cinématographie ont conduit les associations présentes à définir plusieurs axes d’action. Les pays représentés au sein du Tour d’Europe du Doc s’emploieront à :
- renforcer leurs efforts sur le plan national pour provoquer une véritable prise de conscience de l’importance du documentaire de création ;
- coordonner le travail de lobbying afin de faire pression au niveau européen pour améliorer le financement de la production et de la distribution du documentaire de création;
- œuvrer à renforcer et protéger les droits des auteurs de documentaires de création, et à s’assurer qu’ils tirent le profit qui leur revient de l’utilisation de leurs œuvres;
- travailler ensemble sur le plan international afin de trouver les solutions adaptées aux défis de la révolution digitale;
- explorer les possibilités qu’offrent les canaux alternatifs de distribution.

Convaincues de l’utilité d’un rapprochement européen, les 14 associations présentes ont décidé de poursuivre et de développer leur collaboration afin d’atteindre ensemble les buts qu’elles ont définis. Le prochain Tour d’Europe du Doc aura lieu en 2008 aux Pays-Bas.

Pays associés à la première édition d’Un tour d’Europe du Doc: Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Slovaquie, Suisse et Turquie.

Addoc
Fondée en 1992, Addoc - l’association des cinéastes documentaristes - est un espace de rencontre et de réflexion ouvert aux cinéastes, aux techniciens et plus largement à toute personne impliquée dans la création documentaire. L’association s’est développée autour d’une double vocation. D’une part, elle mène un travail de défense du documentaire de création, de l’idée à la diffusion de l’œuvre. D’autre part, elle cherche à construire une pensée vivante du cinéma documentaire en permettant la réflexion et l’échange à partir de la pratique.

Contact Addoc
Julien Berthoud
14, rue Alexandre-Parodi 75010 Paris
Tél : +33 (0)1 44 89 99 88
Fax : +33 (0)1 44 89 89 11 

écrire à ADDOC

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http://www.addoc.net

contacter le service de presse


Addoc remercie ses partenaires : Région Île-de-France / Ville de Paris (Label Paris Europe) / Procirep / CNC / SCAM / Goethe-Institut Paris / Maison de l’Europe de Paris / Centre culturel suisse / Centre Wallonie-Bruxelles.
Avec le soutien de : British Council / Filmfunds / Forum culturel autrichien / Institut Finlandais de Paris / Institut Néerlandais de Paris / Institut Slovaque de Paris / Instituto Camoes / Institut Français de Londres / Institut Français d’Istanbul / Ministère des Affaires Etrangères / SCAC de l’Ambassade de France en République Tchèque / Swiss Films / VG Bildkunst

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18e Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis, 9>18 nov 2007

18e Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis
• du 9 au 18 novembre 2007
dans 16 cinémas publics de la Seine-Saint-Denis
avec Jerry Schatzberg, Marianne Faithfull, Michel Polac,
Jacques Nolot, Pierre Rissient…

    Télécharger le calendrier des Rencontres

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    Les 18e Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis se sont déroulées du vendredi 9 au dimanche 18 novembre 2007 dans seize cinémas publics du département.
    Photographe et cinéaste américain, Jerry Schatzberg était l’invité d’honneur de la manifestation, avec au programme, outre la redécouverte de ses films, une master class et de nombreuses rencontres avec le public et les écoliers, alors que deux de ses longs métrages ressortaient sur les écrans français : Panique à Needle Park et L’Epouvantail.
    De Made in Usa (Jean-Luc Godard, 1966) à Irina Palm (Sam Gabarsky, 2007), l’icône Marianne Faithfull a mené, parallèlement à celle de chanteuse, une carrière de comédienne qui a été ici racontée en sept films et une rencontre (le 17 novembre).   
    Bien que son premier long métrage, Un fils unique, ait été couronné en 1969 par le prix Georges-Sadoul, la renommée de romancier, critique littéraire et bretteur télévisuel (“Droit de réponse”) de Michel Polac a pu - injustement - éclipser son œuvre de cinéaste. On a pu la redécouvrir en Seine-Saint-Denis, en une dizaine de films et à l’occasion de plusieurs débats en sa présence.
    Il est considéré comme l’un des plus grands découvreurs de talents du cinéma contemporain : Pierre Rissient était également présent lors de ces Rencontres, avec un des deux films qu’il a réalisés (Cinq et la peau, 1982) et un documentaire américain dont il est le sujet.
    D’autres parcours encore furent proposés, tel celui de l’acteur et réalisateur Jacques Nolot, dont le dernier film, Avant que j’oublie, est actuellement sur les écrans, et même un voyage en bus à la découverte des richesses cinématographiques du département, en compagnie d’un conférencier (10 novembre).
    Un trio de jazz a accompagné deux films de Ernst Lubitsch (La princesse aux huitres, 1919 et La chatte des montagnes, 1921) pour un ciné-concert exceptionnel (16, 17 et 18 novembre), et le jeune public ne fut pas oublié, qui était convié à une ciné-conférence intitulée “Grands méchants, seconds couteaux et quelques vauriens” qui a tenu toutes ses promesses, à un atelier de bruitage et, pour les tout-petits, à savourer un programme spécial de films d’animation.
    Ces Rencontres sont organisées chaque automne par l’association Cinémas 93, grâce au soutien du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, et en partenariat avec les cinémas publics du département.
    CINEMAS 93
    Tél : 01 48 10 21 21 / Fax : 01 48 10 21 20
    87 bis rue de Paris 93100 Montreuil

écrire à Cinémas 93

www.cinemas93.org

Frédéric Borgia
Délégué général
01 48 10 21 23
fredericborgia@cinemas93.org

Amandine Larue
Chargée de développement et des relations extérieures.
01 48 10 21 22
amandinelarue@cinemas93.org

Marie-Pierre Warnault
Secrétaire générale
01 48 10 21 24
mariepierrewarnault@cinemas93.org
   
Caroline Parc
Coordinatrice des activités pédagogiques
01 48 10 21 28
carolineparc@cinemas93.org

Xavier Grizon
Coordinateur des activités pédagogiques, intervenant Collège au Cinéma
01 48 10 21 26
xaviergrizon@cinemas93.org

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Rencontres93_Affiche

 

 

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Clermont-Ferrand 2012 : rencontres professionnelles

Rencontres professionnelles et autres rendez-vous proposés par le 34e Festival International du Court Métrage, à Clermont-Ferrand, du 27 janvier au 4 février 2012.
 
Vendredi 27 janvier au samedi 4 février
Une vision du court
Le travail de recherche et de mémoire sur la communauté vietnamienne d’Auvergne, engagé en 2009, se poursuit cette année grâce à la présence de deux jeunes Vietnamiens, Dao Minh Nguyet et Lê Van Huat, étudiants en cinéma à Ho Chi Minh Ville, qui réaliseront diverses interviews ainsi qu’un reportage sur la manifestation.
Ce projet est mis en place avec le soutien des Régions Poitou-Charentes et Auvergne dans le cadre d’un partenariat entre l’École de théâtre et de cinéma de Ho Chi Minh Ville, le Consulat général de France, le lycée de l’Image et du Son d’Angoulême et Sauve qui peut le court métrage.
 
Samedi 28 janvier au vendredi 3 février
10h00 à 18h00
La Jetée
Centre de documentation
Professionnels, profitez de votre présence à Clermont-Ferrand pour visiter notre centre de documentation consacré au cinéma et au court métrage en particulier. Danielle Comte et Catherine Rougier, documentalistes, auront le plaisir de vous accueillir et de répondre à vos questions.
 
Dimanche 29 janvier au samedi 4 février
9h30 à 13h30
Maison de la culture - Salle Gripel
Ouvert à tous
Expresso
Les “ expresso ” (débats du matin) avec les réalisateurs des films des trois compétitions sont animés par Alain Burosse, Michel Coulombe et Claude Duty. Viennoiseries et café sont offerts.
The “ Espresso ” (morning discussions) with the directors in official competition are led by Alain Burosse, Michel Coulombe and Claude Duty. Coffee and pastries will be served.
Alain Burosse est réalisateur, producteur, plasticien. Michel Coulombe est programmateur et journaliste québécois spécialisé dans le cinéma. Claude Duty est un réalisateur français et animateur spécialisé de débats et rencontres sur le cinéma. Ils animent ces débats respectivement depuis 2003, 2002 et 1983.
 
Lundi 30 janvier
10h00 à 12h00 / 14h00 à 16h30
La Jetée – Salle de projection
Réunion nationale des pôles d’éducation à l’image
Le matin : réunion interne du réseau des pôles.
L’après-midi :
14h00 à 16h15 : table ronde - L’éducation à l’image à l’heure du numérique avec interventions de Vincent Cadilhon, Romuald Beugnon, Maud Ducarre, Emmanuel Guardiola. Modérateur : Jean-Claude Rullier.
16h30 à 18h00 : intervention de Vincenzo Susca, maître de conferences, à l’université de Montpellier, en sociologie de l’imaginaire et chercheur, à la Sorbonne, au Centre d’études sur l’actuel et le quotidian - Comment les paysages électroniques et leurs images se matérialisent dans la vie quotidienne ? Comment influencent-ils notre manière d’être ensemble ? Comment les images contemporaines imprègnent notre sensibilité et notre culture ? Où en est-on de notre imaginaire ?
18h30 : présentation de la boîte à Balbu-Ciné par Jean-Claude Rullier de Poitou-Charentes Cinéma.
 
Lundi 30 janvier
À partir de 14h00
Ecole supérieure d’art Clermont Métropole
Amphithéâtre – 25 rue Kessler
5e Journée Ecoles autour de l‘Insas
Présentation de l’Institut national supérieur des arts du spectacle et des techniques de diffusion de Bruxelles (Insas).
Ouvert à tous.
 
Lundi 30 janvier
18h00
Salle Georges-Conchon
Coup de cœur du court métrage allemand / 7e  édition
Présentation d’un programme “Coup de coeur” de courts métrages sélectionnés parmi les 423 (co) productions allemandes inscrites cette année au festival de Clermont. Fruit d’une coopération franco-allemande (Goethe-Institut de Lyon, AG-Kurzfilm, Kurzfilmagentur Hamburg, German Films, Sauve qui peut le court métrage) cette sélection sera éditée en DVD et présentée lors d’une tournée internationale dans le réseau des Goethe-Instituts.
Une projection à l’intention des classes d’allemand de l’Académie sera également proposée à l’auditorium du CRDP mercredi 1er février à 9h30.
 
Lundi 30 janvier
18h30 à 20h00
Maison de la culture - Salle Gripel
Conférence Internationale
Assemblée annuelle de la Conférence Internationale du Court Métrage.
Non ouvert au public.
 
Lundi 30 janvier au jeudi 2 février
10h00 à 16h00
Marché du film - Espace Forum MEDIA “Rendez-vous”
Gradin N°43
Présentations d’acheteurs et de diffuseurs de courts métrages
Ces rendez-vous vous permettront de prendre connaissance du type de films ou de projets recherchés par les différents acheteurs.
Détail des intervenants sur www.clermont-filmfest.com et sur le guide des professionnels présents.
 
Mardi 31 janvier
9h00 à 13h00
La Jetée – Salle de projection
Réunion nationale des pôles d’éducation à l’image
Etat des lieux et perspectives de l’éducation à l’image en France
Les réseaux et organismes nationaux qui assurent des missions d’éducation artistique au cinéma, à l’audiovisuel, au multimédia, poursuivent des objectifs communs. Selon leurs histoires et leurs spécificités, ils ont développé des actions mettant en jeu des partenariats forts avec de nombreuses institutions locales et nationales.
Comment aujourd’hui tenir compte des enjeux liés aux nouveaux usages des images et des sons ? Comment articuler au mieux les différents niveaux territoriaux en termes de financements et de compétences ? Comment continuer à investir le champ de la formation et de la création des ressources pédagogiques de façon pertinente ? Comment tenir compte des nouvelles problématiques de la diffusion du cinéma ? Faut-il refondre le partenariat avec l’Education nationale sur de nouvelles bases ?
Modérateur : Denis Darroy, directeur du pôle Image Haute-Normandie.
 
Mardi 31 janvier
9h30 à 16h00
Hôtel Holiday Inn Garden Court
59 boulevard François-Mitterrand
Euro Connection
Producteurs, financeurs, diffuseurs et distributeurs découvriront 17 projets de films sélectionnés et des profils de sociétés invitées, dans un but commun : coproduire des courts métrages en Europe. Plus d’infos pp. 197-201.
17 selected film projects and the profiles of invited companies will be presented to attending producers, funders, broadcasters and distributors with a common interest for coproducing short films in Europe. For more info, see pp. 197-201.
Non ouvert au public.
 
Mardi 31 janvier
10h00 à 14h00
Film France
Brunch des régions.
Sur invitation, ouvert aux réalisateurs et aux producteurs.
Inscriptions : rsvp@filmfrance.net - 01 53 83 98 98
 
Mardi 31 janvier
15h00 à 18h00
Maison de la culture
Film France
Réunion du réseau des commissions du film.
Non ouvert au public.
 
Mardi 31 janvier
19h00
Maison de la culture - Salle Gripel
La dynamique cinéma en Auvergne
Présentation du studio d’animation et d’effets spéciaux Autour du Volcan créé à Clermont-Ferrand par la société Autour de Minuit (Oscar 2010 et César 2011 avec Logorama), en partenariat avec la société clermontoise Allegorithmic (création de substances et textures virtuelles). Présentation de la grappe d’entreprises Le Damier (Musique et Audiovisuel en Auvergne).
Rencontre organisée par Le Transfo et Sauve qui peut le court métrage, en partenariat avec le Damier et le Conseil régional d’Auvergne.
RSVP : romain.bard@letransfo.fr – 04 73 28 83 47
 
Mardi 31 janvier et mercredi 1er février
8h30 à 17h30
Maison des Sciences de l’Homme (MSH)
Amphithéâtre n° 219 - 4 rue Ledru
Alexander Kluge et la France - Pour une levée en masse de la narration
Organisé par le CELIS (Université Blaise Pascal / MSH), ce colloque interdisciplinaire réunira différents chercheurs autour de l’œuvre filmique et littéraire d’Alexander Kluge auquel le festival rend également hommage cette année (voir p. 157).
Marianne & Germania (2010 / 51’/ sous-titres français) sera projeté le mercredi 1er février à 14h00 à la MSH, suivi d’une conférence sur le film et d’une table ronde conclusive en présence des intervenants du colloque.
www.univ-bpclermont.fr/celis/
Ouvert au public. Entrée libre.
 
Mardi 31 janvier au jeudi 2 février
12h00 à 14h00
Bibliothèque des Sciences et Techniques
Salle Marie-Curie
Campus des Cézeaux
Rencontres avec des réalisateurs
Des films seront projetés à la bibliothèque à partir du lundi 23 janvier jusqu’au 10 février. Les 31 janvier, 1er et 2 février, projection des films à 12h00, suivie d’une discussion avec le(s) réalisateur(s).
 
Mardi 31 janvier au vendredi 3 février
18h00 à 20h00
Hôtel Océania
Bar des réalisateurs
Rencontres avec les réalisateurs. Organisation : SRF.
 
Mercredi 1er février
10h00 à 17h00
La Jetée
Film France
Réunion du réseau des commissions du film.
Non ouvert au public.
 
Mercredi 1er février
14h00 à 16h00
La Jetée – Salle de projection
L’affiche cubaine
Intervention de Régis Léger,  graphiste, qui prépare un livre sur le sujet.
Entrée libre.
 
Mercredi 1er février
15h00 à 16h00
Maison de la culture - Salle Gripel
Fonds de soutiens territoriaux
Tendances 2011 des fonds de soutiens territoriaux au cinéma et à l’audiovisuel. CICLIC (ex-Centre Images) présentera les chiffres-clefs, les évolutions marquantes et les moyennes d’aide aux projets des collectivités françaises en 2011. Ce focus se fera en avant-première de la parution du guide 2012 “Soutiens à la production cinématographique et audiovisuelle : régions, départements et villes”, édité par CICLIC, avec le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée (accès gratuit sur www.ciclic.fr à partir du 31 janvier 2012).
Entrée libre.
 
Mercredi 1er février
16h30 à 18h00
Maison de la culture - Salle Gripel
La coproduction en Europe
Tour de table entre producteurs et fonds européens, à l’initiative du SPI.
Non ouvert au public.
 
Mercredi 1er février
17h00 à 20h00
Ecole d’architecture – L’Atelier
71 boulevard Cote-Blatin
Producteurs / étudiants
Rencontre producteurs / étudiants en écoles de cinéma.
Non ouvert au public.
 
Jeudi 2 février
10H00 à 12H00
La Jetée – Salle de projection
Le Jour le plus Court
Le court métrage en 2010
Bilan du 21 décembre 2011 et présentation de l’étude du CNC sur le court métrage en 2010, production et diffusion.
 
Jeudi 2 février
10h30 à 12h30
La Jetée – Centre de documentation
Fonds d’aide à la production
Réunion du réseau des Fonds d’aide à la production.
Non ouvert au public.
 
Jeudi 2 février
16h00 à 19h00
Maison de la culture - Salle Gripel
Agences européennes
1re Assemblée générale du réseau des agences européennes « Short Circuit ».
Non ouvert au public.
 
Jeudi 2 février
18h00 à 20h00
Salle Georges-Conchon
Passages clermontois
Un programme carte blanche à Claude Duty à l’occasion de ses trente ans de présence au festival de Clermont-Ferrand que ce soit comme réalisateur, animateur-débats ou, tout simplement, comme grand supporter du court métrage.
 
Vendredi 3 février
10h00 à 11h30
Marché du film – Espace Forum
Zoom sur mon premier contrat
Rendez-vous d’information pour les nouveaux auteurs. Intervention de Marie Armelle Imbault, juriste négociateur à la SACD : les grands principes du droit d’auteur, points fondamentaux des contrats de cession des droits d’auteur, questions/réponses avec le public.
 
Vendredi 3 février
10h00 à 12h00
La Jetée – Salle de réunion
APACIMAC
Réunion du réseau des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel du Massif Central.
Non ouvert au public.
 
Vendredi 3 février
14h00 à 16h30
Maison de la culture - Salle Gripel
Le cinéma à Cuba aujourd’hui
Rencontre avec les réalisateurs cubains invités.
Ouvert au public. Entrée libre.
(sous réserve de confirmation)
 
Vendredi 3 février
15h00
Collège Molière - Beaumont
Rencontre avec Anaïs Caura et Bulle Tronel
En partenariat avec la mairie de Beaumont et le collège Molière, Anaïs Caura et Bulle Tronel, réalisatrices de How Fear Came (Comment vint la crainte),  film français sélectionné en compétition nationale et programme scolaire, rencontreront les élèves de Véronique Archon-Bassot dans leur établissement.
 
Vendredi 3 février
17h00 à 19h00
Maison de la culture - Salle Gripel
Mise en scène du relief
Continuités et ruptures entre le cinéma et la stéréoscopie. La 3DS peut-elle devenir un art à part entière entre le cinéma et le relief holographique de demain ? Intervenant : Yves Pupulin de la société Binocle 3D /www.binocle.com
Public concerné : réalisateurs.
 
Vendredi 3 février
18h00
IADT (Institut d’Auvergne du Développement des Territoires)
57 boulevard François-Mitterrand
Nikon
Conférence démonstration Nikon.
 

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Résonances, au Magic Cinéma (Bobigny) du 17 au 24 octobre 2007

Résonances  7e Rencontres du Cinéma Citoyen
Exister / Résister
• Du 17 au 24 Octobre 2007 au Magic Cinéma de Bobigny (Seine-Saint-Denis)

L’Art naît de la résistance (André Gide)


Exister, Résister, la septième édition de Résonances, festival de l’engagement et de la citoyenneté, aborde des questions aussi primordiales que le respect des minorités ethniques, la lutte contre les lois injustes, les gouvernements totalitaires, la survie face au conflit. Mais également la lutte pour la dignité, la démocratie et la justice sociale. Et quelles que soient les formes que prennent ces combats, toutes les actions convergent vers un seul et même objectif : un avenir meilleur pour les générations futures.

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> Films inédits, avant-premières,  documentaires, fictions, courts métrages
> Invité d’honneur : René Vautier, l’homme à la Caméra Rouge
> Rencontres : Hanna Schygulla, Ramadan Suleman, Gérard Mordillat, Carmen Castillo, Laurent Salgues,  Jean-Michel Carré…

Co-production Ville de Bobigny –   Conseil général de la Seine-Saint-Denis
En partenariat avec les associations de Bobigny
Coordination > Virginie Pouchard 01 41 60 12 35 / virginie.pouchard @magic-cinema.fr
Relations publiques > Séverine Kandelman 01 41 60 12 33 / severine.kandelman@magic-cinema.fr
Attaché de presse > Jean-Bernard Emery 01 55 79 03 43 / 06 03 45 41 84 /jb.emery@cinepresscontact.com
Magic cinéma - Rue du Chemin Vert - 93000 Bobigny  Téléphone > 01 41 60 1234  / Télécopie > 01 41 60 12 36
www.magic-cinema.fr

Résonances07_Affiche
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30e Festival International du Court Métrage, Clermont-Ferrand 1-9 fév 2008

30e Festival International du Court Métrage
Clermont-Ferrand (63)
•Du 1er au 9 février 2008

»»»»> Cliquer ici pour découvrir le palmarès du 30e Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand (1>9 fév 2008)

23e Marché du Film Court
•Du 2 au 8 février 2008

»Pour lire le journal quotidien du 30e Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand (1>9 février 2008), cliquer .


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Bureaux du Festival :
La Jetée
6 place Michel-de-L'Hospital
63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
Tél : 33 (0)4 73 91 65 73
Fax : 33 (0)4 73 92 11 93
info@clermont-filmfest.com
www.clermont-filmfest.com


contacter le service de presse

Le Festival International du Court Métrage de Clermont-Ferrand fêtera son 30e anniversaire du vendredi 1er au samedi 9 février 2008, le Marché du Film Court, 23e du nom, accueillant, à deux pas des salles, les professionnels du secteur du 2 au 8.

30 ans : joyeux anniversaire ! ou Les Trentièmes Rugissants

En trente ans, le Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand a vu passer plus de deux millions de spectateurs, des milliers de films, des centaines de cinéastes, onze ministres de la culture, huit directeurs du Centre National de la Cinématographie et un enthousiasme sans égal pour le film court.

Ce trentième anniversaire sera donc l’occasion de manifestations particulières pour rappeler le chemin parcouru, pour continuer à prospecter pour le futur du cinéma et, enfin, pour célébrer cette cinéphilie si propre au court métrage.

Au programme, une séance d’ouverture consacrée au cinéma en relief. Un spectacle qui nous sera présenté et accompagné au piano par Serge Bromberg, célèbre collectionneur et créateur des séances Retour de Flamme. Dans la semaine place aux historiens, critiques et autres personnes engagées dans le court métrage, avec un colloque international à la Jetée. Egalement un coup de chapeau au public avec un programme de courts métrages couronnés par la « vox populi ».

Côté éditions : un double dvd viendra (enfin) répondre aux attentes, reprenant justement quelques Prix du public sur une des galettes et sur l’autre des films aux lauriers d’une autre couleur ou tout simplement remarqués. Et puis dans une sortie prévue au printemps 2008, un ouvrage (environ 300 pages) viendra nous conter la belle histoire du court métrage à Clermont-Ferrand.

• • •

Issu d’un ciné-club étudiant, le grand rendez-vous mondial du film court, où furent révélés tant de cinéastes, comédiens, techniciens ou producteurs depuis la fin des années 70, propose trois compétitions (internationale, labo, nationale) ouvertes à tous les supports (argentique ou numérique) comme à tous les genres (fiction, animation, documentaire, expérimental…), pour rendre compte au plus près de la diversité et de la vitalité du jeune cinéma international, tel qu’il s’exprime en moins de 60 minutes.

Rétrospectives et programmes parallèles complètent ce festin — c'est l'Asie du Sud-Est qui sera cette année à l'honneur, cependant que la traditionnelle rétrospective décalée sera consacrée aux chiens — et un Marché, sans équivalent au monde, réunit les professionnels du film court.

Autre section désormais indispensable, celle des clips, une sélection éclectique et internationale de créations musicales récentes.
Chaque année, Clermont donne carte blanche à une société de production : c’est "Château-Rouge” qui aura la main en février ; et à une école : l’occasion d’un regard sur dix ans de réalisations animées au sein de l’ENSAD.


Dans les salles également une vitrine des programmes distribués en France, des sélections spéciales pour les enfants et les scolaires, et la fameuse Collection de Canal + : des courts métrages écrits cette fois-ci pour des chanteurs. Quant à la section des courts métrages produits en régions, elle sera cette année le lieu d’un autre anniversaire : les dix ans de la Commission du Film Auvergne.

Depuis 1990, “Regards d’Afrique” regroupe les derniers meilleurs courts métrages africains francophones.

De nombreux événements prendront place entre les séances : un colloque, donc, pour tenter de faire un point sur 30 ans de court métrage, mais aussi plusieurs rendez-vous autour de la musique originale et le film court.

Passerelle ouverte entre le public et les écoles de cinéma, l’'Atelier, dont c’est la cinquième édition et qui s'est imposé comme un des hauts lieux de la semaine clermontoise, sera installé dans l'enceinte de l'Ecole d'Architecture.


En compétition ou rétrospectifs, les courts métrages sont réunis en programmes d’environ 1h30, multidiffusés tout au long de la semaine dans une dizaine de salles, dont la plus importante accueille 1500 spectateurs. Tous les réalisateurs sont invités.
La grande fête annuelle du court métrage est aussi l'occasion de nombreuses animations dans la ville volcanique (concerts, expositions, soirées spéciales…), de nouveaux lieux s’ouvrant chaque année aux nuits clermontoises…

Plus de cent trente mille spectateurs se pressent chaque année dans les salles du Festival de Clermont-Ferrand et près de trois mille professionnels devraient être accrédités en 2008.


COMPETITIONS

Tous les palmarès du festival de Clermont-Ferrand
[Il n'y a pas eu de compétition les trois premières années : 1979, 80 et 81]

Compétition internationale
Chefs-d’œuvre de l’animation, comédies, réalités contemporaines, films de genre, travaux de fin d’études des meilleures écoles du monde : la sélection qui compose les quatorze programmes de cette compétition rapproche et confronte les univers de cinéastes de tous les horizons. Bien plus qu’un rapide tour du monde, ces 75 films issus d’une cinquantaine de pays nous offrent une formidable plongée, les yeux grand ouverts, dans le bain rafraîchissant de la jeune création cinématographique.
Le détail de la sélection

 

Compétition française
La production est toujours aussi importante : plus de 1300 films inscrits pour la compétition 2008. En présentant cette année, en toute indépendance, 59 films français en compétition, le festival de Clermont-Ferrand demeure le seul lieu qui rende compte véritablement du jeune cinéma français dans toute sa diversité. Renouvellement permanent, découvertes de créateurs (tous métiers du cinéma confondus), tels sont les maîtres mots du court métrage français à Clermont-Ferrand. Moins de films cette année, car plus longs…
Le détail de la sélection

 

Compétition Labo
La compétition Labo s’affirme comme un terrain d’exploration riche en aventures visuelles innovantes et inédites. Croisements inattendus, regards fascinants, art consommé du risque, le Labo clermontois, à l'affût de toutes les expériences, ouvre depuis 7 ans les portes d’un fantastique déploiement des imaginaires. A noter, une très forte présence anglaise cette année (11 films sur 42).
La prestigieuse Tabacalera de San Sebastian (Espagne) reprendra les cinq programmes de la compétition Labo 2008. Un catalogue spécifique sera édité à cette occasion, auquel contribueront plusieurs personnalités du cinéma espagnol.
Le détail de la sélection

Ils seront à Clermont…

Plusieurs cinéastes ou comédiens passés par Clermont-Ferrand au cours de ces trente années seront présents à l’ouverture du Festival : Manuel Poirier, Mathieu Kassovitz, Gérard Krawczyk ont ainsi annoncé leur venue. D’autres réponses sont attendues.

Daniel Duval, Alain Guiraudie, Christophe Barratier et Jean-Pascal Hattu viendront souffler les dix bougies de la Commission du Film Auvergne, qui a accueilli leurs tournages.

Accompagnant les films de la Collection de Canal + "Ecrire pour un chanteur", Matthieu Boogaerts (également juré), Alain Chamfort, Jeanne Cherhal, Oxmo Puccino et, sous réserve, Rachid Taha seront également de la fête (projection à Clermont le 7 février).

Et voici la composition des trois jurys :

>International

Martin Dubreuil, acteur québécois
Teboho Mahlatsi, cinéaste sud-africain
Amir Muhammad, cinéaste malais
Koldo Zuazua, producteur espagnol

>Labo
Annick Rivoire, journaliste française
Royston Tan, cinéaste singapourien
Laura Waddington, cinéaste britannique

>National
Danielle Arbid, cinéaste
Mathieu Boogaerts, musicien
Souad El Bouhati, cinéaste
Martin Jarrie, graphiste
Jacques Mitsch, cinéaste


RETROSPECTIVES ET PROGRAMMES SPECIAUX

Asie du Sud-Est
Six programmes pour découvrir le dynamisme et la créativité des auteurs de Thaïlande, Singapour, Malaisie, Philippines, Indonésie, Vietnam.

Les chiens
Trois programmes de courts où sont allés se nicher les canidés.

Prix du Public
Pour fêter le 30e anniversaire du Festival, petit tour d'horizon de films primés par le public.

Carte blanche à Château-Rouge Production
Films choisis par le producteur lauréat du Prix Procirep 2006.

Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (ENSAD)
Regard sur dix ans de réalisations animées au sein de l'ENSAD.

Films en région / 10 ans de la Commission du Film Auvergne
Courts métrages tournés et aidés en régions avec, cette année, un programme spécifique sur les films aidés par la Commission du Film Auvergne.

Regards d'Afrique
L'actualité du court métrage africain francophone.

Clips
A la découverte de créations musicales éclectiques et surprenantes.

Distributeurs
Une sélection des derniers programmes de courts métrages ayant connu une diffusion commerciale dans l'année.

Scolaires
Des études de scénarios, un programme de courts et des rencontres avec les réalisateurs.

Ecoles, enfants
Différents programmes spéciaux pour les enfants.

23e MARCHÉ DU FILM COURT

La vidéothèque Marché
L’intégralité des films inscrits au Marché consultable sur 35 terminaux grâce au serveur vidéo de Clermont-Ferrand.

Le catalogue Marché
5600 films, tous les contacts : c’est la bible annuelle du court métrage. Trois versions du catalogue : Internet, interactive et papier.

Espace Exposants
1000 m2 d’exposition où des dizaines d'organismes mettent en valeur leurs activités, présentent leur catalogue, nouent des contacts, préparent leurs prochaines productions.

Les programmes Marché
La vitrine idéale des nouvelles collections de films, dernières productions ou acquisitions.

Terminal Vidéo
Pour promouvoir sur les stands les films représentés, ou encore disposer d’un accès à tous les films de la vidéothèque (environ 4000).

Un guide des professionnels présents
La liste des quelque 3000 participants, avec leur hôtel, leurs dates de séjour et un numéro de casier pour les contacter sur place.

Le plateau MEDIA Rendez Vous
Au cœur du Marché, un secrétariat assiste gratuitement les professionnels dans leurs prises de rendez-vous.

Des rencontres professionnelles
Présentations publiques par des professionnels très demandés : Canal+, Arte (France), TPS, France 2, France 3, TV Man Union (Japon), SBS (Australie)…
Financement, avancées technologiques, expériences et savoir-faire font l’objet de tables rondes, forums ou ateliers.

En 2007, étaient présents à Clermont-Ferrand 65 représentants de chaînes de télévision, 72 distributeurs, 18 éditeurs vidéo, 8 diffuseurs VOD, 392 représentants de festivals français et internationaux.
56 organismes avaient pris place sur l'espace Exposants.

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19e Théâtres au Cinéma : Jarman - Cocteau 28 mars > 13 avril 2008

Après Glauber Rocha en 2005, Robert Kramer en 2006 et Serguei Paradjanov en 2007, la 19e édition du Festival « Théâtres au cinéma » sera consacrée, du 28 mars au 13 avril 2008 au Magic Cinéma de Bobigny (Seine-Saint-Denis), à Derek Jarman, réalisateur britannique, iconoclaste, excentrique, peintre et décorateur, et à Jean Cocteau, cinéaste, poète et auteur de théâtre.

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[Lire l'article de Gérard Lefort paru dans Libération, le 26 mars 2008]

 

 

Intégrale Derek Jarman
Dans les années 70, être citoyen britannique était déjà, en soi, un certificat d'excentricité. Londres ressemblait alors à un asile à ciel ouvert, et Derek Jarman était - de loin - le plus fou de la bande. Il tourne des films en latin, dessine des costumes pour l'Opéra de Londres, écrit des poèmes sur «la couleur bleue», se déguise en Drag-queen avant l'heure, manage un groupe de rock à Hongkong ou encore peint des toiles. C'est la star de l'underground, le maître du postpunk. Mort du sida à 52 ans, en 1994, ce farceur de génie nous laisse un testament cinématographique incomparable. Biographie : Michael Derek Elworthy Jarman naît le 31 janvier 1942, à Northwood dans la région du Middlesex, en Angleterre. Dans les années soixante, Derek étudie la peinture à la Slade School of Fine Arts puis décroche ses premiers contrats comme décorateur pour plusieurs opéras du Royal Ballet. En 1970, il travaille sur les décors du film «Les diables» pour Ken Russell et collabore aussi à la production. Fasciné par les techniques cinématographiques, il participe au montage financier du «Messie sauvage» (1972) toujours de Russell. Parallèlement, Derek se fait la main en réalisant des courts-métrages, des films publicitaires, des clips en super-huit et des vidéos. En 1975, il coréalise, avec Paul Humfress, «Sebastiane», une œuvre sulfureuse qui fantasme sur la vie supposée de Saint-Sébastien, en mélangeant d’une façon très iconoclaste la religion à la sexualité. Le film fait scandale mais apparaît comme un véritable hymne au corps masculin et devient très vite une oeuvre culte pour la gay community. En 1977, il récidive en solo avec «Jubilee» avec Ian Charleson, un étrange voyage entre le sexe et la drogue sur une musique punk-rock. Deux ans plus tard, il revisite très librement «The tempest», la pièce de William Shakespeare. Au cours des quinze années suivantes, le travail de Derek Jarman est sans compromis et illustre parfaitement le mouvement homosexuel, alors en pleine affirmation. Parmi ses réalisations les plus marquantes, nous pouvons citer: «Caravaggio» (1986) avec Dexter Fletcher, biographie anti-conventionnelle et hallucinée du célèbre artiste italien; «The last of England» (1987) avec Nigel Terry, un poème beau et déroutant, portrait pessimiste de l’Angleterre et «War Requiem» (1988) avec Laurence Olivier, un réquisitoire contre la guerre. Ses films présentés dans des festivals récoltent de nombreux prix. En 1986, il apprend sa séropositivité. Il se retire dans une petite maison de pêcheur, dans le Kent et se consacre au jardinage lorsque qu’il ne tourne pas. En 1987, il participe à l’œuvre collective «Aria», aux côtés de réalisateurs aussi prestigieux que Jean-Luc Godard, Bruce Beresford et Robert Altman.
Dans les années quatre-vingt-dix, Derek dépeint toujours avec provocation la société anglaise, à travers sa préoccupation récurrente du fait homosexuel. Dans «The garden» (1990) il s’attaque de nouveau au christianisme en faisant une relecture très personnelle de la Passion du Christ au travers d’un couple d’homosexuels. Dans «Edward II» (1991) il relate les amours du roi et de son favori, contrariées par la reine Isabelle, incarnée par Tilda Swinton, son amie et actrice fétiche. Tournage « Edward II » «Wittgenstein» (1992) est une biographie érotique du philosophe autrichien mort à Cambridge. Enfin il fait avec «Blue» (1993) son autoportrait face au SIDA et à sa mort annoncée. Tilda Swinton lui donne la réplique. En 1994, Jarman presque aveugle, trouve la force de monter son dernier film «Glitterburg» (1994), un documentaire d’une heure, d’images inédites de sa vie et de ses tournages. Très affaibli par des complications liées à sa maladie, il décède le 19 février 1994, à Londres. Il est désormais considéré comme l’un des grands cinéastes britanniques du vingtième siècle. [Biographie signée Philippe Pelletier]

Filmographie/programmation :

Longs métrages :

Sebastiane (1976) Jubilee (1977) The tempest (1979) In the shadow of the sun (1974-1980) The Angelic Conversation (1985) Caravaggio (1986) Ours d’Argent, Festival international de Berlin Aria / Épisode : Depuis le Jour (1987) The Last of England (1987) Prix FRIPESCI et Teddy du meilleur film prometteur Forum du nouveau cinéma au Festival de Berlin War Requiem (1988) avec Laurence Olivier The Garden (1990) avec Tilda Swinton Edward II (1991) avec Nigel Terry Wittgenstein (1993) Teddy du meilleur film prometteur au festival de Berlin Blue (1993) Meilleur nouveau film britannique au Festival international du cinéma de Edimbourg / Mention spéciale au Festival du cinéma de Stockholm Glitterburg (1994)

Courts métrages :

Studio bankside (1970) A journey to Avebury (1971) Miss Gaby (1971-1972) Tarots (1972) Garden of Luxor (1972) Asholen’ walk on møn (1972) Stolen apples for Karen Blixen (1973) Burning the pyramids/The art of mirrors (1973) Andrew Logan’s miss world (1973) Duggie’s fields (1974) Fire island (1974) Sloane square (1974-1976) Sulphur (1975) Sebastiane wrap (1975) Gerald's Film (1976) Psychic rally in heaven (1980) Pirate Tape / W.S. Burroughs Film (1982) B2 Tape (1983) Home movie Dong (1983) Imagining October (1984) The dream machine (1984) Clips vidéos : Pet Shop Boys : It’s a sin, Rent & Projection The Smiths : The queen is dead Marianne Faithfull : Broken English Patti Smith, Suede, Pet Shop Boys, Bob Geldof, etc. : programme de 75 min de clips, réalisés entre 1986 et 1993

Autour de Jarman :

Les diables de Ken Russel (1971) Cinematon n°105 de Gérard Courant (1978) Ostia de Julian Cole (1986) Derek Jarman: life as art de Andy Kimpton-Nye (2004) Life as art de Isaac Julian (2008)

Hommage à Jean Cocteau

« Si j’écris je dérange. Si je tourne un film, je dérange. Si je peins, je dérange. Si je montre ma peinture, je dérange et je dérange si je ne la montre pas. J’ai la faculté de dérangement. Je m’y résigne, car j’aimerais convaincre. Je dérangerai après ma mort. »
Jean Cocteau, Journal d’un inconnu

"De tous ses contemporains, Jean Cocteau m’apparaît être le plus seul et le plus isolé, et parce qu’il ne s’est jamais prétendu seul. […] Ne pouvant regarder qu’au-delà de lui, il passait pour fugace parce qu’il allait si vite qu’il n’avait pas le temps de s’arrêter. C’est pourquoi il parut tout toucher parce qu’il voulait tout saisir. C’est pourquoi il passa pour un illusionniste et un prestidigitateur parce qu’il voulait tout comprendre. C’est pourquoi il passa pour frivole pour s’être détourné, dès « le Potomak », de tous les faux-semblants et que le néant lui fût indispensable pour se libérer de la société dont il était sorti. C’est pourquoi il passa pour un snob parce qu’il lui était impossible de ne pas découvrir, et qu’il ne pouvait s’empêcher, comme l’enfant, de faire admirer ses découvertes. D’où sa cruauté et sa civilité, ses bontés et ses indifférences ; d’où le masque, qu’il parut porter aux yeux de tous, alors qu’il allait nu." Henri Langlois, Trois cents ans de cinéma, 1972

Biographie : Jean Cocteau est né à Maisons-Laffitte dans une famille bourgeoise de Paris. Son père, avocat et peintre amateur, se suicida lorsque Cocteau avait dix ans. Dès l'âge de quinze ans, Cocteau quitte le cocon familial. Il ne manifeste que peu d'intérêt pour les études et n'obtiendra pas son baccalauréat. En dépit de ses œuvres littéraires et de ses talents artistiques, Cocteau insistait sur le fait qu'il était avant tout un poète et que tout travail était poétique. Il publie son premier livre de poèmes, La Lampe d'Aladin, à 19 ans. Cocteau devint alors connu, dans les cercles artistiques bohémiens, comme le ''prince frivole''. C'est sous ce titre qu'il publiera à 21 ans, en 1910, son second recueil de poèmes. Dans les années 1920, Cocteau s'associe avec Marcel Proust, André Gide, et Maurice Barrès. Il est également fasciné par le maître des ballets russes, Serge de Diaghilev. De sa collaboration avec l'artiste russe nait Parade, ballet produit en 1917 par Diaghilev, avec des décors de Pablo Picasso et une musique composée par Erik Satie. Cette oeuvre va inspirer à Apollinaire le néologisme de surréalisme, repris ensuite par André Breton et Philippe Soupault pour la création du mouvement culturel que l'on sait. Cocteau a une grande influence sur le travail des autres, dans le groupe même composé par ses amis : "Les Six". En 1918, il rencontre le poète Raymond Radiguet. En admiration devant le grand travail littéraire de Radiguet, Cocteau promut les travaux de son ami dans son cercle artistique et s'arrangea pour faire publier par Grasset Le Diable au corps (une histoire en grande partie autobiographique sur le rapport adultère entre une femme mariée et un homme plus jeune), exerçant son influence pour recueillir le prix littéraire du "Nouveau Monde" pour le roman. La réaction de Cocteau à la mort soudaine de Radiguet en 1923 crée un désaccord avec certains proches qui déclarent qu'il l'a laissé désespéré, découragé et en proie à l'opium. Dans les années 1930, Cocteau aurait eu une liaison avec la princesse Nathalie Paley, et ensuite une relation sentimentale de longue durée avec deux acteurs français, Jean Marais et Edouard Dermit, ce dernier officiellement adopté par Cocteau.
En 1940, Le Bel Indifférent, pièce de Cocteau écrite pour Édith Piaf, fut un énorme succès. Il travailla également avec Picasso sur plusieurs projets, fut l'ami de la majeure partie de la communauté européenne des artistes et lutta contre son penchant pour l'opium durant la plus grande partie de sa vie d'adulte. Alors qu'il était ouvertement homosexuel, il eut quelques aventures brèves et compliquées avec des femmes. Son travail recèle de nombreuses critiques contre l'homophonie. En apprenant le décès de son amie Édith Piaf, Cocteau est pris d'une crise d'étouffement. Il succombera quelques heures plus tard d’une crise cardiaque dans sa demeure de Milly-laForêt le 11 octobre 1963 à 74 ans.

Filmographie/programmation :

Longs métrages :

• en tant que réalisateur : La belle et la bête (1946) L’aigle à deux têtes (1947) Les parents terribles (1948) Orphée (1949) Le testament d’Orphée (1960)

• en tant que scénariste : L’éternel retour de Jean Delannoy (1943) Ruy Blas de Pierre Billon (1947) Les enfants terribles de Jean Pierre Melville (1949)

• en tant qu’auteur de l’œuvre originale : L’amore de Roberto Rossellini (1947) Thomas l’imposteur de Georges Franju (1964) Le mystère d’Oberwald de Michelangelo Antonioni (1980) La voix humaine de Dominique Delouche (1984)

• en tant que dialoguiste : La comédie du bonheur de Marcel L’Herbier (1940) Le baron fantôme de Serge de Poligny (1942) Les dames du Bois de Boulogne de Robert Bresson (1944) La princesse de Clèves de Jean Delannoy (1960)

• en tant qu’auteur du commentaire : Les noces de sable d’André Zwobada (1948)

• en tant qu’interprète : Traité de bave et d’éternité d’Isidore Isou (1950) Une mélodie, quatre peintres d’Herbert Seggelke (1954) 8x8 d’Hans Richter (1956)

Courts métrages :

• en tant que réalisateur & scénariste : Le sang d’un poète (1930) Coriolan (1950) La villa Santo-Sospir (1951)

• en tant qu’auteur de l’œuvre originale : Le bel indifférent de Jacques Demy (1958) Charlotte et son Jules de Jean-Luc Godard (1958) Anna, la bonne de Claude Jutra (1951) La dame de Monte-Carlo de Dominique Delouche (1979)

• en tant qu’auteur du commentaire : Légende de Sainte Ursule de Luciano Emmer et Enrico Gras (1948) La Norvège sans les Vikings d’Edwige Feuillère (1948) Venise et ses amants de Luciano Emmer et Enrico Gras (1948) L’amitié noire de François Villiers et Germaine Krull (1949) Tennis de Marcel Martin (1949) Le rouge est mis d’Hubert Knapp et Igor Barrère (1953) Pantomimes de Paul Paviot (1954) Egypte O Egypte : dans ce jardin atroce de Jacques Brissot (1963)

• en tant qu’interprète : Désordre de Jacques Baratier (1947) Le musée Grévin de Jacques Demy (1959)

Les invités du Festival


Autour de Derek Jarman : − Keith Collins, collaborateur de Derek Jarman − Tony Peake, biographe de Derek Jarman − James Mac Kay, collaborateur, producteur de Derek Jarman − Isaac Julien, réalisateur, auteur d’un documentaire sur Derek Jarman( sous réserve) − Christopher Hobbs, décorateur − Didier Roth-Bettoni, journaliste et critique de cinéma Invitée d’honneur pour la soirée de clôture − Tilda Swinton, comédienne

Autour de Jean Cocteau : − Pierre Bergé, Président du Comité Cocteau − Dominique Païni, critique, Commissaire de l’exposition sur Cocteau en 2003 au Centre Georges Pompidou − Claude Arnaud, biographe de Jean Cocteau − René Gilson, réalisateur et auteur de Jean Cocteau cinéaste − Claude Pinoteau, réalisateur, assistant de Jean Cocteau − Jean-Charles Tachella, réalisateur, co-fondateur du Festival du film maudit avec Jean Cocteau − Jacques Brissot, réalisateur de Egypte O Egypte − Serge Bozon, réalisateur − Emmanuelle Riva, actrice (sous réserve) − Juliette Gréco, actrice (sous réserve)

Coproduction Magic Cinéma – Ville de Bobigny – Conseil général de la Seine-Saint-Denis Avec le soutien de la Drac Île-de-France, le Conseil régional le Comité Cocteau et le British Council

Magic Cinéma
Rue du Chemin Vert - 93000 Bobigny
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Séverine Kandelman 01 41 60 12 38 / severine.kandelman@magic-cinema.fr
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L'ACID au 61e Festival de Cannes, 15-23 mai 2008

L’ACID au 61e Festival de Cannes.
•15 > 23 mai 2008
La programmation des cinéastes.

Du 15 au 23 mai, l’ACID fera entendre pour la quinzième année sa petite musique indé à Cannes.
Les cinéastes qui animent tout au long de l’année l’Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion proposeront 9 longs métrages internationaux, pour la plupart encore sans distributeur français, au Cinéma Les Arcades et au Studio 13.
Depuis 1994, cette programmation d’œuvres de fiction et documentaires, choix des cinéastes, est ouverte aux professionnels comme au grand public, et les projections sont suivies de rencontres avec les réalisateurs.
Soucieuse du devenir des films après Cannes, l’ACID les propose ensuite à d’autres festivals et distributeurs, et les accompagne lors de leur exploitation.
La grande majorité des films présentés à Cannes en 2007 par l’ACID ont ainsi trouvé le chemin des salles : L’homme qui marche (Aurélia Georges), Rêves de poussière (Laurent Salgues), La Part Animale (Sébastien Jaudeau), ou s’apprêtent à sortir : Combalimon (Raphaël Mathié), Les ballets de ci de là (Alain Platel), Prisonniers de Beckett (Michka Saäl), So long my heart ! (Oliver Paulus et Stefan Hillebrand) et Des trous dans la tête (Guy Maddin).
Et, à leur tour, Aurélia Georges, Laurent Salgues, Sébastien Jaudeau et Raphaël Mathié sont venus grossir les rangs des cinéastes occupés aujourd’hui à concocter la programmation ACID de Cannes 2008.
Comme l’an dernier, cette programmation sera reprise à l’automne à Paris et dans toute l’Ile-de-France, ainsi que pour la première fois en Italie et dans le sud de la France.
“Notre programmation, liée à l’engagement de plusieurs cinéastes pour le film d’un autre cinéaste, reflète nos coups de cœur et nos besoins de diversité cinématographique, sans chercher à les mettre en concurrence. Nos regards, nos sensibilités se sont démultipliés pour vous montrer des films que nous aimons avec un seul objectif : vous communiquer notre enthousiasme ! Solidaires d’un cinéma du risque et de la liberté, nos choix prennent des chemins de traverse à la rencontre d’histoires, de parcours originaux, ou tout simplement de styles.” [Les cinéastes de l’ACID]

L’affiche est signée Willem !

Au jour le jour, les critiques de Christophe Kantcheff et Ingrid Merckx (Politis)

PROGRAMMATION ACID CANNES 2008
LONGS MÉTRAGES
En présence de leurs réalisateurs

>Jeudi 15 mai, au cinéma Les Arcades (20h)
>Samedi 24 mai, au Studio 13 (11h)
10 + 4, de Mania Akbari
(Iran, 2007, 1h17, numérque, 2e long métrage)
Lire l’article de Jean Roy dans L’Humanité
•Avec Mania Akbari, Amin Maher, Behnaz Jafari, Roya Akbari, Mina Hamidi, Maedeh Tahmasebi, Bahareh Mosadeghiyan, Jinous Azadegan, Ramin Rastad.
—synopsis
L’actrice de Ten (Abbas Kiarostami) met en scène sa propre histoire dans un film qui, malgré son sujet (elle est atteinte du cancer), respire la vie, la liberté et questionne la place de la femme dans la société iranienne.
The actress of Ten (Abbas Kiarostami) stages her own story in a movie full of life and freedom, despite its subject (she has cancer). She also questions the role and place of women in Iran contemporary society.
—production
Sheherazad Media International
—filmographie
LM 2004 / 20 fingers /

>Vendredi 16 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
TRANS# : WORKING TITLE, de Jin
(France / Corée du Sud, 2008, 1h13, numérique, 1er long métrage)
—synopsis
Poème, journal filmé d’une jeune Coréenne sans attaches, sur la route, au gré des rencontres, en quête d’un sens de la liberté entre Paris, Séoul et au-delà…
A Korean girl, illegal immigrant crosses the vast continent between Paris and Seoul, in search of the true meaning of the freedom by following strangers on the road and through her dream of the beyond world.
—production
Makka Prod
—filmographie de JIN
CM 2006 / « Origine-X » /

>Samedi 17 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
JE SUIS DE TITOV VELES, de Teona Strugar Mitevska
(Macédoine, 2007, 1h47, 35mm, 2e long métrage)
avec Labina Mitevska, Ana Kotovska, Nikolina Kujaca
Lire l’article de Ingrid Merckx, dans Politis (29 mai 2008)
—synopsis
A Titov Veles, il reste l’usine qui ronge ses habitants, et la maison des trois sœurs: Sapho, Slavica et Afrodita. Que se passe-t-il quand celles qui étaient toute votre vie décident à leur tour de partir ?
In Titov Veles are left the manufacture that eats up its inhabitants and the house of the three sisters : Sapho, Slavica and Afrodita.
What happens when these women, who were your entire life, decide it’s their turn to leave ?
—production
Labina Mitevska
Sisters and Brother Mitevski Production
—filmographie de Teona STRUGAR MITEVSKA
LM 2004 / « How I killed a saint » /
CM 2000 / « Veta » /

>Dimanche 18 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
KOMMUNALKA, de Francoise Huguier
(France, 2008, 1h37, numérique, 1er long métrage)

Lire l’article de Philippe Azoury dans Libération

—synopsis
Un jour d’automne, je loue une chambre dans un appartement communautaire à Saint-Petersbourg (Kommunalka en russe). Je photographie ses habitants. Les années passent, hantée par mes anciens voisins, je décide de revenir filmer leur vie quotidienne.
A few years ago, I rented a room in a communal apartment (Kommunalka in Russian) in Saint Petersburg. While living there, I took pictures of the
residents. Years later, haunted by my former neighbors, I decided to return to film their daily lives.
—production
Serge Lalou / Les Films d’Ici
—filmographie de Françoise HUGUIER
CM 2000 / « Journée ordinaire » / CM 1999 / « Mission 2000 » / CM 1999 / « C’est la vie » / CM 1985 / « Lisbonne nuit » /
—livre de photographies de Françoise Huguier : “Kommunalki” (Actes Sud - Avril 2008)

>Lundi 19 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
MANGE CECI EST MON CORPS, de Michelange Quay
(France/Haïti, 2007, 1h45, 35mm, 1er long métrage)
avec Sylvie Testud, Catherine Samie, Hans Dacosta Saint Val, Jean-Noël Pierre, Enfants du foyer Kroma
—synopsis
Haïti, île noire, solitaire, abandonnée à sa pauvreté et à sa misère. Madame, une femme blanche, vit dans ses fantasmes coloniaux où elle enseigne et nourrit les masses damnées de la terre. Une expérience cinématographique hypnotique et viscérale qui nous emmène au plus profond de la souffrance
spirituelle et matérielle de la première République Noire.
Haiti, a lonely forgotten black island abandoned to its poverty and misery. A white woman, Madame lives in a colonial fantasy in which she helps to teach, inspire and feed the retched masses of the world. A hynoptic viseriscal cinematographic experience that will take us to the core of Haiti’s spritual and material suffering.
—production
Tom Dercourt, Les Films A Un Dollar
—filmographie de Michelange QUAY
CM 2004 / « L’Evangile du Cochon Créole » / CM 2002 / « Qu’on leur donne des Yo Yo » / CM 1998 / « Forty days » / CM 1998 / « Mythe of seus » /

>Mardi 20 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
NO LONDON TODAY, de Delphine Deloget
(France, 2007, 1h17, numérique, 2e long métrage)
—synopsis
No London Today est une plongée dans l’errance et l’attente à Calais de Chafik, Aron, Abraham, Henok et Ermias, des jeunes réfugiés qui tentent de passer illégalement en Angleterre.
No London Today is an immersion into the world of five young refugees, Chafik, Aron, Abraham, Henok and Ermias, waiting and wandering in Calais, trying illegally to reach England.
—production
Injam Production
—filmographie de Delphine DELOGET
CM 2006 / « Sacré Père Noël! » / LM 2005 / « A L’ouest de la Mongolie » / CM 2003 / « Qui se souvient de Minik? » /

>Mercredi 21 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
LEGER TREMBLEMENT DU PAYSAGE, de Philippe Fernandez
(France, 2008, 1h25, 35mm, 1er long métrage)
avec Michel Théboeuf, Bernard Blancan, Corentin Chapa, AnatoleVialard, Chantal Quillec, Pierre Coudeneau, Toto Nobo, Carine Bouquillon
—synopsis
Tableau d’une petite communauté humaine vivant apparemment aux premiers moments de la conquête spatiale, confrontée à un événement géologique autour duquel se cristallisent quelques réflexions sur l’espace, l’espèce, et le temps.
A tableau of a small community of humans seemingly poised on the verge of the space age, confronted with a geological eventwhich triggers off a meditation on space, species and time.
—production
Ostinato Production
—filmographie de Philippe FERNANDEZ
CM 2004 / « Connaissance du monde (Drame psychologique) » / CM 1999 / « Réflexion » / CM 1998 / « Conte philosophique (La caverne) » /

>Jeudi 22 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
GUGARA, de Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak
(Pologne, 2007, 1h10, 35mm, 2e long métrage)
—synopsis
Dans l’Est russe, une famille Evenki, comme d’autres, regarde sa culture devenue show télévisé ou spectacle folklorique. L’histoire d’un peuple privé de sa langue, de sa religion, de ses migrations.
In the East of Russia, an Evenki family, like many others, watch their culture become a television show and a spectacle of folk tradition. The story of a people starved of their language, religion, migrations.
—production
Centrala SP. ZO. O.
—filmographie de Jacek NAGLOWSKI
LM 2004 / « Katatonia » /

>Vendredi 23 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
CHRIGU, de Jan Gassmann et Christian Ziörjen
(Suisse, 2007, 1h27, 35mm, 1er long métrage)
—synopsis
Toujours entre deux fêtes survoltées, Chrigu filme ses amis musiciens en tournée, ses parents babas-bio… Comment ce doux soleil d’automne
pourrait-il être le dernier?
Between two big parties, as always, Chrigu shoots his musicians buddys on a tow, his hippy organic parents… How could this mellow autumn sun possibly be the last one?
—production
Diagonal gmbh, Arsonfilm
—filmographie de Jan GASSMANN et CHRISTIAN ZIÖRJEN
1er LM 2007 /


PROGRAMMATION ACID CANNES 2008
COURTS MÉTRAGES

>Jeudi 15 mai, au cinéma Les Arcades (20h)
LE LOUP BLANC, de Pierre-Luc Granjon
(2006, France, 8 min, 35 mm, animation)

>Vendredi 16 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
BIENTÔT J’ARRÊTE, de Léa Fazer
(2008, France, 20 min, 35 mm, inédit)

>Samedi 17 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
WELCOME TO WHITE CHAPEL DISTRICT, de Marie Vieillevie
(2008, France, 5 min, 35 mm, animation)

>Dimanche 18 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
LA TROISIEME FOIS, de Annarita Zambrano
(2006, France, 12 min, 35 mm)

>Lundi 19 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
EUT-ELLE ETE CRIMINELLE, de Jean-Gabriel Périot
(2006, France, 12 min, 35 mm)

>Mardi 20 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
SKHIZEIN, de Jérémy Clapin
(2008, France, 13 min, 35 mm, animation, inédit)

>Mercredi 21 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
L’AMERTUME DU CHOCOLAT, de Lucile Chaufour
(2007, France, 12 min, 35 mm, inédit)

>Jeudi 22 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
KAMEL S’EST SUICIDE SIX FOIS, SON PERE EST MORT, de Soufiane Adel
(2007, France, 9 min, 35 mm, inédit)

L’ACID
Fabienne Hanclot, déléguéé générale
Grégory Taglione, responsable exploitation
Jean-Baptiste Le Bescam, chargé de l’événementiel

•à Paris :
14 rue Alexandre Parodi
75010 Paris
Tél. : 01 44 89 99 74
Fax : 01 44 89 99 60
écrire à l’ACID

www.lacid.org

•à Cannes :
La Malmaison
(niveau -1)
47, La Croisette
06400 Cannes
Tél. : 04 93 38 49 76

contacter le service de presse


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Mange, ceci est mon corps
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No London Today
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Léger tremblement du paysage
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Chrigu
Chrigu
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L’ACID au 61e Festival de Cannes.
•15 > 23 mai 2008
La programmation des cinéastes.

Du 15 au 23 mai, l’ACID fera entendre pour la quinzième année sa petite musique indé à Cannes.
Les cinéastes qui animent tout au long de l’année l’Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion proposeront 9 longs métrages internationaux, pour la plupart encore sans distributeur français, au Cinéma Les Arcades et au Studio 13.
Depuis 1994, cette programmation d’œuvres de fiction et documentaires, choix des cinéastes, est ouverte aux professionnels comme au grand public, et les projections sont suivies de rencontres avec les réalisateurs.
Soucieuse du devenir des films après Cannes, l’ACID les propose ensuite à d’autres festivals et distributeurs, et les accompagne lors de leur exploitation.
La grande majorité des films présentés à Cannes en 2007 par l’ACID ont ainsi trouvé le chemin des salles : L’homme qui marche (Aurélia Georges), Rêves de poussière (Laurent Salgues), La Part Animale (Sébastien Jaudeau), ou s’apprêtent à sortir : Combalimon (Raphaël Mathié), Les ballets de ci de là (Alain Platel), Prisonniers de Beckett (Michka Saäl), So long my heart ! (Oliver Paulus et Stefan Hillebrand) et Des trous dans la tête (Guy Maddin).
Et, à leur tour, Aurélia Georges, Laurent Salgues, Sébastien Jaudeau et Raphaël Mathié sont venus grossir les rangs des cinéastes occupés aujourd’hui à concocter la programmation ACID de Cannes 2008.
Comme l’an dernier, cette programmation sera reprise à l’automne à Paris et dans toute l’Ile-de-France, ainsi que pour la première fois en Italie et dans le sud de la France.
“Notre programmation, liée à l’engagement de plusieurs cinéastes pour le film d’un autre cinéaste, reflète nos coups de cœur et nos besoins de diversité cinématographique, sans chercher à les mettre en concurrence. Nos regards, nos sensibilités se sont démultipliés pour vous montrer des films que nous aimons avec un seul objectif : vous communiquer notre enthousiasme ! Solidaires d’un cinéma du risque et de la liberté, nos choix prennent des chemins de traverse à la rencontre d’histoires, de parcours originaux, ou tout simplement de styles.” [Les cinéastes de l’ACID]

L’affiche est signée Willem !

Au jour le jour, les critiques de Christophe Kantcheff et Ingrid Merckx (Politis)

PROGRAMMATION ACID CANNES 2008
LONGS MÉTRAGES
En présence de leurs réalisateurs

>Jeudi 15 mai, au cinéma Les Arcades (20h)
>Samedi 24 mai, au Studio 13 (11h)
10 + 4, de Mania Akbari
(Iran, 2007, 1h17, numérque, 2e long métrage)
Lire l’article de Jean Roy dans L’Humanité
•Avec Mania Akbari, Amin Maher, Behnaz Jafari, Roya Akbari, Mina Hamidi, Maedeh Tahmasebi, Bahareh Mosadeghiyan, Jinous Azadegan, Ramin Rastad.
—synopsis
L’actrice de Ten (Abbas Kiarostami) met en scène sa propre histoire dans un film qui, malgré son sujet (elle est atteinte du cancer), respire la vie, la liberté et questionne la place de la femme dans la société iranienne.
The actress of Ten (Abbas Kiarostami) stages her own story in a movie full of life and freedom, despite its subject (she has cancer). She also questions the role and place of women in Iran contemporary society.
—production
Sheherazad Media International
—filmographie
LM 2004 / 20 fingers /

>Vendredi 16 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
TRANS# : WORKING TITLE, de Jin
(France / Corée du Sud, 2008, 1h13, numérique, 1er long métrage)
—synopsis
Poème, journal filmé d’une jeune Coréenne sans attaches, sur la route, au gré des rencontres, en quête d’un sens de la liberté entre Paris, Séoul et au-delà…
A Korean girl, illegal immigrant crosses the vast continent between Paris and Seoul, in search of the true meaning of the freedom by following strangers on the road and through her dream of the beyond world.
—production
Makka Prod
—filmographie de JIN
CM 2006 / « Origine-X » /

>Samedi 17 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
JE SUIS DE TITOV VELES, de Teona Strugar Mitevska
(Macédoine, 2007, 1h47, 35mm, 2e long métrage)
avec Labina Mitevska, Ana Kotovska, Nikolina Kujaca
Lire l’article de Ingrid Merckx, dans Politis (29 mai 2008)
—synopsis
A Titov Veles, il reste l’usine qui ronge ses habitants, et la maison des trois sœurs: Sapho, Slavica et Afrodita. Que se passe-t-il quand celles qui étaient toute votre vie décident à leur tour de partir ?
In Titov Veles are left the manufacture that eats up its inhabitants and the house of the three sisters : Sapho, Slavica and Afrodita.
What happens when these women, who were your entire life, decide it’s their turn to leave ?
—production
Labina Mitevska
Sisters and Brother Mitevski Production
—filmographie de Teona STRUGAR MITEVSKA
LM 2004 / « How I killed a saint » /
CM 2000 / « Veta » /

>Dimanche 18 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
KOMMUNALKA, de Francoise Huguier
(France, 2008, 1h37, numérique, 1er long métrage)

Lire l’article de Philippe Azoury dans Libération

—synopsis
Un jour d’automne, je loue une chambre dans un appartement communautaire à Saint-Petersbourg (Kommunalka en russe). Je photographie ses habitants. Les années passent, hantée par mes anciens voisins, je décide de revenir filmer leur vie quotidienne.
A few years ago, I rented a room in a communal apartment (Kommunalka in Russian) in Saint Petersburg. While living there, I took pictures of the
residents. Years later, haunted by my former neighbors, I decided to return to film their daily lives.
—production
Serge Lalou / Les Films d’Ici
—filmographie de Françoise HUGUIER
CM 2000 / « Journée ordinaire » / CM 1999 / « Mission 2000 » / CM 1999 / « C’est la vie » / CM 1985 / « Lisbonne nuit » /
—livre de photographies de Françoise Huguier : “Kommunalki” (Actes Sud - Avril 2008)

>Lundi 19 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
MANGE CECI EST MON CORPS, de Michelange Quay
(France/Haïti, 2007, 1h45, 35mm, 1er long métrage)
avec Sylvie Testud, Catherine Samie, Hans Dacosta Saint Val, Jean-Noël Pierre, Enfants du foyer Kroma
—synopsis
Haïti, île noire, solitaire, abandonnée à sa pauvreté et à sa misère. Madame, une femme blanche, vit dans ses fantasmes coloniaux où elle enseigne et nourrit les masses damnées de la terre. Une expérience cinématographique hypnotique et viscérale qui nous emmène au plus profond de la souffrance
spirituelle et matérielle de la première République Noire.
Haiti, a lonely forgotten black island abandoned to its poverty and misery. A white woman, Madame lives in a colonial fantasy in which she helps to teach, inspire and feed the retched masses of the world. A hynoptic viseriscal cinematographic experience that will take us to the core of Haiti’s spritual and material suffering.
—production
Tom Dercourt, Les Films A Un Dollar
—filmographie de Michelange QUAY
CM 2004 / « L’Evangile du Cochon Créole » / CM 2002 / « Qu’on leur donne des Yo Yo » / CM 1998 / « Forty days » / CM 1998 / « Mythe of seus » /

>Mardi 20 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
NO LONDON TODAY, de Delphine Deloget
(France, 2007, 1h17, numérique, 2e long métrage)
—synopsis
No London Today est une plongée dans l’errance et l’attente à Calais de Chafik, Aron, Abraham, Henok et Ermias, des jeunes réfugiés qui tentent de passer illégalement en Angleterre.
No London Today is an immersion into the world of five young refugees, Chafik, Aron, Abraham, Henok and Ermias, waiting and wandering in Calais, trying illegally to reach England.
—production
Injam Production
—filmographie de Delphine DELOGET
CM 2006 / « Sacré Père Noël! » / LM 2005 / « A L’ouest de la Mongolie » / CM 2003 / « Qui se souvient de Minik? » /

>Mercredi 21 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
LEGER TREMBLEMENT DU PAYSAGE, de Philippe Fernandez
(France, 2008, 1h25, 35mm, 1er long métrage)
avec Michel Théboeuf, Bernard Blancan, Corentin Chapa, AnatoleVialard, Chantal Quillec, Pierre Coudeneau, Toto Nobo, Carine Bouquillon
—synopsis
Tableau d’une petite communauté humaine vivant apparemment aux premiers moments de la conquête spatiale, confrontée à un événement géologique autour duquel se cristallisent quelques réflexions sur l’espace, l’espèce, et le temps.
A tableau of a small community of humans seemingly poised on the verge of the space age, confronted with a geological eventwhich triggers off a meditation on space, species and time.
—production
Ostinato Production
—filmographie de Philippe FERNANDEZ
CM 2004 / « Connaissance du monde (Drame psychologique) » / CM 1999 / « Réflexion » / CM 1998 / « Conte philosophique (La caverne) » /

>Jeudi 22 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
GUGARA, de Jacek Naglowski et Andrzej Dybczak
(Pologne, 2007, 1h10, 35mm, 2e long métrage)
—synopsis
Dans l’Est russe, une famille Evenki, comme d’autres, regarde sa culture devenue show télévisé ou spectacle folklorique. L’histoire d’un peuple privé de sa langue, de sa religion, de ses migrations.
In the East of Russia, an Evenki family, like many others, watch their culture become a television show and a spectacle of folk tradition. The story of a people starved of their language, religion, migrations.
—production
Centrala SP. ZO. O.
—filmographie de Jacek NAGLOWSKI
LM 2004 / « Katatonia » /

>Vendredi 23 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
CHRIGU, de Jan Gassmann et Christian Ziörjen
(Suisse, 2007, 1h27, 35mm, 1er long métrage)
—synopsis
Toujours entre deux fêtes survoltées, Chrigu filme ses amis musiciens en tournée, ses parents babas-bio… Comment ce doux soleil d’automne
pourrait-il être le dernier?
Between two big parties, as always, Chrigu shoots his musicians buddys on a tow, his hippy organic parents… How could this mellow autumn sun possibly be the last one?
—production
Diagonal gmbh, Arsonfilm
—filmographie de Jan GASSMANN et CHRISTIAN ZIÖRJEN
1er LM 2007 /


PROGRAMMATION ACID CANNES 2008
COURTS MÉTRAGES

>Jeudi 15 mai, au cinéma Les Arcades (20h)
LE LOUP BLANC, de Pierre-Luc Granjon
(2006, France, 8 min, 35 mm, animation)

>Vendredi 16 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
BIENTÔT J’ARRÊTE, de Léa Fazer
(2008, France, 20 min, 35 mm, inédit)

>Samedi 17 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
WELCOME TO WHITE CHAPEL DISTRICT, de Marie Vieillevie
(2008, France, 5 min, 35 mm, animation)

>Dimanche 18 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
LA TROISIEME FOIS, de Annarita Zambrano
(2006, France, 12 min, 35 mm)

>Lundi 19 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
EUT-ELLE ETE CRIMINELLE, de Jean-Gabriel Périot
(2006, France, 12 min, 35 mm)

>Mardi 20 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
SKHIZEIN, de Jérémy Clapin
(2008, France, 13 min, 35 mm, animation, inédit)

>Mercredi 21 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
L’AMERTUME DU CHOCOLAT, de Lucile Chaufour
(2007, France, 12 min, 35 mm, inédit)

>Jeudi 22 mai, au Studio 13 (11h) et au cinéma Les Arcades (20h)
KAMEL S’EST SUICIDE SIX FOIS, SON PERE EST MORT, de Soufiane Adel
(2007, France, 9 min, 35 mm, inédit)

L’ACID
Fabienne Hanclot, déléguéé générale
Grégory Taglione, responsable exploitation
Jean-Baptiste Le Bescam, chargé de l’événementiel

•à Paris :
14 rue Alexandre Parodi
75010 Paris
Tél. : 01 44 89 99 74
Fax : 01 44 89 99 60
écrire à l’ACID

www.lacid.org

•à Cannes :
La Malmaison
(niveau -1)
47, La Croisette
06400 Cannes
Tél. : 04 93 38 49 76

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6e Plein La Bobine, du 13 au 19 juin 2008 dans le Sancy

6e Festival de Cinéma Jeunes Publics
du Massif du Sancy
PLEIN LA BOBINE
La Bourboule & Le Mont-Dore
(Puy-de-Dôme)
13 - 19 juin 2008
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La 6e édition de Plein la Bobine s’est déroulée avec succès, du 13 au 19 juin 2008, à La Bourboule et au Mont-Dore, deux villes voisines du Massif du Sancy (Puy-de-Dôme). Les carnets de voyage étaient cette année le fil rouge du festival, qui a, pour l’occasion, initié un partenariat avec la Biennale du Carnet de Voyage de Clermont-Ferrand.
Plein la Bobine 2008 a également proposé un coup de cœur au cinéma belge et une carte blanche au festival d’Oulu (The Oulu International Children’s Film Festival) en Finlande.

Pensée et conçue pour les enfants et adolescents de 3 à 15 ans, cette manifestation s’adresse bien sûr à toutes les générations d’amateurs de cinéma, se voulant avant tout un moment festif et ludique, qui crée un contexte favorable à la découverte, aux échanges et à la sensibilisation à un cinéma différent de l’offre commerciale habituelle.
Ce sont plus de 130 films qu’eurent à découvrir en six jours cinéphiles – petits et grands, deux journées étant plus particulièrement réservées à l’accueil du public scolaire.

Le festival Plein la Bobine — c’est une de ses spécificités — propose une programmation cinématographique adaptée à chaque âge, avec des films à voir à partir de 3 ans, de 7 ans et de 12 ans. Pour chacune de ces trois « tranches d’âge », la programmation comportait :
- une compétition internationale de courts métrages
- des films inédits et en avant-première
- les carnets de voyage, déclinés en courts et longs métrages
- un hommage au cinéma belge
- une carte blanche au Festival d’Oulu (Finlande)

Plein la Bobine propose également de nombreuses activités propres à alimenter le caractère pluridisciplinaire, pédagogique et ludique de la manifestation :
- « Comment ça marche…le cinéma » : des ateliers d’initiation axés cette année sur la thématique du carnet de voyage
- un espace lecture : le « coin des livres »
- un espace dessin, peinture, pâte à modeler… : le « coin des artistes »
- des rencontres et discussions entre le public et les professionnels présents
- des expositions

Enfin, le festival ouvre ses écrans et ses salles aux réalisations audiovisuelles faites par les enfants en organisant une projection spéciale :
les Rencontres Vidéo Scolaires, qui existent depuis la création du festival, permettent aux élèves – toutes académies confondues – de présenter, sur grand écran, les films réalisés dans le cadre scolaire.

Tous les prix du festival Plein la Bobine sont été remis lors de la clôture du festival le 19 juin, avant un ciné-concert autour du programme « Buster Keaton Shorts », des films burlesques accompagnés par les musiciens Karim Gherbi, Abdesslem Gherbi et Laurent Marode.

LE PALMARES
Compétition internationale de courts métrages

• à voir à partir de 3 ans (compétition 1)
> Prix du Jury Pro
[constitué de Cecilia Marreiros Marum, Marion Moreau, réalisatrices et de Jean-Claude Saurel, président de l’association Sauve Qui Peut le Court Métrage] :
Les pierres d’Aston (Astons stenar)
(Uzi et Lotta Geffenblad, Suède, 2007, animation)
> Prix du Jury Jeunes
[Classe de moyenne section de l’école maternelle de La Bourboule - marraine : Violaine Guilloux, Festival du Film Court de Brest] :
La leçon de natation
(Danny de Vent, France-Belgique, 2008, animation)
> Prix du Public :
Les pierres d’Aston (Astons stenar)
(Uzi et Lotta Geffenblad, Suède, 2007, animation)

• à voir à partir de 7 ans (compétition 2)
> Prix du Jury Pro :
Isabelle au bois dormant
(Claude Cloutier, Canada, 2007, animation)
> Mention spéciale du Jury Pro :
Mon petit frère de la lune
(Frédéric Philibert, France, 2008, animation)
> Prix du Jury Jeunes
[Classe de CM de l’école Corrette de St-Quentin (02) et classe de CM2 de l’école Guyot Dessaigne de Billom - parrain : Pierre-Luc Granjon, réalisateur] :
Mon petit frère de la lune
(Frédéric Philibert, France, 2008, animation)
> Prix du Public :
Isabelle au bois dormant
(Claude Cloutier, Canada, 2007, animation)

• à voir à partir de 12 ans (compétition 3)
> Prix du Jury Pro :
Je ne suis là pour personne (Hoy no estoy)
(Gustavo Taretto, Argentine, 2007, fiction)
> Prix du Jury Jeunes
[Atelier Cinéma du Collège Voltaire d’Ussel (19) - marraine : Emmanuelle Tiêu, réalisatrice] :
Sting (Stikk)
(Vigdis Nielsen, Norvège, 2007, fiction)
> Prix du Public :
Sting (Stikk)
(Vigdis Nielsen, Norvège, 2007, fiction)

LA PROGRAMMATION
•Des compétitions de courts métrages
Comme chaque année depuis sa création, Plein la Bobine a proposé à son public trois compétitions de courts métrages, une pour chacune des tranches d’âge touchées par le festival (à partir de 3 ans, 7 ans et 12 ans)

•Des films récents, inédits et en avant-première
Outre les films en compétition, Plein la Bobine a fait découvrir d’autres films tout neufs à son public : “Desmond et la créature du marais” de Magnus Carlsson (avant-première), “Almost Adult” de Yousaf Ali Khan (inédit), “Muksin” de Yasmin Ahmad… Des « panorama vidéo », programmes de courts métrages récents en vidéo étaient également au programme.

•Une thématique… les carnets de voyage
Après le conte, le cirque, la musique, la bande dessinée, et la marionnette, Plein la Bobine continue à explorer les liens entre le cinéma et les autres arts. Les carnets de voyage représentent un art très riche et très ouvert qui – comme de nombreux films – invite le lecteur/spectateur au voyage et à la découverte. La programmation 2008 a donc été placée sous le signe du voyage et a entraîné les festivaliers sur des sentiers non encore explorés…
Pour décliner au mieux cette thématique, le festival s’était associé à la Biennale du Carnet de Voyage de Clermont-Ferrand. Une convention de partenariat signée début novembre 2007 entre les deux associations porteuses de ces événements a officialisé les nombreux échanges d’expériences, de connaissances, de conseils mais aussi d’œuvres entre les deux manifestations.
Ainsi, Plein la Bobine a-t-il accueilli des carnettistes découverts lors de la Biennale 2007 pour mener des ateliers, participer à des ateliers/conférences, accompagner des expositions de leurs œuvres.
Par ailleurs, Plein la Bobine a également été une occasion de découvrir en avant-première des carnets de voyage réalisés par des enfants et des jeunes dans le cadre du concours lancé par la Biennale et le CRDP qui seront également exposés lors de la Biennale 2008.
La programmation comprenait des films documentaires, de fiction et d’animation , propres à faire oyager les spectateurs dans des pays lointains et à différentes époques : de grands classiques comme Chang de Cooper et Schoedsack ou Le Dirigeable volé de Karel Zeman, les récits d’Afrique de Laurent Chevallier, des voyages extraordinaires comme Serko de Joël Farges mais aussi des films d’animation comme Le Fleuve aux grandes eaux de Frédéric Back, Le Roi de la forêt des brumes de Jean-Jacques Prunès, Linnea dans le jardin de Monet de Christina Bjork et Lena Anderson…

•Coup de cœur au cinéma belge
Après avoir travaillé autour des cinématographies polonaise, tchèque ou hongroise, Plein la Bobine a profité de la possibilité d’accueillir une exposition exceptionnelle sur le cinéma d’animation belge pour proposer une programmation de ce pays européen riche en films pour enfants. Le festival a donc été l’occasion de faire plus ample connaissance avec les films produits par La Boîte/Les Films du Nord (dont certains ont été présentés en compétition à Plein la Bobine), par l’association Caméra Etc…, qui propose des ateliers de films d’animation donnant lieu à des réalisations d’une grande qualité, par les étudiants de l’Ecole de cinéma d’animation de La Cambre, par Patar et Aubier, deux « fous » de l’animation…

•Carte blanche au Festival de Films pour Enfants d’Oulu (Finlande)
Après les cartes blanches à Sauve qui peut le court métrage ou au festival Cartoon Club de Rimini, Plein la Bobine a souhaité demander au festival d’Oulu, plus importante manifestation cinématographique en direction des enfants en Finlande, de concocter un programme sous forme de « carte blanche ». Le mois de juin 2008 étant placé en pleine saison finlandaise en France – 100% Finlande – l’occasion était parfaite pour présenter un programme de films finlandais.

ATELIERS
Pour faire découvrir aux festivaliers les secrets des carnets de voyages, le festival a accueilli plusieurs carnettistes pour des ateliers de pratiques. Plusieurs groupes ont ainsi pu quotidiennement apprendre les techniques de base de fabrication d’un carnet de voyage…
L’un des ateliers était notamment mené par Catherine Adam, grande voyageuse spécialiste des chantiers de fouilles archéologiques en Egypte. Les festivaliers ont bénéficié des conseils de carnettistes pour entamer leur propre carnet à La Bourboule et au Mont-Dore à l’occasion du festival.
Par ailleurs, certains festivaliers auront la chance de pouvoir exposer leurs carnets lors de la Biennale du Carnet de Voyage de Clermont - l’un des plus importants rendez-vous national et international autour du carnet de voyage – en novembre 2008.

EXPOSITIONS
Les lieux du festival étaient investis par plusieurs expositions de carnets de voyage et notamment celles de tous les carnettistes présents pour les ateliers de pratiques artistiques. Catherine Adam a ainsi fait découvrir les originaux de toutes les illustrations réalisées en Egypte lors de la conduite d’une fouille archéologique commandée par le Musée du Louvre.
Parallèlement, en lien avec le coup de cœur au cinéma belge, le festival accueillait l’exposition « De la case à l’écran » conçue par Alain Lorfèvre, critique de cinéma à La Libre Belgique et produite par le Commissariat Général aux Relations Internationales de la Communauté française de Belgique Wallonie-Bruxelles. Cette exposition présente un panorama du cinéma d’animation belge des précurseurs à la nouvelle génération.

PLEIN LA BOBINE
tél / fax : 04 73 65 51 46
www.pleinlabobine.com
info@pleinlabobine.com

AFFE
Hôtel de Ville - BP 81
63150 La Bourboule

Déléguée artistique : Florence Dupont
tél : +33 (0)1 48 05 35 72 
fax : +33 (0)1 48 05 34 33

Coordinatrice : Céline Durand
tél / fax : +33 (0)4 73 65 51 46
mob : +33 (0)6 78 91 64 70


Responsable de l’accueil des groupes - communication : Nadège Challeil
tél : +33 (0)4 73 91 60 77
mob: +33 (0)6 08 67 67 99 


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15e Festival de Lama (Haute-Corse), du 26 juillet au 1er août 2008

15e Festival du Film de Lama
26 juillet > 1er août 2008
Haute-Corse

« Quel plus bel écran qu’une nuit d’été pour voir et faire voir ses films ? Grand air, odeurs et parfums, étoiles scintillantes, sons lointains de la campagne proche, yeux d’enfants dans le noir… C’est un secret entre nous, mais Lama est la plus belle et la plus exigeante des projections. »
Arnaud et Jean-Marie Larrieu


La quinzième édition du Festival du Film de Lama s'est déroulée du 26 juillet au 1er août 2008, en Haute-Corse.
Le 16e Festival du Film de Lama aura lieu du samedi 1er au vendredi 7 août 2009.

En Balagne, au centre d’un cercle qui passerait par Calvi, Bastia et Corte, le village médiéval de Lama, dont les hautes maisons semblent bâties à même la montagne, domine le delta de l’Ostriconi et sa superbe plage.
Chaque été, trois écrans s’y allument à la tombée de la nuit et le cinéma s'insinue dans les ruelles, agrémenté des parfums du maquis proche.
Les séances ont lieu simultanément chaque soir dès 21h30 sur trois sites, dont un entièrement dévolu au jeune public, avec une programmation et un accueil spécifiques.
Dans la journée, dès 10h 30, la salle des fêtes de la mairie, « la Casa di Lama », aménagée en salle de cinéma, accueille les spectateurs les plus assidus et des documentaires récents.
Une compétition de courts métrages trouve également sa place au cœur de la semaine des « Chroniques villageoises » de Lama, qui interrogent depuis 1994 le rapport du cinéma au monde rural.

A noter une grande première sous les étoiles de Lama : une projection en 3D (Fly me to the Moon!)

Projections en plein air :
Gomorra (Matteo Garrone)
[Grand Prix du Festival de Cannes 2008]
L'empreinte de l'ange (Safy Nebbou)
[avec Sandrine Bonnaire et Catherine Frot]
•L'Arche de Babel (Philippe Carrese)
[avec Patrick Bosso, Arthur Jugnot, Damien Jouillerot, Wojciech Pszoniak]
Versailles (Pierre Schoeller)
[avec Guillaume Depardieu - Un certain regard, Cannes 2008]
Les grandes personnes (Anna Novion)
[avec Jean-Pierre Darroussin et Judith Henry - Semaine de la Critique, Cannes 2008]
Rumba (Dominique Abel, Fiona Gordon Bruno Romy)
Les mouchonautes / Fly me to the Moon (Ben Stassen)
Nos enfants nous accuseront (Jean-Paul Jaud)
Snow / Snijec (Aida Begic)
[Semaine de la Critique, Cannes 2008]
La vie moderne - Profils paysans III (Raymond Depardon)
[Un certain regard, Cannes 2008]
•L'Homme invisible (James Whale - 1933)
Le dirigeable volé (Karel Zeman)
Desmond et la créature du marais (Magnus Carlsson)
Les nouvelles aventures de la petite taupe (Zdenec Miler)

En journée, à la Casa di Lama :
A prigiunera di San Ghjuvà (Lionel Tavera et Fabien Montagner)
L'Accompagnateur (Françoise Gaucher)
L'Affaire Montcharmont (Mireille Hannon)
Assassins (Laurent Simonpoli)
La Belle et les bêtes (Marie Ka)
Cunfraternita, una altra strada (Julie Perreard)
Dernier voyage (Pierre Duculot)
Drôles d'accents (Marc Khanne)
L'Homme de Saint-Rion (Gaëlle Douël)
Lila (Laetitia Lambert)
Le lait sur le feu (Raphaël Girardot et Vincent Gaullier)
La loi du sang, Sampiero Corso (Michèle Casalta)
Le long des golfes clairs (Isabelle Balducchi)
Mille sources d'inspiration, voyage en Limousin (Annie Miller et Alain Jomy)
Moi esclave (François Barat)
Mon père ce héros (Joëlle Stechel)
Mortel amiante (Jean-Charles Chatard)
L'Offre et la demande (Frédéric Farrucci)
Paroles de pierres (Dominique Comtat)
Tomasi, l'héritage d'un regard (Michel Tomasi)
Trois frères pour une vie (Gilles Perret)
U paghjolu 2, Résister c'est créer (Marriana Thibout Calandrini)
Une place au village (Tatiana de Perlinghi et Jacques Moriau)
Une tonne et demie (Annie Miller)
Le Voyage de Lycomède (Christian Lorre)

Programme Afrique (3 courts métrages) :
A la recherche de son eau (Serge Armel Sawadogol)
Bilakoro (Dani Kouyaté et Issa Traoré de Brahima)
Deweneti (Dyana Gaye)

Compétition internationale de courts métrages (11 films)

Quant au traditionnel colloque lamais, il aura pour thème cette année :
Le feu : histoire, environnement, arts et rites.

Premiers invités attendus :
Sandrine Bonnaire, pour L'empreinte de l'ange
Safy Nebbou, réalisateur de L'empreinte de l'ange
Philippe Carrese, réalisateur de L'Arche de Babel
Thierry Afflalou, producteur de L'Arche de Babel
Pierre Schoeller, réalisateur de Versailles
Xavier Irigoyen, distributeur de Gomorra
Jean-Paul Jaud, réalisateur de Nos enfants nous accuseront
Catherine Wilkening, comédienne, membre du jury de la compétition de courts métrages
Erick Zonca, réalisateur, membre du jury de la compétition de courts métrages
Sandrine Veysset, réalisatrice, qui animera un atelier avec les enfants du village pour la réalisation d'un court métrage

Festival du Film de Lama
Directeur : Mathieu Carta
Coordinatrice : Mélanie Guaïtella

Maison de la Culture et du Tourisme
20218 Lama
Tel: +33 (0)4 95 48 21 60
Fax: +33 (0)4 95 48 24 64
info@festilama.org
www.festilama.org

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8e RESONANCES, du 17 au 24 octobre 2008 au Magic Cinéma de Bobigny

R é s o n a n c e s
8e Rencontres du Cinéma Citoyen
Magic Cinéma
Bobigny (Seine-Saint-Denis)
•17 > 24 octobre 2008

Tout le programme en pdf

L'invité d'honneur de la 8e édition du festival Résonances, sera, du 17 au 24 octobre au Magic Cinéma de Bobigny (93), Yann Le Masson, réalisateur français fidèle à une certaine conception militante du cinéma ainsi que l'attestent Regarde, elle a les yeux grand ouverts, sur les luttes des femmes en France, ou Kashima Paradise, pamphlet anti-impérialiste.

Comme chaque année, autour des thèmes de l’engagement, de la lutte pour la dignité, la démocratie et la justice sociale, les Résonances du Magic Cinéma se propageront au travers de nombreux films inédits — courts et longs métrages—, de coups de cœur — fictions ou documentaires — en provenance du monde entier, de rencontres avec les réalisateurs, de films en direction du jeune public… et laisseront une large place au cinéma français.

Un hommage sera rendu à Youssef Chahine et au poète palestinien Mahmoud Darwish, tous deux disparus durant l’été 2008.

Depuis 2001, date de sa création sous l’impulsion de la Ville de Bobigny, Résonances a notamment accueilli René Vautier, Hanna Schygulla, Bruno Muel, Francesca Comencini, Marcel Trillat, Paul Meyer, Jean-Michel Carré, Jean-Pierre Améris, Jean-Pierre Thorn…

Programmation :
J’ai huit ans (1960) de Yann Le Masson
Kashima Paradise (1973) de Yann Le Masson & Benie Deswarte
Regarde, elle a les yeux grand ouverts (1980) de Yann Le Masson
La vie t’en as qu’une (1978) de Abraham Ségal
Harlan County USA (1976) de Barbara Kopple (carte blanche à Abraham Ségal)
La rivale (2008) de Edouard Carrion
L’Orchestre de la Piazza Vittorio (2006) de Agostino Ferrente (avant-première)
Les bureaux de Dieu (2007) de Claire Simon (avant-première)
Bienvenue à Bataville (2007) de François Caillat (avant-première)
Gaza souvenirs (2008) de Samuel Albaric
Le sel de la mer (2008) de Annemarie Jacir
Les enfants de Don Quichotte (2008) de Ronan Dénécé, Augustin et Jean-Baptiste Legrand (avant-première)
Mascarades (2008) de Lyes Salem (avant-première)
Mirages (2008) de Olivier Dury (avant-première)
Hunger (2008) de Steve McQueen (avant-première)
La très très grande entreprise (2008) de Pierre Jolivet (avant-première)

No London Today (2007) de Delphine Deloget (avant-première ACID)

Magic Cinéma

Contact Public :

Centre commercial Bobigny 2
Rue du Chemin vert 93000 Bobigny
Métro, bus, tram : Bobigny Pablo-Picasso
Tél. : 01 41 60 12 34

magic.cinema.bobigny@wanadoo.fr

www.magic-cinema.fr

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Rencontres de la Seine-St-Denis (14>23 nov 2008)

Du 14 au 23 novembre, 20 cinémas publics du département accueillent, en présence de nombreux invités, les 19e Rencontres cinématographiques de la Seine-Saint-Denis, coordonnées par l’association Cinémas 93, et qui ont débuté par la lecture d’un Manifeste pour un cinéma de service public.

TELECHARGER LE PROGRAMME COMPLET

Lire l’interview de Peter Bogdanovich par Bruno Icher (Libération du 19 novembre 2008)

Après Jerry Schatzberg en 2007, c’est le réalisateur américain Peter Bogdanovich (“Targets”, “The Last Picture Show”…) qui sera l’invité d’honneur de la manifestation, acteur, réalisateur, mais aussi écrivain de cinéma (on redécouvrira son film sur John Ford). Une master-class est également prévue (le 17 à l’Espace 1789 de St-Ouen), ainsi que des rencontres avec des écoliers de la Seine-Saint-Denis. Et, le 20 au Méliès de Montreuil, le réalisateur Wes Anderson (“La famille Tenenbaum”) sera au côté de son aîné Peter Bogdanovich pour un exceptionnel dialogue en public.

Cette belle décade séquano-dionysienne sera aussi l’occasion de redécouvrir un cinéaste trop rare : le Russe Alexeï Guerman (“Khroustaliov, ma voiture!”), et de s’intéresser de près à un jeune réalisateur plein de promesses, Olivier Babinet (le caustique “Bidule”” sur Canal+, c’était lui).

Nicole Garcia est également attendue, autour de son parcours d’actrice.

A noter encore un autre type de parcours, en bus celui-là, à travers la Seine-Saint-Denis à la découverte du patrimoine cinématographique (salles, laboratoires, écoles de cinéma, …) et des ciné-concerts : “Le Vent” de Sjöström par Theo Hakola et plusieurs films de Buster Keaton par les Fils de Teuhpu.
Enfin, une programmation de films spécifique sera destinée au jeune public, enrichie d’ateliers consacrés aux effets spéciaux et d’une ciné-conférence intitulée « Mondes du Futur : c’est arrivé demain ! ».

Les Rencontres cinématographiques sont soutenues par le Conseil général de la Seine-Saint-Denis.

Association Cinémas 93
87 bis rue de Paris
93100 Montreuil
01 48 10 21 21
www.cinemas93.org

Contacter le service de presse

Renc93_08_Poster
Visuel en haute définition

Peter Bogdanovich
Invité d’honneur

Avant de devenir un réalisateur majeur du Nouvel Hollywood des années 70,
Peter Bogdanovich a été avant tout un critique et un écrivain de cinéma.
À côtoyer les plus grands réalisateurs de ce monde, il a fait de ses œuvres écrites
(Fritz Lang en Amérique, John Ford, Moi, Orson Welles…) des témoignages qui
font référence.
C’est en 1968 que Peter Bogdanovich écrit, produit et réalise son premier film :
La Cible (Targets). Il obtient son premier succès à la fois critique et public en 1971
avec La Dernière Séance (The Last Picture Show), huit fois nominé aux Oscars.
L’année suivante, On s’fait la valise, docteur ? (What’s Up, Doc?)
avec Barbara Streisand, ajoute la corde de la comédie à son arc. Ce que viendront
confirmer les films La Barbe à papa (Paper Moon) en 1973 et Et tout le monde riait…
(They All Laughed) en 1982.
Cinéaste reconnu, il étoffe sa filmographie au fil des ans, de Mask présenté à Cannes en
1985 (Prix d’interprétation féminine pour Cher), à Parfum de meurtre (The Cat’s Meow) avec
Kirsten Dunst en 2001, en passant par Illégalement vôtre (Illegally Yours) en 1988. Peter Bogdanovich
travaille également pour la télévision américaine. Il incarne le terrible personnage
du Dr. Elliot Kupferberg dans la série Les Sopranos dont il réalise certains épisodes.

Agenda Bogdanovich

Vendredi 14 NOV | soirée d’ouverture et projection
à 20h30 du film On s’fait la valise, docteur ?
LE MÉLIÈS / MONTREUIL

Samedi 15 NOV | projections à 19h du film On s’fait la valise, docteur ? et à 21h
de La Dernière Séance
LE TRIANON / ROMAINVILLE

Dimanche 16 NOV | projection à 14h30 de Réalisé par John Ford,
suivie d’une rencontre animée par Thierry Méranger des Cahiers du Cinéma ;
à 17h45, projection de La Poursuite infernale de John Ford
JACQUES TATI / TREMBLAY-EN-FRANCE

Lundi 17 NOV | projection à 14h30 de La Cible, suivie à 16h d’une leçon de cinéma animée
par Jean-Baptiste Thoret.
À 19h, dialogue entre deux cinéastes : P. Bogdanovich et A. S. Labarthe autour d’extraits
de films et à 20h, projection de Et tout le monde riait…
ESPACE 1789 / SAINT-OUEN

Mardi 18 NOV | projection à 20h45 de La Cible
LE MÉLIÈS / MONTREUIL

Mercredi 19 NOV | projection à 20h30 de La dernière séance
YVES MONTAND / LIVRY-GARGAN

Jeudi 20 NOV | projections à 18h30 de La Famille Tenenbaum
de Wes Anderson, et à 20h45 de Jack le Magnifique
de Peter Bogdanovich, suivies d’un dialogue entre les deux réalisateurs
LE MÉLIÈS / MONTREUIL


Alexeï Guerman
Alexeï Guerman est un maître du cinéma contemporain, qui mène carrière au côté de
sa femme Svetlana Karmalita, co-scénariste.
Son œuvre, intégralement en noir et blanc, est dédiée à l’histoire de son pays, la Russie des
années 30 à 50. Comme un écho aux témoignages qui ont marqué la vie et l’œuvre du
célèbre écrivain russe Yuri Guerman, son père.
Bien qu’ayant démarré sa carrière au théâtre, Guerman intègre rapidement Lenfilm, célèbres
studios de Saint-Pétersbourg, en tant qu’assistant réalisateur notamment sur Sedmoy
Spoutnik
, co-réalisé avec Grigori Aronov en 1967.
La nature de sa filmographie en tant que réalisateur (4 films entre 1972 et 1999) révèle une
méticulosité dans son travail d’une rare puissance stylistique, esthétique et historique.
D’un point de vue cinématographique, le style Guerman se distingue par la qualité du noir
et blanc, l’utilisation de plans longs et complexes, et la post-synchronisation.Très remarqué
à Cannes en 1999 pour son film Khroustaliov, ma voiture ! qui croque à sa manière la Russie
à l’heure de la mort de Staline, on attend impatiemment son prochain film de
science-fiction : Il est difficile d’être Dieu, qui devrait voir bientôt le jour et dont nous verrons
quelques minutes en exclusivité dans le cadre des Rencontres cinématographiques.

Rencontres et débats avec Alexeï Guerman

Vendredi 21 NOV | projection à 20h30 de Khroustaliov, ma voiture ! , suivie par une
discussion autour de son prochain film événement…
LE MÉLIÈS / MONTREUIL

Samedi 22 NOV | projections à 18h de La Vérification,
et à 20h45 de 20 jours sans guerre
L’ÉCRAN / SAINT-DENIS


Olivier Babinet
Olivier Babinet est un autodidacte qui nourrit de diverses manières un univers qui lui est propre. À Strasbourg, il exprime dès l’adolescence ses talents dans le rock, fabrique des romans photos et des «dramatiques» radios, et monte rapidement sur Paris pour s’y établir en créatif touche-à-tout. Du clip (Les Rita Mitsouko, Matthieu Boogaerts, Stuck In The Sound…) au court métrage (interprété par Philippe Katerine, Michael Lonsdale…), du film expérimental à la publicité, Olivier Babinet est manifestement décomplexé face aux frontières érigées entre chacun de ces genres. C’est en 2000 sur Canal+ que les 78 épisodes du «Bidule», dont il est l’un des créateurs, imposent caustiquement son imaginaire. Ses programmes courts déclinent une critique glaçante, absurde et poétique de notre société de consommation. Tandis qu’en 2006, il écrit le scénario de son long métrage Robert Mitchum est mort, il finalise en 2008 un remarquable moyen métrage C’est plutôt genre Johnny Walker* qui obtient le Prix Jeunesse au Festival Côté Court de Pantin. Olivier Babinet vient d’entrer dans le monde du cinéma… à découvrir d’urgence!
*Ce film a bénéficié de l’Aide au film court, dispositif de soutien à la création du Conseil général de la Seine-Saint-Denis
Vendredi 21 novembre, 20H15 - CINÉ 104 / PANTIN

Rencontre avec Olivier Babinet and friends : Courts métrages, séries, clips vidéo, concert et invités-surprises!

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